Pour gagner en vitesse, faites des exercices de musculation ou de fractionné. Pensez aux courses de cotes. Plus que briser la routine, elles vous feront progresser pour votre retour sur plat. Votre organisme sera alors plus à même de supporter une charge de travail supérieure et vous pourrez gagner en rapidité.
Avant une course, il faudra privilégier les aliments suivants : Aliments riches en glucides (riz, quinoa, patate douce, pomme de terre, pâtes, pain, muesli, fruits). Des protéines maigres (volaille, oeufs, poisson blanc, thon). Limiter les aliments riches fibres, à partir de 48 heures avant la course.
L'alimentation idéale avant une course
Environ 1h à 1h30 avant de courir, vous pouvez consommer les aliments suivants : banane. muesli/flocons d'avoine. produits laitiers à faible teneur en matières grasses, comme les yaourts maigres ou le fromage blanc maigre.
Vous devez boire suffisamment la veille de l'épreuve : au moins 2 litres. Buvez ensuite 300 ml à 500 ml d'eau dans l'heure précédent l'effort. Cela représente 2 verres d'eau. Pour assurer un bon confort digestif, buvez tranquillement par petites gorgées.
La solution: manger quelque chose qui supportera pendant toute la durée de l'effort mais qui ne sera pas lourd à digérer. On favorisera alors les glucides: pain, céréales, pâtes, riz et pommes de terre, fruits. Et des protéines maigres, pour la sensation de satiété, si on court plus longtemps.
Courir à jeun le matin : positif pour le physique ? Courir le ventre vide c'est donc courir un peu plus sur la filière lipidique que d'habitude, c'est pourquoi l'entraînement à jeun est souvent plébiscité dans les régimes. C'est efficace car on brûle plus de graisses en courant à jeun.
Le pain aux céréales complètes est également à remplacer par des glucides simples comme du pain blanc ou des pâtes quelques jours avant la course.
Le petit-déjeuner normal très classique va se composer, par exemple d'une demi baguette accompagnée de 2 barquettes de beurre (environ 20g), d'un petit pot de miel (environ 30g), de 2 tranches de jambon cuit (environ 100g), d'un agrume (1 orange par exemple) et de 2 yaourts.
Courir lentement permet d'améliorer la capacité d'apports sanguins dans les muscles. En endurance fondamentale, non seulement le cœur prend du volume, mais le coureur renforce dans le même temps la capillarisation des muscles. « Les capillaires, c'est le petit réseau qui va dans les muscles.
Aller trop vite en footing est une des causes principales du « je ne progresse pas ». Car la différence entre l'endurance fondamentale et une allure plus rapide de 15 ou 30″/km est très importante ! En particulier pour les coureurs peu expérimentés en longue distance, ces allures vont générer une vraie fatigue.
Le nandrolone, le stanozolol, etc. sont des agents anabolisants dérivés de la testostérone, l'hormone sexuelle mâle. Ils agissent sur les tissus musculaires et augmentent la force, l'endurance, et diminuent la douleur.
Lors d'un effort, léger ou intense, il faut garder la bouche ouverte ou entre-ouverte, pour l'inspiration comme pour l'expiration. Ne respirer que par le nez vous protège des poussières, certes, mais pendant l'effort, l'orifice est trop étroit pour que l'air rentre sans effort supplémentaire.
Le footing de veille de course est idéal pour entrer mentalement dans sa course. Les sensations des veilles d'épreuves chronométrées peuvent être très différentes. Que l'on ait l'impression de voler ou au contraire les jambes lourdes, cela n'augure que rarement du résultat du lendemain.
Mangez léger et simple (le temps du stockage est dépassé) et pensez à vous hydrater régulièrement. Jusqu'au dernier moment, essayez de vous tenir à l'écart de la foule : écoutez de la musique, regardez un DVD, lisez un livre, etc. Bref, une activité de détente qui détournera votre esprit du stress de la course.
L'important est aussi d'avoir terminé de manger au moins 3 heures (de préférence 4 heures) avant le départ de la course. Ceci est d'autant plus important si vous êtes un coureur dit « stresser ». Il semblerait que plus nous stressons, plus la digestion est lente. Si cela est votre cas, mangez 4h avant la course.
Selon les chercheurs, la fréquence optimale, pour profiter des bienfaits du jogging sans nuire à la santé, est de trois joggings par semaine, d'une durée de 20 à 48 minutes chacun.
En revanche, évitez de courir à jeun trop souvent et trop longtemps. Cette pratique peut favoriser l'apparition d'états de fatigue importants, voire de maux de tête ou de troubles gastriques. Soyez mesuré dans la fréquence et la durée de vos runs le ventre vide et restez toujours à l'écoute de votre corps.
Il est conseillé de boire suffisamment avant, pendant et après les footings à jeun et d'emporter avec soi une barre de céréales ou un morceau de sucre en cas de fringale, le principal risque du footing à jeun étant l'hypoglycémie.
Le soir. Les avantages : Le footing du soir possède un bienfait incontestable. Celui de relâcher complètement la pression et la fatigue de la journée. Au-delà de ça, il s'agit surtout d'un créneau à privilégier pour tous les coureurs avides de performance.
« Il faut morceler sa respiration. Plus on court vite, plus on doit augmenter son rythme de respiration et donc apporter de l'O2 à son corps. Le corps peut utiliser jusqu'à 5L d'air pour fonctionner dans une course endurance, que l'on va découper en morceaux.
Les raisons : un rythme de course trop rapide ou une façon de respirer non adaptée à l'activité que vous pratiquez.
Pour apprendre à courir vite il est nécessaire d'apprendre à courir lentement en endurance fondamentale. Et quand on débute courir tous les jours brutalement n'est pas bon. 3 fois par semaine max en endurance fondamentale c'est à dire le plus lentement possible max 30 à 40mn maximum pendant 3 mois.
Courez en côte sur une distance d'environ 150 m avec une intensité de 90 à 95 % de votre effort maximum et répétez cet exercice entre six et dix fois. Faites de longues et puissantes foulées avec un tronc fort et stable. Pour vous reposer, redescendez en marchant ou en courant lentement.