Les hormones sont en grande partie responsables de l'anxiété à la ménopause. La diminution de la production de progestérone est une caractéristique de la première phase de la ménopause. De plus, l'ovulation se fait de moins en moins souvent. Les œstrogènes deviennent ainsi plus ou moins dominants.
En revanche, autour de la ménopause, de nombreuses femmes se plaignent d'une forme de lassitude physique et morale : "Je me sens morose", "Je n'ai envie de rien entreprendre"... Celle-ci relève davantage d'une petite déprime et les hormones jouent indéniablement un rôle dans cette légère neurasthénie.
Si les œstrogènes ont un effet antidépresseur, la disparition de la progestérone à la ménopause peut, de son côté, entraîner davantage d'agressivité. La progestérone exerce en effet un léger effet calmant et anxiolytique. Quand elle vient à manquer, il devient plus difficile de résister au stress.
Dans la majorité des cas, les bouffées de chaleur persisteront pendant plus d'un an, mais elles peuvent durer jusqu'à 5 ou 10 ans. On peut également citer les sueurs nocturnes, les insomnies, les douleurs articulaires et les troubles génito-urinaires (incontinence, infections urinaires, troubles sexuels).
A la ménopause, la chute soudaine des œstrogènes provoque généralement une baisse du tonus physique et mental, voire une fatigue intense, avec souvent des répercussions sur l'énergie. Mais elles se manifestent différemment chez chacune.
Les autres plantes proposées contre les troubles de la ménopause sont le ginseng, l'igname sauvage ou yam (Dioscorea villosa), le trèfle rouge (Trifolium pratense), l'achillée millefeuille (Achillea millefolium) ou le gattilier.
La venlafaxine est le premier médicament antidépresseur à avoir fait l'objet d'essais cliniques pour soulager les bouffées de chaleur.
Cela peut être des bouffées de chaleur, des suées nocturnes, des maux de tête, une sensation de fatigue, des troubles du sommeil, une irritabilité ou des douleurs articulaires.
L'anxiété est une émotion désagréable qui combine des symptômes physiques (le cœur bat vite et fort, la respiration semble difficile, présence de sueurs, tremblements, étourdissements ou de mains moites, corps crispé, muscles tendus) et des pensées anxieuses (inquiétudes, ruminations, obsessions, doutes, craintes).
Pour réduire le risque cardiovasculaire, la prise de poids et le risque d'ostéoporose liés à la ménopause, ayez une activité physique régulière. La marche rapide est excellente pour la prévention de l'ostéoporose. Pratiquez-la, 3 ou 4 fois par semaine sur une durée de 30 à 45 minutes, chaque fois.
Les symptômes de la ménopause sont liés à la baisse des œstrogènes. L'obésité et le tabagisme accroissent les symptômes de la ménopause. Le sport et certains aliments peuvent réduire certains symptômes.
- La dépression peut bien sûr avoir pour signe la tristesse, et aussi les troubles du sommeil et la fatigue. - L'anxiété chronique elle aussi. - Les problèmes de glande thyroïdes également. - Une anémie importante peut aussi fatiguer beaucoup et entraîner un mal être.
Pendant la ménopause, la sécrétion d'œstrogènes diminue et entraîne un déséquilibre hormonal qui dérègle le mécanisme de régulation de la température du corps. C'est ce qui provoque les bouffées de chaleur. Ce symptôme se caractérise par une sensation de chaleur intense au niveau du buste, du cou et du visage.
La bêta-alanine, un acide aminé vendu sans ordonnance, peut être prescrite pour soulager les bouffées de chaleur chez les femmes qui ne prennent pas de traitement hormonal. Des médicaments de phytothérapie, d'homéopathie et certains oligoéléments sont également proposés dans les troubles liés à la ménopause.
Les troubles de l'humeur associés à la préménopause
L'irritabilité : on s'énerve pour des choses qui n'en valent pas la peine. L'agressivité : on s'emporte plus facilement. La tristesse : on pleure plus facilement.
Le traitement hormonal de substitution (THS) fait l'objet de débats dans le domaine médical depuis des années. Alliant progestérone et oestroègnes, il sert à soulager les bouffées de chaleur et les désagréments liées à la ménopause.
La ménopause, période vers les 50 ans où les ovaires arrêtent de produire l'œstrogène et la progestérone, ne provoque pas que bouffées de chaleur et fatigue. Elle peut également s'accompagner de douleurs articulaires et de douleurs musculaires.
25 à 30 % des femmes en ménopause se plaignent de troubles du sommeil contre 15 % dans la population générale. Cela est dû notamment à la baisse d'œstrogènes qui entraîne des troubles vasomoteurs perturbant le sommeil et qui entraîne également une difficulté à s'endormir et des réveils fréquents (INSERM).
Les sports de charge.
Marche, rapide ou lente avec un sac à dos, course à pied, corde à sauter ou encore musculation entrent dans cette catégorie. Ils vont entretenir la masse musculaire et, en soumettant le squelette à des micro-chocs, stimuler la production du tissu osseux.
Les femmes ménopausées souffrent ainsi plus souvent de raideurs, de gonflements et de douleurs articulaires en particulier au niveau des doigts et des poignets. Peuvent aussi être touchés dans une moindre mesure, les genoux, les lombaires, les épaules, et plus rarement les hanches, les pieds et les chevilles.