Confortable et élégante, la djellaba est idéale pour accueillir vos proches lors d'un dîner à la maison. Cette tenue qui vous permet de garder une belle allure tout en ayant le côté pratique qui vous permettra d'assurer le service durant la soirée. Idéal lors d'événements festifs !
Durant le mois de Ramadan ou pendant les fêtes religieuses, la djellaba reste la tenue phare des musulmans, grâce au fait qu'elle respecte tous les codes du vêtement légiféré. Portée dans les quatre coins du monde, la djellaba a su séduire et perdurer au fil des années.
Sa qualité de tailleur, sa modernité, sa confection et ses matières nobles ont séduit de nombreux hommes et femmes. Un vêtement à capuche à manches longues ou courtes avec des dizaines de styles différents. La djellaba peut être portée aussi bien par les hommes que par les femmes.
En termes de fonctionnalité, le Qamis est généralement plus confortable à porter, car il est plus léger et plus aéré. La Djellaba, quant à elle, est plus chaude et plus adaptée aux climats froids.
La djellaba n'est pas très compliquée à mettre bien quel ne possède ni fermeture, ni ouverture sur le devant de la tenue. Il te suffit de la mettre en rentrant le bas de la djellaba a votre tête, puis ensuite de rentrer les bras dans les manches.
En Algérie centrale et orientale il est appelé qeššaba ou qeššabiya. Selon Dozy, la Djellaba aurait été, à l'origine le « vêtement du Djellab », c'est-à-dire du marchand d'esclaves, W.
Il faut donc porter un hijab pour couvrir ses cheveux et se vêtir de quelque chose d'ample. Par exemple, vous pouvez vous munir d'une robe ou d'une jupe longue élastique accompagnée d'un haut ample avec un long khimar. La jupe ou la robe portée doit être assez longue de façon à ce qu'elle puisse couvrir les pieds.
La djellaba : pour les cérémonies
Comme nous le montre la famille royale marocaine, qui n'hésite pas à porter la jellaba durant l'Aïd ou durant les fêtes nationales, telles que la célèbre fête du trône par exemple. Cette tenue marocaine peut également être portée durant le Ramadan, les mariages, ou une naissance.
L'abaya est une robe traditionnelle dans les pays musulmans, à commencer par l'Arabie saoudite, les pays du golfe Persique ou encore du Maghreb. Cette tenue ample couvre l'ensemble du corps à l'exception du visage, des pieds et des mains.
Texte intégral. 1Le mot Djellaba/Jellaba désigne en arabe maghrébin un vêtement largement répandu en Afrique du Nord. En Algérie centrale et orientale il est appelé qeššaba ou qeššabiya. Selon Dozy, la Djellaba aurait été, à l'origine le « vêtement du Djellab », c'est-à-dire du marchand d'esclaves, W.
Le qamis ou kamis (de l'arabe قمیص, issu du latin tardif camisia [chemise]), également appelé boubou en Afrique de l'Ouest, thawb en Arabie saoudite et dans les pays du Golfe, djellaba au Maroc, gandoura en Algérie et jebba en Tunisie, est un vêtement long porté traditionnellement par les hommes dans les pays du Levant ...
Les Djellabas sont originaires de la culture berbère au Maroc. À l'origine, cette robe était conçue pour les hommes, et le tissu était beaucoup plus épais pour affronter le jour et la nuit dans le désert.
Les Origines de la Djellaba
La Djellaba tire son origine de l'histoire berbère. La djellaba était simple, blanche, faite de laine et était porté uniquement par les hommes. Le blanc est très significatif pour le peuple marocain.
Après avoir troublé un enterrement dans une église à Lyon, ce jeudi, un individu habillé d'une djellaba et son complice qui l'attendait dans une voiture, n'ont plus le droit de se présenter dans des lieux de cultes chrétiens.
Les Différences
Coupe et forme : La abaya homme est généralement droit et sans forme cintrée, tandis que la djellaba homme présente une coupe plus ample et la capuche intégrée. Le qamis se caractérise par une tunique longue et ample.
L'abaya (en arabe : عباية, ʿabāyah) est un vêtement féminin porté au-dessus des autres, traditionnel dans les pays musulmans du Moyen-Orient — principalement en Arabie saoudite et dans les pays du golfe Persique — et du Maghreb.
Son origine remonterait à l'empire achéménide perse, au vi e siècle avant Jésus-Christ. Le but du tchador était alors de garder les femmes d'un haut niveau social à l'écart des regards des roturiers (El-Guindi, 1999 ; Zahedi, 2007).
Le qamis est un vêtement religieux symbolique en Islam. C'est un habit long qui est porté par les hommes musulmans, aussi bien pour partir à la mosquée que pour rester chez eux.
Le Comité a été d'avis que l'interdiction générale à caractère pénal que la loi française impose à ceux qui portent le niqab en public a porté atteinte de manière disproportionnée au droit des deux plaignantes de librement manifester leur religion.
Pour les femmes, préférez des robes longues plutôt que des mini-jupes. Relié à cela, on ne vient pas au Maroc pour bronzer, à part si vous êtes dans un lieu privé (comme par exemple une villa de luxe en location). Certaines pratiques quotidiennes sont aussi à prohiber.
Il est recommandé de la porter avec un pantalon ample, comme un harem, pour plus de confort et de liberté de mouvement. Les femmes marocaines portent souvent des djellabas avec des chaussures plates, comme des babouches, pour un look plus traditionnel.
Les femmes devraient également envisager de se couvrir les épaules et d'éviter les hauts décolletés. Les vêtements amples tels que les jupes longues, les robes longues ou les pantalons amples sont une bonne option.
Pour l'homme : La partie située entre le nombril et le genou (la awra majeure étant couverte). Pour la femme : Tout son corps à part le visage et les mains pour les hanbalites, chafeites et malikites (et les pieds selon les hanafites).
La tenue de prière de la femme musulmane se veut être une tenue ample et large couvrant ses formes et ne laissant apparaitre que le visage et les mains. En effet, les cheveux aussi doivent être couverts par un hijab (voile).
Même les savants qui ont exclu le nombril et le genou de l'obligation recommandent de les couvrir, en se basant sur différents arguments : Le fait de dévoiler ses cuisses peut constituer une provocation, alors il convient de les couvrir (l'avis de cheikh Ibn Baz)