La peur peut avoir plusieurs origines, comme par exemple : une douleur (le cheval assimile le fait de sauter avec une douleur, ça génère une crainte) une mauvaise expérience passée. des actions du cavalier trop fortes.
Pour le cheval, sauter est un geste naturel. Il n'y a qu'à regarder des poulains qui s'amusent au pré ! Dès l'âge de 2 ans, les jeunes chevaux de race sont évalués lors de concours de modèles et allures, où l'on juge leur aptitude au saut en leur faisant franchir quelques obstacles en liberté.
Le bon cheval de saut d'obstacles doit être naturellement très respectueux des barres. Cela veut dire qu'il est très attentif a ne pas toucher les obstacles, qui se donnera les moyens en sautant bien au dessus pour s'assurer de ne pas faire de “faute” en renversant l'obstacle.
La gamme des caractères est extraordinairement variée mais je crois que la majorité des chevaux n'aiment pas naturellement sauter. Pourtant, il est indéniable que certains chevaux s'amusent lorsqu'ils sautent et ceci est fonction de leur préparation.
Le refus en obstacle
Jamais catastrophique mais toujours alarmant, le refus signifie que quelque chose vient de mal se passer pour le cheval : effrayé, décontenancé par une action incongrue de son cavalier, mal amené sur l'obstacle, déséquilibré, fatigué, il s'arrête, refuse de coopérer.
Certaines fois, le cheval botte pour se soulager, se protéger ou se débarrasser d'un mal, mais dans d'autres cas, botter est une fâcheuse habitude qu'il faut corriger avant que quelqu'un, homme ou cheval, ne soit blessé.
Le headshaking est une pathologie du cheval dont la cause exacte est encore inconnue, même si on a démontré l'implication d'une hypersensibilité du nerf trijumeau. Cette affection se caractérise par des mouvements de tête intempestifs ainsi que d'autres signes tels que les frottements de nez et les éternuements.
Le saut au trot induit plus de décomposition du mouvement, cela permet donc d'améliorer la trajectoire du cheval, qui aurait pu se détériorer après un cross. C'est aussi excellent pour développer sa musculature, puisqu'il est obligé de s'employer. On peut même aller encore plus loin et sauter au pas.
Galop 6. Le cavalier doit maîtriser la longe et être capable de faire passer des obstacles à son cheval ou son poney. En plus des obligations du galop 5, il doit être capable d'effectuer des sauts en terrains variés.
Mettez-vous au trot et serrez les jambes énergiquement, poussez les fesses vers l'avant de la selle, vous pouvez attraper le pommeau à 1 ou 2 main(s) si besoin. Veillez à bien décontracter tout le haut de votre corps, les épaules et le dos, en gardant les reins bien souples.
La position neutre est une position dans laquelle le cavalier est en équilibre sur ses étriers, hanches fléchies, avec les épaules légèrement en avant. Aussi appelée position « 2 points » ou « en suspension », elle allège le poids sur le dos du cheval, lui permettant de sauter plus facilement et en douceur.
Pour un amateur élite professionnel 2, les chevaux doivent sauter un obstacle haut de 1,10 à 1,15 m. En revanche, dans la division poney, les poneys E1 et élite doivent sauter au maximum 90 cm de hauteur. Quant aux poneys 2, 3 et As poney élite, ils doivent respectivement sauteur 70 cm, 50 cm et 1,15 m.
Allez-y progressivement ! Comme pour une séance montée, il est important de faire une détente avant de le faire sauter. Marchez une dizaine de minutes, échauffez votre cheval à chaque allure et changer de direction fréquemment pour faire fonctionner son dos et ses diagonaux correctement.
Le cheval accélère à l'obstacle si sauter lui provoque des douleurs: Si le cheval éprouve une douleur physique à chaque fois qu'il saute, il peut très rapidement se mettre a charger à l'obstacle, pour se débarrasser du saut. Se retrouver vite de l'autre côté et tenter d'éviter ainsi d'avoir mal.
N'oublie pas de lui montrer les barres avant, de le faire passer au dessus. Tu peux le faire sauter en liberté, mais ne monte pas trop vite les barres, il ne faut pas l'effrayer. Si cela se passe bien tu peux monter dessus et essayé, avec des dispositifs : barres d'appels, petit croisillon, petite ligne..
Debout, fléchissez vos jambes comme si vous ramassiez quelque chose au sol en gardant le dos droit. Descendez jusqu'à ce que vos talons touchent vos fesses, puis remontez. Vous pouvez enchaîner les répétitions. Vos cuisses et vos fesses travaillent.
Lorsque vous êtes assis, laisser votre dos s'allonger vers le haut va vous permettre d'adopter directement une bonne position. Votre poids va reposer, non pas sur votre coccyx, mais sur la pointe de vos deux ischions.
Comme son nom l'indique, la rêne d'appui ou contraire agit du côté opposé à la direction que l'on souhaite prendre. Elle pousse les épaules du cheval, qui garde le bout du nez dans la direction opposée.
Le plus grand signe d'affection que peut vous donner un cheval est sa confiance. Vous le remarquerez à son attitude détendue et calme. Le cheval exprimera son bien-être, ce sentiment de sécurité, en vous suivant en liberté, tête basse et les oreilles relâchées.
Un cheval qui se gratte sur vous est à proscrire même si cela vous fait plaisir. C'est vous et vous seul, qui devez venir lui gratter la tête et non l'inverse. De même qu'un cheval, n'est pas brut de nature c'est notre comportement envers lui (conscient ou inconscient) qui l'incite à être brut envers nous.
Le « vrai » Head Shaking est lié à des mécanismes complexes d'irritation de nerfs (névrite) de la face qui entrainent, lors de stimulations visuelles ou tactiles, une sensation très désagréable proche de ce que l'on ressent lorsque l'on éprouve un besoin irrépressible d'éternuer face à une lumière vive.
« Ce que nous avons découvert, c'est que les chevaux peuvent non seulement lire les expressions faciales humaines, mais aussi se souvenir de l'état émotionnel d'une personne lorsqu'ils la revoient plus tard dans la journée. »
Redressez-vous au maximum sur la selle
Quand le cheval est au galop, essayez de vous redresser au maximum en mettant vos épaules en arrière. Pour cela, vous pouvez vous appuyer sur le pommeau avec l'une de votre main. Cette position légèrement en arrière signifie au cheval qu'il doit ralentir ou s'arrêter.