Dans les tout premiers mois de sa vie, votre enfant a besoin de dormir 14 heures par jour. S'il pleure en s'agitant, bouge beaucoup sa tête et grogne, c'est donc qu'il est probablement fatigué et recherche le sommeil.
Lorsque bébé tète le sein ou le biberon, il émet des petits gémissements répétitifs pour vous signifier qu'il est heureux de boire et que l'écoulement de lait se fait tel que désiré.
Il est normal que bébé bouge en dormant, et il n'est généralement pas nécessaire d'intervenir. Par moments, il peut bouger beaucoup, faire des mimiques, pleurnicher, grogner. C'est ce qu'on appelle le « sommeil agité » et c'est une phase tout à fait normale du sommeil.
Occuper un enfant nerveux
Pour faire face à la nervosité des enfants, il faut essayer de canaliser leurs forces dans une activité sportive ou dans des jeux, à travers lesquels ils pourront dépenser toute leur énergie. Les jeux d'eau (bassine ou baignoire remplie d'eau avec des jouets pour le bain…)
Certains bébés ont tendance à se cambrer brusquement pendant leur boire. Sans prévenir, ils se raidissent et se rejettent vers l'arrière, en arquant le dos et en étirant les jambes. Lorsque le bébé est jeune, cela ne pose pas vraiment de problème.
Effectivement, le syndrome de KiSS est un blocage de la jonction crânio-cervicale, c'est à dire de la première articulation entre la base du crâne et la première vertèbre cervicale. Cette dysfonction articulaire a pour conséquence, une adaptation posturale de l'ensemble du corps.
Vers 4 mois, le bébé commence à rire.
À cette étape, les rires sont surtout provoqués par les stimulations qui lui viennent de ses sens, soit la vue, l'audition ou le toucher.
L'enfant qui présenterait des signes d'irritabilité, de colère, d'agressivité, de repli sur soi… Autre signe à repérer : des difficultés de concentration.
Ils sont souvent hypersensibles, réactifs aux stimuli et aux changements, imprévisibles, exigeants, et ont un grand besoin de contacts physiques. Un BABI peut donc pleurer beaucoup, ressentir un besoin constant d'être dans les bras de ses parents et avoir facilement le sommeil perturbé.
La nuit notamment, notre température corporelle est légèrement inférieure, et les extrémités peuvent être froides du fait d'être à l'air tandis que le reste du corps est bien au chaud. Le meilleur indicateur est la température et l'humidité de la nuque de bébé : si la nuque est chaude, c'est parfait.
L'idéal à cette période est d'essayer de le faire dormir une dizaine ou une douzaine d'heures par nuit. Pour cela, le mieux est de le coucher à 19h00 pour lui laisser le temps de s'endormir.
Tentez de le poser dans son lit très progressivement : écartez-le de votre corps, déposez-le en veillant à garder vos bras autour de lui quelques minutes, puis enfin retirez-les tout doucement, sans faire de geste brusque. Il ne reste plus qu'à sortir de la chambre sans faire de bruit.
Votre bébé est fatigué
Cela commence par des pleurnichements sans cause apparente. Votre bébé vient de passer un moment éveillé, d'humeur charmante, puis, sans transition, le voilà qui se met à chouiner. Voulant le distraire, vous lui proposez un jouet ou vous vous mettez à faire « la petite bête qui monte ».
À mi-chemin entre les deux courants de pensée qui consistent, d'un côté, à laisser pleurer un enfant et, de l'autre, à répondre à chacune de ses sollicitations, cette méthode s'adresse aux bébés en âge de faire leur nuit, c'est-à-dire vers 3 ou 4 mois.
Si bébé porte ses mains à sa bouche, cherche le sein ou le biberon, il a probablement faim. Vous reconnaîtrez ces pleurs, qui sont souvent rythmiques et peuvent sembler intenses. Plus un bébé est jeune, plus il y a de chances pour qu'il ait faim, puisque son estomac est encore tout petit.
Comment savoir si mon bébé développe un lien d'attachement sécurisant? Pour le parent, les premiers signes d'attachement sont extrêmement gratifiants : À 4 semaines, votre bébé réagira à votre sourire, par exemple par une expression du visage ou un mouvement. À 3 mois, il vous sourira en retour.
Le petit enfant ne peut avoir mal, ne peut être triste ou déprimé. Douleur physique et douleur psychique se confondent, suscitent des mouvements émotionnels contradictoires et posent de nombreuses questions théoriques et pratiques. Difficulté d'évaluation de la douleur du nourrisson : un bébé a-t-il mal ?
En effet, les bébés, même avant de naître, peuvent ressentir les émotions, positives ou négatives, de leurs parents. Le docteur Arnault Pfersdorff, pédiatre, est formel : « Bébé perçoit-il les émotions de sa mère ? Bien sûr ! »
Bébé pleure, se tortille, replie les jambes ? Il y a de fortes chances pour qu'il souffre de coliques du nourrisson, ces maux de ventre qui le rendent inconsolable et qui angoissent les parents.
Car contrairement à une croyance très répandue, laisser pleurer un nourrisson ne permet pas de lui apprendre l'autonomie, son cerveau n'étant tout simplement pas encore assez mature pour gérer ces tempêtes émotionnelles.
Le BABI ressent tout très fort, son environnement et ses émotions… Les bébés aux besoins intenses sont parfaitement conscients de ce qu'il se passe dans leur environnement. Ce sont des bébés décrits par leurs parents comme « facilement dérangés », « rapidement stimulés », « comme si on marchait sur des œufs ».
Durant les premiers jours, le nouveau-né apprend donc à reconnaître le visage de sa mère en s'appuyant sur la voix qu'il a entendue depuis plusieurs semaines in utero.
Ce qu'un bébé comprend à partir de 6 mois
Votre bébé commence habituellement à reconnaître des mots vers l'âge de 6 mois. Par exemple, il reconnaît son prénom et il se retourne quand il l'entend. Mais c'est vers l'âge de 8 à 9 mois que votre bébé associe vraiment un sens aux mots.
C'est donc la fréquence qui va également faciliter cet ancrage dans la mémoire de l'enfant. On sait qu'à 4 mois, l'enfant est capable d'identifier ses parents. Pour peu que les grands-parents soient souvent chez vous, qu'ils parlent fréquemment à votre enfant, celui-ci va les reconnaître rapidement.