Les vomissements : attention, ils peuvent être fréquents après un traumatisme crânien. Dans le cerveau, il existe une zone appelée « Trigger zone » ou « zone du vomissement ». Stimulée au moment du choc, cette zone peut faire vomir l'enfant. Un vomissement simple n'est donc pas exceptionnel.
Vomissements: 1 à 2 vomissements après une chute sont encore acceptables si votre enfant a été choqué, s'il y en a plus il faut faire un contrôle médical. Désorientation. Marche instable ou pertes d'équilibre. Votre enfant est très somnolent, se réveille peu.
Le développement dans le temps de certains symptômes chez les traumatisés crâniens comme des maux de tête sévères, des troubles importants de la coordination ou de l'équilibre, des vomissements répétés ou des convulsions, suggèrent une aggravation de l'état cérébral.
Selon l'échelle de Glasgow, nous pouvons classer le traumatisme crânien en trois niveaux : – mineur si GCS ≥ 13 ; – modéré si GCS entre 9 et 12 ; – sévère si GCS ≤ ou égale à 8. L'examen des pupilles comprend la taille, la réactivité et la symétrie.
Dans le cas d'un traumatisme crânien sévère, les conséquences à long terme peuvent être lourdes : une paralysie (son ampleur dépend de la localisation de la lésion), une perte de facultés intellectuelles, cognitives et psychiques, des troubles neurosensoriels, une perte d'équilibre, des abcès cérébraux (dans le cas d' ...
Les troubles de la mémoire les plus fréquents et dont se plaignent souvent les patients traumatisés crâniens portent surtout sur les processus de mémoire antérograde à long terme. La mémoire à long terme est perturbée dans toutes ses modalités : verbale, visuelle [12], en rappel comme en reconnaissance.
Il est préférable que le patient ne soit pas seul à son retour à domicile. Une réduction des activités voire un repos complet est préconisé pour les 24/48 heures suivant le traumatisme.
Traumatisme crânien grave
Si la lésion peut affecter d'autres parties du corps (par exemple, après un accident de la route) ou si la personne est inconsciente, il faut appeler une ambulance ou les secours (112 en France et dans l'Union européenne).
Le traumatisme crânien désigne une blessure ou la lésion du cerveau suite à un coup ou un choc violent à la tête. Une commotion cérébrale est une forme atténuée de traumatisme crânien. Le cerveau est généralement bien protégé à l'intérieur de la boîte crânienne.
Quel que soit son type, l'évolu- tion spontanée de l'œdème cérébral se fait vers sa résorption. Le mécanisme préférentiel de drainage de l'œdème cérébral est le LCR, soit par les ventricules cérébraux, soit par les espaces péri vasculaires des vaisseaux corticaux.
Quatre éléments peuvent être distingués dans cette évaluation du traumatisé : le terrain du patient, le mécanisme lésionnel, les lésions anatomiques, les variables physiologiques. L'âge élevé est un facteur de risque fort de mortalité.
D'ordinaire, les symptômes disparaissent en l'espace de 10 jours à 4 semaines. Si ce n'est pas la première commotion cérébrale subie, ou si d'autres facteurs liés à la santé sont présents, le rétablissement peut prendre plus de temps.
L'examen tomodensitométrique de crâne ou l'imagerie IRM fait le diagnostic lésionnel. L'imagerie du tronc cérébral est particulièrement importante pour détecter une cause neurologique à des vomissements en l'absence d'hypertension intra-crânienne [2].
Le danger est que, lorsque nous dormons, ceux qui nous entourent sont moins susceptibles de remarquer des signes de lésions cérébrales graves, telles que des convulsions ou une faiblesse d'un côté du corps.
Les conséquences d'une commotion sur le cerveau
Les conséquences immédiates d'une commotion sur le tissu du cerveau comprennent : des microdéchirures des fibres reliant différentes régions du cerveau. un déséquilibre chimique (ex. : entrée importante de calcium dans les cellules) une hyperexcitation des neurones.
Il ne se résorbe jamais seul et se manifeste par des signes cliniques divers et trompeurs : déficit neurologique, ralentissement psychique, confusion, crise d'épilepsie. Il existe un risque d'engagement cérébral.
Quels sont les signes et les symptômes d'une commotion cérébrale? Consultez immédiatement un médecin si un étudiant présente des « signes d'alarme » comme une douleur au cou, des vomissements répétés, une confusion grandissante, des convulsions, ou une faiblesse ou un fourmillement dans ses bras ou ses jambes.
Si vous vivez avec une personne qui a subi un traumatisme crânien, il est important de prendre un moment (ou plusieurs moments) pour vous appuyer sur votre propre réseau de soutien. Appelez un ami ou un membre de votre famille lorsque vous vous sentez dépassé.
Les traumatismes peuvent affecter les émotions, la mémoire, la pensée, la perception de soi et les relations. Le plus souvent, les femmes subissent les effets des traumatismes si, enfants, elles se sentaient impuissantes et incapables d'échapper à la violence.
troubles psychologiques : irritabilité, impulsivité, dépendance affective, difficulté à se concentrer, baisse des performances intellectuelles, incapacité à faire des projets, désintéressement du quotidien, vision négative de l'avenir, peur irrationnelle et sans fondement...