Le frottement du ski dégage de la chaleur qui fait fondre la neige et il se forme un film d'eau d'épaisseur micrométrique qui lubrifie le contact entre la neige et le ski. Il s'ensuit un coefficient de frottement peu élevé, mais dont la valeur précise dépend de l'épaisseur du film liquide.
Un mince film d'eau permet aux patins et aux skis de glisser aisément sur la glace et sur la neige. Le frottement des patins ou des skis sur la surface produit de la chaleur, qui la fait fondre.
Toujours d'après la seconde loi de Newton, à l'accélération calculée précédemment s'ajoute un terme négatif inversement proportionnel à la masse du skieur. Donc plus vous êtes lourds, plus ce terme sera faible et moins les frottements ralentieront le mouvement !
les cristaux de neige au contact du ski fondent avec l'effet de la friction . quand un ski avance sur la neige , il se crée un coussin de billes d'eau . les billes restent séparés par la tension de surface de l'eau et la qualité du fartage (effet hydrophobe) . la glisse est bonne .
Quand les températures sont comprises entre -15°c et -5°c, c'est le fart rouge qu'il faut sortir. Le fart jaune, quant à lui, est idéal pour les jours plus chauds, compris entre 6°c et 20°c. Enfin, quand la neige devient humine à l'arrivée du printemps, optez pour un fart fluoré.
Il est utilisé notamment pour le ski de fond, le ski alpin et le snowboard. Le fart de glisse protège la semelle contre l'oxydation et aide à évacuer la couche d'eau produite par le frottement des semelles sur la neige. Tout l'intérêt du fartage consiste à trouver l'équilibre dans l'épaisseur de cette couche d'eau.
- le poids du skieur : il détermine le réglage DIN c'est-à-dire la puissance de déclenchement de la fixation, - la longueur de la semelle de la chaussure (gravée sur le talon), - le niveau du skieur, - la pratique : elle détermine la position de la fixation sur le ski.
On lit parfois qu'en relativité, la masse augmente avec la vitesse. La masse est un invariant, elle n'augmente pas avec la vitesse.
Entrainez-vous d'abord à descendre lentement des pistes à faible pente, en allant d'un côté à l'autre de la piste. En écartant les skis, vous freinez, en les rapprochant, vous accélérez. Vous prendrez rapidement de l'assurance et pourrez alors augmenter votre vitesse et passer à des pistes plus difficiles.
Oui, c'est possible ! Beaucoup d'adultes prennent des cours de ski, pourquoi pas vous ? La facilité de l'apprentissage va dépendre de votre condition physique mais ce qui fait peur à l'âge adulte, c'est la chute. Un adulte a davantage de craintes de se faire mal, comparé à un enfant.
Pour ce faire, penchez votre buste légèrement vers la pente en regardant la vallée. Pliez les genoux et orientez les vers la pente (aval) pour amorcer le dérapage. Vous allez certainement sentir que l'un des côtés (avant ou arrière) du ski dérape plus vite que l'autre et que vous n'êtes plus perpendiculaire à la pente.
Si vous vous demandez combien de temps il faut pour apprendre à skier, la réponse est simple : de nombreux adultes débutants trouvent qu'ils peuvent commencer à skier sans problème sur des pistes de niveau débutant et intermédiaire dès la fin de leur première semaine de cours de ski à l'école ou après deux ou trois ...
Dans le doute, un signe ne trompe pas : le blanchissement de la semelle. Retournez vos skis et jetez-y un œil. Si une sorte de voile blanchâtre recouvre vos semelles, un fartage est IN-DIS-PEN-SA-BLE et même urgent !
Fondre et couler le fart à l'aide d'un fer réglé à la température préconisée sur la boite. Le fart ne doit jamais gégager de fumée ! Etaler le fart au fer par va-et-vient le long du ski, ne jamais s'attarder sur une zone. Attendre 30″ puis racler tiède.
La vitesse de chute d'un corps dans le vide ne dépend pas de son poids. Ainsi, une plume et un kilo de plomb tombent à la même vitesse dans le vide. Toutefois, la résistance de l'air est à prendre en compte sur terre, et c'est pourquoi la forme de l'objet a une influence.
On dit que certains effets sont proportionnels au carré de la vitesse. Pourquoi ? Parce que les effets de la vitesse dépendent de l'énergie emmagasinée ; l'énergie CINÉTIQUE. Or, l'énergie cinétique, sa formule, c'est : 1/2m X v².
La vitesse augmente considérablement la gravité des blessures en cas d'accident. Ainsi, le risque d'être gravement blessé ou tué lors d'un impact double entre 50 et 70 km/h et quadruple entre 70 et 90 km/h.
Idéalement, le tronc est stable, et, tout comme la tête, il est dirigé vers le bas de la pente. Par ailleurs, il doit se trouver au-dessus du ski aval afin de compenser la pression des genoux et des hanches vers l'intérieur du virage.
Pour cela, insérez un tournevis pour soulever la languette puis tournez. Faites ensuite glisser la talonnière dans son rail, jusqu'à ce qu'elle soit en contact avec le talon de la chaussure de ski.
C'est très simple : en position chasse-neige, regardez loin devant, déclenchez votre virage et transférez le poids de votre corps sur le ski extérieur, en restant bien face à vos skis. Tout naturellement les skis vont pivoter dans la direction où vous souhaitez aller.
Le bon réflexe serait d'offrir à vos spatules un affûtage-fartage à chaque vacances, ou dès que nécessaire si vous êtes un skieur plus régulier (c'est-à-dire quand vous sentez que les carres accrochent moins bien ou que la semelle colle à la neige).
Généralement, on compte maintenir la performance d'un ski à un niveau acceptable sur 150 jours d'utilisation.
Afin d'avoir un bon contrôle de sa trajectoire, il est important d'affûter régulièrement ses skis. En effet, plus vos carres seront aiguisées, plus vos skis resteront stables durant vos virages.