On rencontre aussi une variante parfois attribuée à Talleyrand, également sans le moindre élément probant : « quand je me regarde je m'inquiète, quand je me compare, je me rassure ».
Quand je m'examine, je m'inquiète. Quand je me compare, je me rassure.
Expression utilisée au Québec. Invite au relativisme dans l'appréciation de sa propre personne. Ainsi, on se juge toujours trop sévèrement, puisque, lorsque l'on se compare aux autres, on finit toujours par se trouver des qualités, soit insoupçonnées, soit présentes en plus grand nombre chez soi.
Sociologie Si nous avons tendance à nous trouver plus intelligents ou moraux que les autres, c'est l'inverse quand il s'agit de la richesse de notre vie sociale. « Quand je me regarde, je me désole ; quand je me compare, je me console », aurait déclaré Talleyrand.
Quand on se compare on se console, disait le dicton. Aujourd'hui on dira plutôt que quand on se compare on se désole. Bien que cela puisse sembler anodin, la comparaison à autrui peut bel et bien rendre les gens malheureux voire même, inhiber le passage à l'action.
Quand je m'examine, je m'inquiète. Quand je me compare, je me rassure. Ne dites jamais du mal de vous ; vos amis en diront toujours assez. Les femmes pardonnent parfois à celui qui brusque l'occasion, mais jamais à celui qui la manque.
Cette citation de Charles-Maurice de TALLEYRAND : Tout ce qui est excessif est insignifiant. , fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Charles-Maurice de TALLEYRAND.
Talleyrand préfère raconter dans ses mémoires qu'arrivant pour dîner chez Barras, il le découvre effondré par la noyade de son aide de camp et le console longuement, d'où la bienveillance du directeur à son égard.
Le complot fomenté par Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord et Joseph Fouché durant les derniers mois de 1808 vise, à la suite de rumeurs de mort de Napoléon Bonaparte (en pleine guerre d'Espagne), à conserver le pouvoir en confiant la régence à l'impératrice Joséphine.
Talleyrand était un diplomate, un épicurien incarnant l'art de la vie aristocratique du siècle des Lumières. Il naît en 1754 dans une famille de haute noblesse, mais malheureusement, il a un pied bot. Cette déformation l'oblige à marcher avec une canne et l'empêche de s'engager dans une carrière militaire.
Depuis deux siècles, les historiens multiplient les thèses, échafaudent des hypothèses. Dans cette commune belge, Napoléon aurait été doublement trahi le 18 juin 1815. D'abord par ses généraux, Ney et Grouchy en tête.
Signes particuliers : un pied-bot, d'où son surnom de « diable boiteux », et une mauvaise réputation, à tort et à raison.
Histoire. La famille de Talleyrand-Périgord revendiquait être, par la famille de Grignols, une branche cadette de la famille des comtes de Périgord, descendants de Boson Ier , comte de la Marche et de Périgord.
La meilleure Bio sur Talleyrand qui n'occulte rien des défaut de l'homme mais nous le montre plus humain. L'homme politique français le plus habile, le plus cynique et le plus intelligent ! Talleyrand est un homme extraordinaire. Dans le sens où il a traversé tant d'époques où il aurait largement pu sombrer.
Qui n'a rien de marquant, qui est sans intérêt : Parler de choses insignifiantes. 2. Qui manque de personnalité, de qualités : Un acteur insignifiant. 3.
excessif adj. Qui excède la mesure ordinaire ou raisonnable.
C'est à Talleyrand qu'on attribue généralement la paternité de ce dicton bien commode et fort populaire. Une petite minorité fait aussi de Beaumarchais l'auteur de la formule.
Appelé au Conseil de régence en 1814 après la chute de l'Empereur, Talleyrand contribue au retour des Bourbons. Il est élu président du gouvernement provisoire par le Sénat. Il met Louis XVIII sur le trône, qui le nomme ministre des Affaires étrangères.
En 1800, il passe sur la rive droite et s'installe à l'Hôtel de Créqui, rue d'Anjou, détruit par la suite. En 1808, retour rive gauche pour habiter l'Hôtel de Matignon-Monaco jusqu'en 1812 avant d'acheter l'Hôtel de la rue Saint-Florentin et de s'y installer.
Talleyrand, évêque d'Autun.
Origine : L'expression fait référence à la déroute de l'armée napoléonienne en 1812. A cette date, Napoléon a mené ses troupes face aux Russes, à Moscou. Mais ceci fut une grossière erreur de la part de l'Empereur, qui se trouva bloqué devant la rivière, nommée Bérézina, qui était infranchissable.
Pourtant, les archéologues ont retrouvé très peu de traces des soldats tombés durant l'affrontement. La dernière en date est un os de jambe amputé mis au jour en 2019 lors d'une fouille du principal hôpital de campagne des Alliés.