La souffrance au travail fait référence à la souffrance mentale. Cette dernière est considérée comme un mal-être ou une détresse psychologique. La détérioration de la santé mentale des salariés est souvent liée aux nouvelles formes d'organisation du travail au sein des entreprises.
En effet, les causes d'un mal-être au travail peuvent être très nombreuses : l'ambiance avec ses collègues, les relations avec son manager ou les clients de l'entreprise, la nature des tâches à accomplir, les horaires etc.
Le travail est une source de stress
Ces dépressions ont des causes variées mais, selon 56% des personnes interrogées, le travail serait un facteur aggravant. La pression des supérieurs, un management toxique, un rythme soutenu peuvent en effet conduire à des états de mal-être profonds.
Mal-être au travail : les signes qui ne trompent pas
Irritabilité, stress, perte de motivation, répercussions sur la santé physique et mentale, incapacité à prendre du recul, erreurs récurrentes, fatigue : il s'agit parfois de petits signes, mais ils sont à prendre très au sérieux dès lors qu'ils apparaissent.
Le manque de reconnaissance, l'absence de perspective d'évolution et les mauvaises conditions de travail (2) sont les principales causes de cette souffrance professionnelle. Autre phénomène identifié, celui du présentéisme. Complexe, sournois et banal, il encourage l'épuisement professionnel.
Pour certains, le travail est synonyme de nécessité et de liberté car il permet de se détacher de la nature et de créer sa propre condition, culture. Pour d'autres, il est synonyme d'oppression, de contrainte. Il fait le malheur de l'Homme si celui-ci subit son travail.
Le mal être au travail : quelle définition ? Le mal-être est un sentiment de malaise profond qui s'empare d'un salarié et s'installe dans la durée. Il s'exprime le plus souvent par des commentaires sur la fatigue ou le stress au travail.
Le syndrome d'épuisement professionnel, ou burnout, est un ensemble de réactions consécutives à des situations de stress professionnel chronique dans lesquelles la dimension de l'engagement est prédominante.
Ainsi, pour faire reconnaître une dépression comme une maladie professionnelle, il faut en faire la demande à la CPAM. Ensuite, celle-ci va s'adresser au Comité Régional de Reconnaissance des Maladies Professionnelles CRRMP.
Les motivations conscientes ou inconscientes d'un collègue qui ne vous "aime" pas peuvent être multiples : manque de confiance en soi, jalousie, rivalité, envie, peur,…
psychiques profondes mais également parce que l'on a oublié que le corps a aussi des limites. Si c'est l'esprit qui “lâche” en premier, la dépression complique le burn-out. Si c'est le corps, c'est une fatigue sans fond que l'esprit et la volonté de l'individu ne peuvent combattre facilement.
Une sensation de ne pas être là, des maux de tête récurrents, des douleurs articulaires, une fatigue permanente, des émotions qui s'emballent, des tremblements, une sensation de froid, une incapacité à prendre des décisions.
C'est un ensemble de symptômes (syndrome) résultant de la dégradation du rapport subjectif au travail. Cela se traduit par : Un épuisement émotionnel, physique et psychique. La personne a la sensation d'être "vidée de ses ressources".
Si votre chef vous stresse, attention à ne pas vous laisser déstabiliser. La méthode Coué peut opérer des merveilles : répétez-vous que votre travail a de la valeur, que vous avez le droit de dire non. Si vous n'êtes pas d'accord, en revanche, préparez votre argumentaire avec soin.
Ayez plutôt un entretien bref et direct, en personne.» Selon la situation, la présence d'un témoin peut être requise. Mais ne faites pas intervenir les collègues de l'employé. Faites appel à une personne neutre, comme le responsable des ressources humaines.
Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
Par une conversion dialectique exemplaire, le travail servile lui rend alors sa liberté car il sait comment s'y prendre pour dominer la nature tandis que le maître, qui ne sait plus travailler, a de plus en plus besoin de son esclave et devient en quelque sorte esclave de l'esclave.