Le mariage fait naître un certain nombre d'obligations entre les époux, et le divorce les éteint. Mais ces obligations disparaissent au prononcé du divorce : elles subsistent donc au cours de la procédure, sauf décision contraire du juge. Ainsi, les époux se doivent l'un et l'autre fidelité, assistance et secours.
Cette obligation naît dès la signature du contrat de mariage et ne cesse qu'au divorce. Même si une ordonnance de non-conciliation est prononcée par un juge aux affaires familiales, elle perdure.
Les époux se doivent mutuellement respect, fidélité, secours, assistance. Les époux assurent ensemble la direction morale et matérielle de la famille. Ils pourvoient à l'éducation des enfants et préparent leur avenir.
Selon l'article 215 du Code civil, les époux s'obligent mutuellement à une communauté de vie. Le devoir conjugal n'est pas expressément visé par la loi. Cependant, il est de jurisprudence constante que cette «communauté de vie ne se limite pas au devoir de cohabitation» et implique d'avoir des relations sexuelles.
Les époux se doivent mutuellement fidélité, secours, assistance. Modifié par Loi du 22 septembre 1942, v. init. Le mari est le chef de la famille.
II, du…, ainsi que les principaux devoirs d'une femme mariée : la pratique de la religion, l'éducation des enfants, les relations avec son mari, et plus généralement les mœurs. L'accent est mis sur l'emploi du temps des épouses qui est une préoccupation constante de ces ouvrages.
Il n'est pas dangereux de vivre sans relations sexuelles. En effet, la sexualité n'est pas un besoin vital. C'est un moyen d'expression du corps, de tout l'être, mais un individu qui n'a pas de vie sexuelle n'est pas en danger. Manger, boire, dormir sont nécessaires pour tout être humain.
En théorie, une personne mariée est obligée d'avoir des relations sexuelles avec son conjoint. C'est le « devoir conjugal ». Pour autant, ce devoir n'autorise pas les relations sexuelles forcées.
La faute ne sera retenue que si la preuve matérielle mais aussi si la preuve de l'imputabilité de la faute sont apportées. Ainsi, la preuve matérielle de l'absence de devoir peut être apportée par les aveux même du conjoint ou encore par un certificat médical.
Chacun-e paye la moitié
Lorsque les revenus sont à peu près égaux, la question se pose peu, c'est le 50 / 50 qui s'impose. Les dépenses communes sont divisées en deux, et les dépenses personnelles sont payées individuellement.
L'article 225 du Code civil prévoit que « chacun des époux administre, oblige et aliène seul ses biens personnels. » Les biens propres des époux sous soumis à leur gestion exclusive, ce qui signifie qu'il n'est pas nécessaire pour eux d'obtenir le consentement pour les administrer ou en disposer.
Les époux gèrent seuls et en toute liberté leur patrimoine respectif. Ils engagent uniquement leurs biens propres envers leurs créanciers personnels. Il n'y a en principe aucun passif commun.
Ainsi, lorsqu'un époux, pendant la procédure de divorce, quitte le domicile conjugal, toutes les charges afférentes à ce bien doivent être supportées ensemble par les deux époux. A noter : les époux restent solidaires entre eux de toutes les dettes ayant pour objet l'entretien du ménage ou l'éducation des enfants.
En régime de séparation, seul le conjoint débiteur sera redevable. En régime de communauté, chacun des époux doit contribuer au paiement de la dette à concurrence de la moitié, sauf si la dette a été contractée dans l'intérêt personnel de l'époux débiteur ou dans l'intérêt de ses biens propres.
Les charges liées à l'occupation : sont à payer par l'occupant (Eau, électricité, gaz, taxe d'habitation…) Les charges liées à la qualité de propriétaire : sont à payer par les propriétaires en fonction de leur part dans le bien ex : 70/30 ou 50/50 (charge de copropriété, travaux de ravalement, taxes foncières…)
N°1 : La bonne épouse est avant tout la compagne de son mari, ce qui suppose oubli de soi, compréhension et bonne humeur. N°2 : Une véritable maîtresse de maison se doit d'accomplir ses tâches quotidiennes, cuisine, repassage, raccommodage, ménage, dans une abnégation totale et sans jamais se plaindre.
En France, si la majorité sexuelle -c'est-à-dire l'âge à partir duquel un adulte peut avoir une relation sexuelle consentie avec un mineur sans être poursuivi- a été fixée à 15 ans, il n'y a en revanche aucun âge limite en-dessous duquel un enfant n'est jamais consentant.
Chez les femmes, aucune conséquence sur le corps n'a été noté, excepté d'ordre psychologique. En effet, chez l'homme comme la femme, l'abstinence incite à une baisse de la libido, et augmente le stress et la tension artérielle.
Le mot “platonique” tire son origine du philosophe grec Platon. Ce n'est pas lui qui a évoqué ce concept pour la première fois mais il le développe dans le Banquet, la République et Phèdre. Vivre un amour platonique, c'est vivre une relation amoureuse avec une personne sans avoir de rapports sexuels avec elle.
Bianchi, chercheuses à l'université du Maryland, confirment l'apport croissant des femmes. Depuis 1970, le pourcentage de ménages où l'homme est le seul contributeur financier a fortement décru (il passe de près de 60 % à 25 %), de sorte qu'en 2001 70 % des ménages recevaient un apport des deux conjoints.
Il correspond à la femme qui réalise la majeure partie des tâches qualifiées de ménagères, telles que : l'entretien du logis, les achats de consommation courante, la préparation des repas, la surveillance et l'éducation des enfants, à titre d'exemples.
Quelle est la définition d'une femme de valeur ? L'écrivain John Roos a écrit ceci : "Quand nous pensons à une femme de valeur, nous pensons souvent à une femme qui est bonne et pure, douce et droite, une épouse fidèle pour son mari et une bonne mère pour ses enfants.
« Les époux ont le devoir d'habiter ensemble ; ils se doivent mutuellement fidélité, secours, assistance. » Cette obligation juridique « d'habiter ensemble » est comprise traditionnellement comme l'obligation de partager « le même toit, la même table, le même lit ».
Le premier devoir consiste à respecter les droits d'autrui. Le deuxième consiste à user de ses droits de citoyen (qui dépassent singulièrement le droit de vote) en combattant pour la défense des libertés individuelles mais aussi des droits économiques, sociaux et culturels.