L'histoire du salut militaire remonte à l'Antiquité, lorsque deux guerriers se rencontraient, ils s'échangeaient un signe de la main droite (paume ouverte) pour indiquer qu'ils n'étaient pas armés. Ce signe de paix témoignait de leurs bonnes intentions l'un envers l'autre.
S'il dépasse un supérieur, il le salue en arrivant à sa hauteur et conserve l'attitude du salut jusqu'à ce qu'il l'ait dépassé de deux pas. S'il est en armes, il présente l'arme en tournant la tête du côté du supérieur. S'il fume, il prend son cigare ou sa cigarette de la main gauche et salue de la main droite etc. »
De plus c'est une règle, pas de salut militaire si le soldat n'est pas en uniforme ou tenu militaire. Donc en civil, il faut retenir que le salut militaire français n'est pas à effectuer.
Il convient de rester couvert et de tendre la main pour saluer un subordonné masculin et de lui dire Bonjour monsieur. Si la personne est votre supérieur hiérarchique, il convient de dire Bonjour monsieur sans se découvrir et d'attendre que le supérieur hiérarchique vous tende la main.
Les membres du rang et sous-officiers saluent, à hauteur de tempe, doigts tendus et joints, paume de la main non-visible (type de salut également en cours aux États-Unis), en signe de respect envers la commission (la commission est un document octroyé par Sa Majesté qui donne le pouvoir de commandement aux officiers).
Les formules telles que «lieutenante» ou «colonelle» sont rarement utilisées au sein de l'armée française, qui est pourtant l'une des plus féminisées d'Europe.
Colonelle, subst. fém. Épouse de colonel. On appelait une femme Madame la générale.
Lorsqu'on s'adresse à lui, on lui dit « Major » si on est d'un grade égal ou supérieur au sien, sinon on lui dit « Mon major ». Le capitaine de corvette se fait appeler « Commandant ».
Une légende prétend qu'après la défaite de Trafalgar, Napoléon, qui tenait pour responsables les officiers de la « Royale », décida qu'on ne leur dirait plus « mon » devant leur appellation de grade, « mon » étant le diminutif de « monsieur » ; il les aurait ainsi punis en leur retirant cet honneur.
Le général d'armée et l'amiral sont les plus hauts grades de l'armée française.
En guise de salut, chez les militaires, on ne se sert pas la main et on ne se fait pas la bise : on utilise la main droite, doigts serrés et paume visible, portée à hauteur de la tempe. Un geste formel, par lequel un militaire exprime son respect à un supérieur, qui lui rend par le même mouvement.
Locution interjective. (France) (Militaire) Ordre donné lorsqu'un officier général ou l'officier commandant la formation entre en uniforme et coiffé dans un local, et à la suite duquel les militaires présents se mettent au garde à vous avant que l'autorité ne les mette au repos.
a) par le titre « Monsieur », « Madame » ou « Mademoiselle », selon le cas, suivi de leur nom, lorsque des officiers et des militaires du rang de même grade s'adressent à eux, b) par le titre « Monsieur » ou « Madame, selon le cas, lorsque des militaires de grades inférieurs s'adressent à eux.
L'histoire du salut militaire remonte à l'Antiquité, lorsque deux guerriers se rencontraient, ils s'échangeaient un signe de la main droite (paume ouverte) pour indiquer qu'ils n'étaient pas armés. Ce signe de paix témoignait de leurs bonnes intentions l'un envers l'autre.
Au XVIIIe le garde à vous, l'arme au pied n'existe pas encore. L'expression du début du siècle est Prenez gardes à vous, , c'est l'ordre qui annonce une instruction à exécuter. Avec l'ordonnance du 1er juin 1776 elle devient Garde = à vous et sert à faire immobiliser le soldat dans le rang.
Un autre, plus téméraire, se fait lui aussi arrêter après avoir commencé sa phrase par « Mon Général, mes devoirs » : autrefois employée par les putschistes saluant le Général de Gaulle en Algérie, cette expression est aujourd'hui signe de rébellion contre l'autorité.
N'accède au grade de premier maître (et aux grades supérieurs) que le personnel titulaire du « brevet supérieur » (BS) de sa spécialité ou d'un « brevet supérieur technique » (BST). Son appellation réglementaire est « premier maître » mais il est couramment appelé « PM » ou « patron ».
Le traitement de base indiciaire s'établit ainsi à 1 707,21€ bruts mensuels pour un temps complet (au lieu de 1 649,48 €). Les grilles seront mises à jour dès la parution des décrets modifiant l'échelonnement indiciaire pour chaque cadre d'emploi/corps.
Son insigne se compose de deux étoiles et son appellation est « amiral ». Sous l'Ancien Régime, le contre-amiral était le chef d'escadre le plus ancien d'une flotte. Il était chargé, sous le commandement d'un lieutenant-général des armées navales, de diriger l'arrière-garde de la flotte.
dans les armées. « Mon Général » – Dans la gendarmerie, l'armée de terre et l'armée de l'air, le mot « Mon » devant certains grades signifie Monsieur. Il n'est donc pas utilisé pour le personnel féminin.
Pour les hommes de la société civile, les mêmes appellations sont utilisées pour s'adresser à un officier, alors qu'une femme non militaire s'adresse à un officier subalterne en disant « Monsieur » et à un officier supérieur en l'appelant directement par son grade sans le faire précéder de « mon ».
Général en chef : Sous la Révolution, il s'agit du grade le plus élevé d'officier général. Depuis, c'est une charge en temps de guerre (on dit plutôt : commandant en chef).
La syntaxe du langage militaire est aussi sommaire que rigoureuse : il faut s'exprimer par des phrases les plus courtes possibles, avec le minimum de fioritures : sujet + verbe + COD au maximum ; il est même conseillé d'omettre le verbe.
Colonelle, subst. fém. Épouse de colonel. On appelait une femme Madame la générale.
Une colonelle est une femme ayant le grade d'officier supérieur dans l'armée de terre, la gendarmerie ou l'armée de l'air.