Dès que les températures de jour sont au-dessus de 12 degrés, on peut sortir les palmiers à l'extérieur, dans un endroit très ombragé d'abord, afin de les acclimater. Après une semaine à l'ombre, on les déplacera graduellement vers des endroits de plus en plus lumineux.
Chaque variété de palmier a une rusticité donnée : par exemple un Trachycarpus fortunei résiste à -18°C, tandis qu'un Washingtonia robusta est rustique seulement jusqu'à -4 °C.
Il faudra donc sortir les plantes dès que tout risque de gelée sera écarté soit entre la mi-mai et la mi-juin selon les régions. Elle devront être rentrées dès les premiers frimas à la fin de l'été, car un coup de froid sur les nouvelles pousses serait fatal.
- le substrat doit toujours être humide (sans excès pour laisser respirer les racines). Arrosez par le dessus du pot, et videz la soucoupe du pot. - arrosez selon la saison, la lumière et la température. En hiver, la fraîcheur ralentit la croissance du palmier, diminuez les arrosages.
Arrosage des palmiers en pleine terre
Arrosez abondamment 1 à 2 fois par semaine l'année de la reprise (pendant les mois d'été), ainsi qu'en période de sécheresse. Lorsque le temps se rafraîchit, les besoins diminuent. Un bon drainage du sol est recommandé pour augmenter la tolérance au froid des racines.
La taille d'un palmier correspond avant tout au nettoyage des vieilles palmes, les feuilles mortes si vous préférez. La meilleure saison pour tailler les palmes est en début de printemps, de mars à mai.
Installez votre palmier dans une terre riche qui ne retient pas l'eau, sous une exposition chaude et ensoleillée. Les palmiers apportent une atmosphère exotique aux jardins. Ils évoquent souvent dans le jardin les pays chauds où l'on trouve des cocotiers sur les plages et des dattiers en ville.
Si vous observez un desséchement du bout des feuilles chez votre palmier, c'est que celui-ci souffre d'un manque d'eau. Si les feuilles sont jaunes, cela est du à la présence de calcaire dans son sol ou à une carence en oligo-éléments, procédez alors à un rempotage.
Le palmier en pot est assez gourmand d'engrais. La fertilisation (ou apport d'engrais) peut être réalisée toutes les 3 à 4 semaines de mars à novembre.
Le printemps est la meilleure période pour couper les feuilles des palmiers car ils sont frileux. Les anciennes palmes protègent en effet le stipe et les bourgeons terminaux du froid. Le printemps est aussi le moment où les anciennes feuilles jaunissent alors que les nouvelles se déploient.
Vous pourrez alors sortir (progressivement) vos fuchsia, lantana, brugmansia, bougainvillier, géraniums, cactées et plantes grasses, dipladenia, abutilon, strelitzia, bégonias, hibiscus, solanums, bananiers non rustiques, frangipaniers, gardenia, la plupart des passiflores et des agrumes...
Globalement, les plantes tropicales et semi-tropicales sont les plus frileuses. Ainsi, palmier, orchidée, bananier, hibiscus, gardenia… en pot seront les derniers à sortir et les premiers à rentrer.
Bon à savoir : dans les régions méditerranéennes, le Dracaena marginata peut être placé à l'extérieur, sous réserve qu'il soit abrité du soleil direct. Un coin bien ombragé du jardin, du balcon ou de la terrasse lui convient parfaitement. Il faut aussi veiller à l'abriter des grands vents.
Le palmier est une plante rustique. Sa durée de vie peut aller jusqu'à plus de 100 ans. Tout dépend de son entretien et de son espèce.
Les palmiers cultivés en pot sont beaucoup plus sensibles au froid. La combinaison de vent (parfois fort et froid) et l'humidité majorent les effets du froid. La neige est considérée comme un isolant (les palmiers peuvent la supporter) ; en revanche, si ça gèle, elle glace la plante, le palmier ne respire plus.
Protéger un grand palmier contre le froid
Enrubannez-le dans plusieurs épaisseurs de voile d'hivernage, comme si vous enfiliez une écharpe en plusieurs couches. Si un coup de froid sévère est prévu, renforcez cette protection en plaçant des branches de conifère dans le cœur des palmes.
Veillez à arroser régulièrement et copieusement les palmiers installés au jardin en pleine terre les premières années suivant la plantation. Le sol doit rester frais, mais sans excès. Paillez autour du stipe pour limiter l'évaporation. En hiver, réduisez la fréquence des arrosages du palmier.
– plantez les palmiers dans un endroit chaud : la chaleur favorise la croissance du palmier. Bien que celui-ci résiste au froid, il ne pousse pas aussi vite. Donc, afin d'accélérer la croissance du palmier, plantez-le dans une terre riche qui ne retient pas l'eau associée à un environnement chaud et ensoleillé.
Un arrosage en profondeur permet à votre palmier de retenir l'humidité. L'arrosage de votre plante en arrosant simplement les feuilles et la terre végétale avec votre tuyau d'arrosage est l'opposé d'un arrosage en profondeur.
S'il est planté en pleine terre, la profondeur des racines vous donnera peut-être un peu d'espoir pour voir quelquechose repartir au printemps, mais si le tronc a trop souffert (surtout au coeur du palmier, la ou naissent les nouvelles poussent) il risque de pourir et de ne plus jamais rien donner.
10 - Au jardin le palmier s'accompagne de plantes tropicales - Bananiers, bambous, yukka, cactus... Tous ces noms de plantes résonnent comme des invitations au voyage. Venues des régions chaudes et humides, elles accompagnent le palmier dans son installation au jardin.
Quand transplanter un palmier ? Si vous devez déplacer un palmier, faites-le entre avril et juillet, dans l'idéal. La terre doit être humide, détrempée à l'avance s'il le faut (mouillée sur une hauteur équivalente à 1 mètre !).
Palmier de Darwin (Carpentaria acuminata)
Bien qu'en moyenne, ils atteignent environ 9 mètres. Dans de bonnes conditions – un sol riche et un climat chaud et humide – le Carpentaria peut atteindre une croissance de 2,5 mètres par an. Cela en fait l'un des palmiers à la croissance la plus rapide.
Les palmiers consomment surtout de l'azote (N), que l'on trouve dans les engrais pour gazon, les purins végétaux, les engrais d'origine animale comme la corne broyée. C'est un élément facile à apporter au palmier, mais très soluble et qui peut faire des dégâts si on le surdose.
un excès d'humidité du sol, qui devra alors être drainé, un terrain trop compact ou trop argileux, une carence en minéraux, un engrais adapté devrait pouvoir la corriger, une maladie provoquée par un champignon, la fusariose, qui bouche les vaisseaux et empêche la circulation de la sève.