L'essoufflement est une sensation bien connue, normale après un effort intense. Il s'agit d'une augmentation du rythme respiratoire qui permet à l'organisme d'augmenter l'apport d'oxygène.
Essoufflement au repos. Niveau de conscience réduit, agitation ou confusion. Sensation de gêne dans le thorax ou sensation que le cœur bat la chamade ou s'accélère, ou qu'il saute un battement (palpitations) Perte de poids.
Le souffle, ça se mesure. Le test de base est très simple et rapide : il consiste à inspirer profondément avant d'expirer le plus fort et le plus vite possible dans un embout relié à l'appareil de mesure du débit expiratoire.
Tout le monde connaît cette sensation d'être essoufflé après un effort intense. Le simple essoufflement est dû à une augmentation normale de son rythme respiratoire lorsque son corps est sollicité intensément. L'essoufflement permet alors à l'organisme d'augmenter son apport en oxygène.
Essoufflement, fatigue, œdème et prise de poids doivent alerter. La première difficulté réside dans le diagnostic. Florence Beauvais rappelle que quatre signes doivent alerter. Pour s'en souvenir, un acronyme : EPOF, pour essoufflement, prise de poids, œdème et fatigue.
Capacité pulmonaire
Lors d'une respiration normale, un volume d'environ 0,5 litre d'air est inspiré puis à nouveau expiré. Si nous faisons une inspiration particulièrement profonde et expirons ensuite le plus complètement possible, cette quantité d'air peut s'élever à près de 2 litres (volume de réserve inspiratoire).
En cas d' essoufflement quotidien et/ou d' exacerbations : il est préconisé d'utiliser un bronchodilatateur de longue durée d'action : anticholinergique de longue durée d'action (LAMA) ou un β-2 agonistes de longue durée d'action (LABA) en privilégiant les LAMA en cas d' exacerbations .
L'analyse des gaz du sang (ou gazométrie) est l'examen qui permet de porter de façon formelle le diagnostic d'insuffisance respiratoire. Elle est réalisée à partir d'un échantillon de sang, prélevé généralement au niveau du coude ou du poignet.
► Si la dyspnée s'accompagne de toux et de fièvre, il faut consulter un médecin. ► En cas de dyspnée permanente avec souffle court et difficultés à inspirer et expirer, c'est une urgence respiratoire.
Inspirez posément par le nez en gonflant votre ventre comme s'il s'agissait d'un ballon. Bloquez ensuite votre respiration quelques secondes. Expirez profondément par la bouche en creusant votre ventre jusqu'à ce que tout l'air soit évacué. Une série de 5 respirations devrait suffire pour vous apaiser.
tachycardie. parole difficile ou impossible. débit expiratoire de pointe au peak-flow inférieur à 60 % des valeurs habituelles. Persistance de la crise malgré la prise d'un bronchodilatateur de secours.
Inspirez puis expirez et comptez le nombre de cycles sur une minute. Si vous dépasser 20 cycles par minute, vous êtes en "polypnée" et vous devez alors contacter rapidement un médecin pour évaluer votre situation.
infections et pneumonies : les infections du poumon, dont font partie les pneumonies, peuvent occasionner des douleurs thoraciques et dorsales. Celles-ci sont accompagnées d'une forte fièvre, de toux et d'une gêne respiratoire. Ces infections doivent être prises en charge par un médecin.
Un test de spirométrie mesure la santé de vos poumons et peut diagnostiquer et surveiller des affections respiratoires. Pendant le test, vous devrez expirer le maximum d'air possible, aussi fort que possible, dans un appareil appelé spiromètre.
La spirométrie se déroule avec un pince-nez : il faut souffler uniquement par la bouche dans l'embout du spiromètre. Au début, il suffit de respirer tranquillement pour évaluer les volumes pulmonaires. Ensuite, il faut inspirer et souffler le plus fort possible.
Capacité pulmonaire
Ce volume maximal de respiration est appelé la capacité vitale du poumon. Même après une expiration maximale, 1 à 1,5 litre d'air reste encore dans les poumons. Si l'on ajoute cette valeur à la capacité vitale, on obtient la capacité totale, qui est d'env. 3.5 à 4 litres.
l'hypertension ; l'excès de cholestérol ; ou encore le diabète.
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.
La tension artérielle normale varie selon l'âge, mais l'hypertension artérielle (TA supérieure à 140/80 mmHg) aggravera votre fonction cardiaque, augmentera vos symptômes et nécessitera un traitement à long terme.