Il est utilisé dans : le traitement de la schizophrénie, le traitement des états maniaques associés à un trouble bipolaire, le traitement de courte durée de l'agressivité chez les enfants présentant des troubles graves du comportement et chez les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer.
RISPERDAL doit être administré une fois par jour, en débutant par 2 mg de rispéridone. Si nécessaire, les adaptations posologiques se feront par paliers de 1 mg par jour en respectant un délai minimum de 24 heures entre chaque palier de dose.
Le Risperdal® est un médicament antipsychotique utilisé en traitement de certains troubles psychiques, notamment la schizophrénie, les épisodes maniaques au cours des troubles bipolaires et les épisodes d'agressivité chez les patients atteints de la maladie d'Alzheimer.
Syndrome malin des neuroleptiques (SMN) : la rispéridone, comme les autres médicaments antipsychotiques, peut provoquer un syndrome potentiellement mortel connu sous le nom de syndrome malin des neuroleptiques (SMN). Si les symptômes du SMN apparaissent, demandez immédiatement des soins médicaux.
RISPERIDONE BIOGARAN augmente fréquemment le taux d'une hormone appelée « prolactine » dans le sang. Ceci peut causer des effets indésirables tels que des troubles menstruels ou des problèmes de fertilité chez les femmes, un gonflement des seins chez les hommes (voir « Quels sont les effets indésirables éventuels ? »).
Il est utilisé dans : le traitement de la schizophrénie, le traitement des états maniaques associés à un trouble bipolaire, le traitement de courte durée de l'agressivité chez les enfants présentant des troubles graves du comportement et chez les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer.
On observe souvent au début, un effet sédatif, voire une somnolence qui s'estompe progressivement. Mais le véritable effet thérapeutique n'apparait qu'après 2 à 3 semaines de traitement. C'est pourquoi il faut accepter d'attendre.
Comme d'autres antipsychotiques atypiques, la rispéridone agit sur le niveau de certaines substances chimiques du cerveau appelées dopamine et sérotonine. Le mécanisme grâce auquel les antipsychotiques atténuent les symptômes de la schizophrénie et du trouble bipolaire n'est pas encore complètement connu.
Les antipsychotiques peuvent soulager les symptômes de la psychose comme les idées délirantes (fausses croyances) et les hallucinations (voir ou entendre quelque chose qui n'existe pas).
l'olanzapine (Zyprexa ®) la risperidone (Risperdal ®) l'aripiprazole (Abilify ®) ensuite, dans les neuroleptiques plus anciens, le cyamémazine (Tercian ®), le lévromépromazine (Nozinan ®), le chlorpromazine (Largactil ®) entrainent souvent des prises de poids importantes.
La schizophrénie est une maladie psychiatrique caractérisée par un ensemble de symptômes très variables : les plus impressionnants sont les délires et les hallucinations, mais les plus invalidants sont le retrait social et les difficultés cognitives.
Les neuroleptiques, qui sont maintenant plutôt désignés par le terme antipsychotiques, sont une famille de médicaments utilisés principalement pour combattre certains troubles mentaux, notamment la schizophrénie.
RISPERIDONE BIOGARAN 1 mg, comprimé pelliculé sécable est générique de RISPERDAL 1 mg, comprimé pelliculé sécable qui est une spécialité connue avec un rapport bénéfice risque favorable. Le RCP est en accord avec celui du produit de référence.
Vous ne devez pas arrêter de prendre ce médicament sans que votre médecin vous ait dit de le faire. Vos symptômes peuvent réapparaître. Si votre médecin décide d'arrêter ce médicament, votre posologie pourra être progressivement diminuée sur plusieurs jours.
Les anxiolytiques agissent en augmentant la capacité de relaxation et en diminuant les manifestations physiques de l'anxiété. Leur action est rapide. "Ils ne peuvent pas constituer un traitement de fond, précise le Dr Fond.
Les troubles psychotiques affectent le fonctionnement du cerveau en modifiant les pensées, les croyances ou les perceptions. Une personne présentant un trouble psychotique peut, par exemple, être convaincue d'être épiée ou suivie, entendre des voix ou avoir l'impression que d'autres personnes manipulent ses pensées.
Somnolence, fatigue, sédation, mal-être sont fréquents au début. La personne peut ne pas se sentir « comme d'habitude » : ralentie, endormie, fatiguée. C'est très fréquent au début du traitement.
L'halopéridol est l'antipsychotique le plus couramment utilisé dans de nombreux pays et, avec d'autres antipsychotiques de forte puissance, est souvent considéré comme plus efficace que les antipsychotiques de faible puissance.
La personne peut être consciente ou non du fait qu'elle expérimente une hallucination. Certaines maladies chroniques (épilepsie, démence) infectieuses (encéphalite), ou métabolique, l'abus d'alcool et de drogues, les troubles du sommeil font également partie des maladies à risque d' hallucinations.
Les antipsychotiques, et en particulier ceux dits classiques, ont de nombreux effets indésirables : constipation, somnolence (plus marquée en début de traitement), troubles de l'accommodation, vision floue, sécheresse de la bouche, hypotension orthostatique, rétention d'urine, irrégularité des règles, troubles sexuels, ...
Lors de l'arrêt du traitement, une diminution progressive de la posologie est recommandée. Des symptômes aigus de sevrage, incluant nausée, vomissement, sudation, et insomnie ont été très rarement décrits lors de l'arrêt brutal de doses élevées de médicaments antipsychotiques (voir rubrique Effets indésirables).
La dyskinésie est un mouvement anormal et involontaire qui se traduit par : des mouvements non coordonnées ; des spasmes musculaires incessants ; une parésie (limitation de mouvement et de force musculaire).
Stratégies de sevrage suggérées. Pour ceux à qui on a prescrit des antipsychotiques pour le traitement des SCPD, nous recommandons d'envisager ce qui suit : Réduire à 75, 50 puis 25 % de la dose originale, aux 2 semaines, avant d'arrêter.