Coques, palourdes, crevettes ou bigorneaux, le Pays de Quimperlé est l'endroit idéal pour pratiquer la pêche à pied en toute sécurité. Pratique ancestrale très courue en Bretagne, la pêche sur les rochers ou dans le lit des rivières à marée basse est à la portée de tous.
Vous y trouverez coques, palourdes, praires, huîtres, moules,… - Saint-Germain-sur-Ay : étrilles, bigorneaux, huîtres sauvages,… et même des homards. - La côte ouest entre la baie des Veys et Saint-Vaast-la-Hougue est également un secteur conseillé pour pêcher étrilles, bouquet, coques, couteaux, huîtres,…
Bulots, bigorneaux, huîtres, moules, les fruits de mer n'auront plus de secrets pour vous ! Les coquillages s'achètent vivants, gage de fraîcheur indispensable à leur consommation. On les consomme rapidement après l'achat.
Comme la coque et la praire, la palourde est un coquillage fouisseur. Elle vit dans les zones sablonneuses. La palourde est consommée crue, nature ou avec un condiment acide (jus de citron ou vinaigre à l'échalote) ou cuisinée.
1 – Le homard
Il est très recherché pour sa chair fine et ferme, délicate et raffinée. Il peut être pêché à pied, toute l'année. Il vit dans les zones rocheuses qui se découvrent à marée basse, sur des plateaux constitués de cailloux et de sable. Il se cache dans un trou sous de gros rochers, posés sur le sable.
Les poissons et fruits de mer peuvent se manger crus sous forme de carpaccio, tartare ou encore ceviche. Ces modes de préparation mettent en valeur le produit, thon, saumon, maquereau ou saint-jacques, qui doit être de bonne qualité et bien frais.
Parfois, la coquille est ouverte mais le coquillage est encore vivant. Pour le vérifier et s'assurer de sa fraîcheur, il suffit de le toucher : si la coquille se referme immédiatement, c'est OK. Sinon, le coquillage est avarié et il vaut mieux le jeter.
Si la collection été 2012 de la maison Chanel est sublime, les prix, quant à eux, battent parfois tous les records. Vous craquez pour la minaudière "coquillage nacré" ? Cela vous coûtera environ 25 000 euros.
A la différence des coquillages comestibles, les coquillages non comestibles sont des animaux aquatiques ou des mollusques qui n'ont pas de bons goûts et qui peuvent même être toxiques. Cependant, il y a lieu de confirmer que certains d'entre eux sont très jolis et ne méritent pas d'être laissés sur les plages.
Le sable et les coquillages
Les autorités peuvent tolérer le ramassage lorsqu'il se fait en petite quantité. Le prélèvement déraisonnable, parfois à but commercial, est passible d'une amende pouvant s'élever jusqu'à 1 500 €. Pour les coquillages vides, la restriction est la même que pour le sable.
Le bois flotté
Ce que dit la loi: il n'existe pas de réglementation officielle, vous pouvez ramasser cette branche ramenée sur la côte par le vent ou la marée. Mais sachez que cela fait partie de la "laisse de mer", ces débris naturels ramenés par la mer au gré du mouvement des vagues, du flux et du reflux des marées.
On trouve l'oeil de sainte Lucie sur les rivages de Corse, en mer méditerranée et dans les mers tropicales.
En France, il est présent sur les côtes de la Manche et surtout en Bretagne, où il entre la zone de balancement des marées. L'ormeau vit accroché sur les rochers, dans des zones où le courant et les vagues oxygènent l'eau.
Où pêcher le tourteau
C'est notamment dans les eaux froides de la Bretagne, du nord du Golfe de Gascogne et autour du Royaume-Uni qu'il est le plus abondant.
Elles se déclinent en douze grands crus bretons, élevés dans les viviers sur tout le territoire : Cancale, Paimpol, Tréguier, Morlaix-Penzé, Rade de Brest, les Abers, Aven Belon, Etel, Quiberon, Golfe du Morbihan, Penerf, le Croisic, sans oublier les huîtres sauvages de Rhuys.
Les Cauris
Les coquillages cauris font partie des plus emblématiques coquillages au monde ! Il en existe une variété infinie de couleurs, de paternes, en fonction de leur provenance.
Le bénitier géant, appelé aussi tridacne géant (Tridacna gigas de son nom scientifique), est un coquillage gigantesque, qui peut mesurer jusqu'à 1,50 mètre de long et dépasser les 200 kg. C'est le plus gros mollusque bivalve. Oui, ça se mange – la chair du coquillage est comestible – mais c'est interdit.
L'opercule du coquillage possède dans ce cas une face blanche et une face orange vif corail. Le côté orangé fait penser à une oreille. La face blanche symbole de l'Oeil de Sainte Lucie, lorsqu'elle est polie, présente une spirale orangée de la même couleur que son autre face.
Il est important avant de faire cuire les coques, de les nettoyer tout en les triant. Retirer les coques cassées ou abîmées, celles qui sont entrebâillées vérifiez en les pressant, si le coquillage ne se referme pas, la coque est morte.
Les mollusques s'accrochent aux rochers avec leurs ventouses musclées. Si elles sont dérangées, elles se ferment contre la surface auquel elles adhèrent et ce n'est qu'en les brisant d'un coup fort qu'elles peuvent être séparées. Les différentes espèces varient légèrement en taille.
Il faut mastiquer longuement les huîtres et ne pas les « gober » ; car l'huître se digérera elle-même grâce à ses propres sucs digestifs libérés par la mastication ; et puis la garder plus longuement en bouche permet bien sûr de mieux en apprécier la saveur.
Comment cuisiner et déguster la palourde ? Les petites palourdes sont idéales, dégustées crues sitôt pêchées ou achetées ! On les dégustera telles qu'elles ou avec un filet de jus de citron. Pour les ouvrir, utilisez simplement un petit couteau d'office.