Comme nous l'avons vu plus haut, les palpitations cardiaques sont généralement bénignes. Elles peuvent donc être attribuables : À l'effort : dans ce cas, elles disparaissent d'elles-mêmes après quelques minutes. Au stress : lorsque la pression est plus intense, elles diminuent graduellement.
Les palpitations cardiaques se traduisent par une sensation de battements irréguliers du cœur. Plusieurs facteurs peuvent en être à l'origine : effort intense, grossesse, troubles émotionnels, tabac, alcool, certains médicaments, etc. Souvent inoffensives, elles peuvent toutefois être le signe de troubles cardiaques.
En cas de palpitations cardiaques au repos, fermez les yeux et, en position allongée ou assise, posez les mains sur votre poitrine, et respirez de façon régulière pendant plusieurs minutes, afin de retrouver un bon rythme cardiaque et d'oxygéner le cerveau.
«Tout le monde a des palpitations, c'est tout à fait banal. Plus on avance en âge, plus on en a», rassure le Dr Claude Kouakam, cardiologue au CHRU de Lille et membre de la fédération française de cardiologie.
Les palpitations peuvent avoir diverses origines et correspondre soit à une adaptation du cœur à une situation normale, soit à des battements anormaux du cœur. Par exemple, une accélération transitoire des battements cardiaques peut s'observer lors d'un effort soudain ou d'un moment de stress ou d'anxiété.
Dormir sur le côté gauche stimulerait le nerf qui tend à accélérer le rythme cardiaque. - Troisième raison, une autre forme de trouble du rythme cardiaque, l'arythmie vagale (le rythme cardiaque est irrégulier). Dormir sur le côté gauche réduirait ce type d'arythmie pendant la nuit.
Pour le vérifier des cardiologues, proposent un test qui prend moins de deux minutes et qui ne nécessite pas d'autre matériel qu'un escalier. Comment faire ? Lancez un chronomètre et tentez de monter quatre étages : si vous mettez moins d'une minute, cela signifie que votre cœur est en bonne santé.
Les palpitations qui s'accompagnent d'autres symptômes, comme un essoufflement, une douleur thoracique, une faiblesse, une fatigue ou des évanouissements, sont plus susceptibles d'être liées à un rythme cardiaque anormal ou à un trouble grave.
Inspirer par le nez ou par la bouche pendant 5 secondes pour remplir les poumons, puis expirer par la bouche à nouveau pendant 5 secondes pour les vider. À faire pendant 2 à 3 min pour calmer les palpitations (puis plusieurs fois par jour pendant une minute ou deux).
Tachycardie sinusale
Elle se soigne le plus souvent bien, en traitant le problème à l'origine de cette accélération du rythme cardiaque. Par exemple, soigner l'hyperthyroïdie guérit la tachycardie associée.
L'anxiété augmente le risque de palpitations et de battements de cœur irréguliers, et peut entraîner des spasmes ou un emballement du cœur, des réponses qui peuvent toutes mener à des complications cardiaques.
Lorsque la fréquence cardiaque est au-dessus de la barre des 100 battements par minute. Une fréquence cardiaque au-dessus de 100 n'est pas signe de bonne santé.
Il s'agit d'un phénomène très fréquent dans toutes les situations qui accélèrent le rythme cardiaque (effort physique, stress, consommation d'excitants, grossesse, fièvre...)." Un tempérament anxieux, ainsi que certaines maladies qui n'ont rien à voir avec le cœur, peuvent aussi provoquer des palpitations.
D'autres facteurs peuvent expliquer ces palpitations, à commencer par le stress et le manque de sommeil. Une consommation d'excitants, comme le café, l'alcool ou les cigarettes, peut aussi être en cause. Il est alors essentiel de revoir son hygiène de vie et d'apprendre à se relaxer.
Quelles sont les causes des palpitations ? Les palpitations peuvent être déclenchées par de l'anxiété, du stress, ou de la panique. Dans ces cas, les glandes surrénales sécrètent des substances qui augmentent le rythme cardiaque.
L'exercice d'aérobie – ou d'endurance – implique un mouvement continu de vos grands muscles (comme vos jambes). Ce type d'exercice augmente votre respiration et votre rythme cardiaque, ce qui améliore les capacités de votre cœur, vos poumons et votre système circulatoire.
D'après leurs conclusions, un patient qui prend un médicament à base de diclofénac, comme c'est le cas du Voltarène, a 20 % plus de risques de faire une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'avoir de l'arythmie qu'un patient qui prend du paracétamol ou de l'ibuprofène.
La FC au repos se situe entre 50-90 battements par minute (bpm), et peut s'abaisser jusqu'à 30 bpm au repos chez les personnes ayant une bonne condition physique. Elle varie au cours de la journée, avec typiquement une diminution durant la nuit, et est légèrement plus rapide chez les femmes que chez les hommes.
Cette augmentation du rythme cardiaque est souvent accompagnée d'un mal de tête, de sensation de malaise, de fatigue, de nausées, de sueurs, de gêne dans la poitrine et parfois même d'évanouissement.
Complications de la tachycardie
Lorsque la tachycardie est due à une maladie du cœur, l'évolution dépend de cette maladie du cœur. La complication la plus grave est le risque de décès en cas de tachycardie ventriculaire brutale et grave. Le malaise ou la perte de connaissance est un signe de gravité.
Fort heureusement ces situations, bien que fréquentes, ne revêtent que rarement un caractère de gravité. Néanmoins, il convient d'en parler à son médecin. Spontanément le cœur bat à un rythme assez rapide, à environ 90 battements par minute. En fait cet organe est sous le double contrôle du système nerveux autonome.
L'estomac et le pancréas sont situés au niveau du côté gauche de notre corps. Lorsque nous dormons sur le côté droit, le corps doit lutter contre la gravité. Cela engendre une certaine pression sur l'estomac et le pancréas, les empêchant ainsi de fonctionner correctement.
Généralement, le cœur bat entre 60 et 80 fois par minute. Toutefois, chaque personne a un rythme cardiaque normal qui lui est propre : certains cœurs battent plus vite ou plus lentement que d'autres. Il est question d'arythmie lorsqu'il y a irrégularité du rythme cardiaque.