C'est l'imparfait du verbe être. J'étais, tu étais, il était absent hier. été, prononcé deux fois avec un son é justement, c'est : Soit une saison : Le printemps, l'été, l'automne, l'hiver.
On n'écrit pas elles ont étés , car comme on l'a dit ce participe passé est invariable. De plus attention de ne pas confondre les conjugaisons qui se prononcent pareil mais s'écrivent différemment : la graphie elles ont étaient est incorrecte.
Elle est utilisée pour annoncer ou présenter quelque chose ou mettre en relief une partie de la phrase. On écrit « c'est » (indicatif présent), « c'était » (indicatif imparfait). « c'était » s'accorde avec le nom qui le suit. Lorsque ce nom est au singulier, on écrira donc « c'était ».
Le « c' » est ici remplaçable par « me » ou « te » : on pourrait aussi bien dire « si je ne m'étais pas défendu » ou « si tu ne t'étais pas défendu ». Il faut donc écrire « s'était » et non « c'était ».
Selon les règles d'orthographe françaises, il faut écrit « a-t-il » avec des tirets. En effet, le « t » est un « t » euphonique, qui a été ajouté pour faciliter la prononciation et non la contraction du pronom « toi » ou « tu ».
C'est l'imparfait du verbe être. J'étais, tu étais, il était absent hier. été, prononcé deux fois avec un son é justement, c'est : Soit une saison : Le printemps, l'été, l'automne, l'hiver.
On pourrait dire aussi est « est-ce possible » est strictement la forme interrogative de « c'est possible » (cela est possible) : [i]C'est possible de réserver aujourd'hui ; Est-ce possible de réserver aujourd'hui .»
Accorder un verbe (sous forme de participe passé ou non) avec le sujet, est obligatoire quelle que soit la place du sujet, bien sûr ! Comment s'est passée ta journée ? Elle s'est bien passée !
C'est : Cette expression est formée de c' un pronom démonstratif et du verbe être à la troisième personne du singulier est. S'est : Cette expression se forme de s', la forme contractée de se, le pronom personnel réfléchi et de est, troisième personne du singulier du verbe être.
On utilise la marque 's pour exprimer une relation de possession entre deux choses. Elle s'utilise majoritairement lorsque le possesseur est un être animé (personne, groupe de personnes, animaux) ou un pays.
Dans notre phrase, on a le verbe se passer (comme dans les phrases voilà comment ça se passe , qu'est-ce qui se passe ? ), donc accompagné du mot se . Quand on utilise se passer avec l'auxiliaire être , se devient s' et on écrit s'est passé .
Si vous dites : c'étaient bien les paroles du texte, ce sera au pluriel ; c'était bien conforme au texte original, on mettra un singulier, par exemple.
La lettre c se prononce [s] devant les voyelles e, i et y. La lettre c se prononce [s] devant les voyelles a, o et u quand on lui ajoute une cédille : ç. La lettre c se prononcent [k] devant les voyelles a, o et u.
La réponse simple
On écrit, en langage familier, « ça a été ».
En fait, été est un nom masculin. On dit donc un été , l'été le plus chaud de la décennie (en accordant chaud au masculin), et on ne dit pas une été , l'été dernière . D'ailleurs, en français, les noms de toutes les saisons sont des noms masculins : un automne pluvieux , un hiver très froid , un printemps ensoleillé .
Parce que « faits » correspond au participe passé du verbe faire conjugué à la troisième personne du pluriel de l'indicatif présent à la voix passive. Le participe passé s'accorde conjugué avec l'auxiliaire être s'accorde en genre et en nombre avec le sujet : il est fait, ils sont faits.
Locution adverbiale
S'emploie pour exprimer l'incertitude quant à la proposition qui précède ou suit. Qui sait, ils ont pu avoir des bouchons sur l'autoroute... Qui sait si les médecins suffiront à la guérir...
Dans la langue soignée, il y a une nuance à faire entre les prépositions voici et voilà. Voici s'emploie lorsqu'on renvoie à quelqu'un ou à quelque chose qui est relativement proche du locuteur, tandis que voilà s'emploie lorsqu'on renvoie à quelqu'un ou à quelque chose qui se trouve plus loin.
La réponse simple. On écrit toujours « ça s'est bien passé ».
Sur le plan de l'orthographe, cette phrase comporte deux difficultés : la première lettre de s'est et l'accord de passée . On écrit l'opération s'est bien passée , avec un s au mot s'est et avec passée au féminin.
Différence entre a et à
- a provient du verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif : il a. - à est une préposition. La façon la plus simple pour les distinguer est de mettre la phrase dans un autre temps comme l'imparfait. À l'imparfait, "a" devient "avait" tandis que "à" ne change pas.
Il est incorrect d'écrire est-t-il . Ce t supplémentaire peut se rencontrer entre le verbe et le mot il , mais seulement dans le cas où le verbe ne se termine pas par t ou d . Ainsi, on écrit va-t-il , mange-t-il , etc. Ce t n'appartient pas au verbe et c'est la raison pour laquelle on l'écrit à part.
La virgule s'emploie obligatoirement entre les mots, les syntagmes et les propositions qui sont coordonnées sans conjonction (mais, or, et, etc.). On parle alors de juxtaposition. - On monte, on descend, on crie, on s'agite en tous sens.