On emploie le futur Pourrai-je quand on parle d'une action à venir. On emploie le conditionnel Pourrais-je quand on fait une hypothèse ou dans une formule de politesse.
Exemple : Je pourrai venir demain à ton anniversaire. Puisqu'il sert à évoquer l'avenir, il permet d'exprimer une action hypothétique. Dans ce cas, on peut aussi employer le conditionnel présent, « je pourrais ». Exemple : Si je termine mon travail assez vite, je pourrai(s) venir t'aider.
Quand on écrit je pourrais avec un s , cette fois, c'est le verbe pouvoir conjugué au conditionnel présent. Il s'emploie pour dire quelque chose d'hypothétique, ou bien pour faire une proposition, pour indiquer quelque chose qu'on serait en mesure de faire.
Exemple : ''Je pourrai t'aider avec ton projet.'' On choisit le futur simple pour une action future qui est sûre de se dérouler.
Pour ma part, "puis-je" et "pourrais-je" me semblent des formulations aussi polies l'une que l'autre. La nuance ajoutée concerne le degré de certitude du locuteur : qui dit "pourrais-je" paraît moins sûr d'obtenir ce qu'il désir que celui qui dit "puis-je".
Pourrais-tu s'écrit toujours avec un s , et avec un trait d'union entre les deux mots.
« J'aurai » ou « j'aurais » : quelle différence ? Tous deux sont des conjugaisons du verbe (auxiliaire) avoir. « J'aurai » est conjugué au futur simple, et « j'aurais » au conditionnel (présent) .
Le conditionnel est principalement utilisé pour exprimer une condition, une hypothèse, une formule de politesse ou un souhait. Condition : Si j'avais le temps, je lirais une bibliothèque entière ! Hypothèse : Les pertes s'élèveraient à des milliards d'euros.
Ce est soit un pronom démonstratif qui s'emploie avec être (ce sont, ce sera…) ou avec un pronom relatif (ce que, ce dont…), soit un déterminant démonstratif qui se place avant un nom.
Ces deux expressions sont les formes conjuguées du verbe « vouloir » du troisième groupe. « Je voudrai » est le conjugué du verbe « vouloir » au futur de l'indicatif, à la première personne du singulier. « Je voudrais » est le conjugué du verbe « vouloir » au conditionnel présent, à la première personne du singulier.
La conjonction ou
On écrit ou, sans accent, la conjonction qui relie deux mots ou deux groupes de mots pour indiquer un choix. Venez lundi ou mardi. On peut s'assurer que l'on a affaire à la conjonction ou quand on peut la remplacer par et : le sens sera différent, mais la phrase restera grammaticalement correcte.
Si le mot sur lequel on s'interroge peut être remplacé par « lorsque » (ou par « à quel moment », « le moment où », etc.), il s'agit de « quand ». Sinon, il s'agit de « quant », qui signifie « en ce qui concerne ».
Les deux formes « j'aimerai » et « j'aimerais » existent. Le verbe « aimer » conjugué à la première personne du singulier donne « j'aimerai » au présent et « j'aimerais » au conditionnel présent.
Le conditionnel présent est formé sur la base du futur simple mais avec les terminaisons de l'imparfait. Par exemple, le verbe aller au futur : J'ir-ai. Le verbe aller au conditionnel : J'ir-ais.
conditionnel
1. Mode du verbe qui sert à présenter l'action comme une éventualité ou comme la conséquence d'un fait supposé, d'une condition. (Le français possède un conditionnel présent [j'aimerais] et un conditionnel passé [j'aurais aimé] dont il existe une variante littéraire [j'eusse aimé].)
Forme interrogative de "je peux" qui induit que le sujet questionne sur sa possibilité de faire quelque chose. Exemple : Puis-je vous parler en privé madame, ce que j'ai à vous dire ne peut être entendu par vos hôtes.
Adam et Ornicar
Mais où est donc Ornicar ? Classique interrogation pour retenir la liste des conjonctions de coordination : Mais, ou (sans l'accent), et, donc, or, ni, car. Mais connaissez-vous Adam ? Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre.
Les verbes pronominaux permettent d'indiquer que le sujet fait l'action pour lui-même. On les reconnaît par les pronoms réfléchis me, te, se, nous, vous et à nouveau se devant le verbe. Ces pronoms réfléchis sont toujours de la même personne que le sujet.
Le « c' » est ici remplaçable par « me » ou « te » : on pourrait aussi bien dire « si je ne m'étais pas défendu » ou « si tu ne t'étais pas défendu ». Il faut donc écrire « s'était » et non « c'était ».
Le conditionnel exprime plutôt un futur hypothétique, ou un futur dans le passé : Olivier voyagerait s'il était riche. Éliane m'a dit lundi qu'elle démissionnerait vendredi, et elle l'a fait. Nous examinerons la formation du futur simple et du conditionnel présent, qui sont deux temps du mode indicatif.
On emploie le conditionnel présent ("achèterait") lorsque la condition est exprimée à l'imparfait (si Jordan gagnait). Le conditionnel présent s'emploie aussi : - pour demander quelque chose poliment. Pourriez-vous fermer la porte s'il vous plaît ?
On peut écrire les deux, tout dépend de ce que l'on veut exprimer. Si on veut exprimer la possibilité ou une forme de politesse , on utilisera le conditionnel. Si on veut insister sur la nécessité , il n'y a pas de part de doute et l'on emploie alors le futur.
futur antérieur : j'aurai fini, tu auras fini, il aura fini, elle aura fini, nous aurons fini, vous aurez fini, ils auront fini, elles auront fini. conditionnel passé : j'aurais fini, tu aurais fini, il aurait fini, elle aurait fini, nous aurions fini, vous auriez fini, ils auraient fini, elles auraient fini.
Il suffit de remplacer votre conjugaison aux personnes du singulier par "nous" pour entre "ons" (futur) ou "ions". Si en remplaçant par nous "ions" sonne bien alors utilisez le conditionnel. Je mangerai du chocolat demain soir (on ne peut pas dire "nous mangerions du chocolat demain soir").