Senior Member. En anglais le "t" se prononce. En français le "t'" est muet (Montréal = Mont Royal)....
La manière la plus commune au Québec pour dire Montréal est bien [mɒ̃ʁeal]. Comme spécifié dans l'article Wikipedia, il y a différentes façons de prononcer ce nom selon l'interlocuteur. On utilise généralement [mɒ̃ʁeal]. La majorité des immigrants ou des Montréalais qui parlent anglais prononcent [ˌmʌntriːˈɒl].
La lettre t se prononce t sauf dans certains cas. Le digramme th e tle digramme tz sont observés dans des pages distinctes. Cela se produit devant un i suivi d'une voyelle où t note généralement [s] : initiation, confidentiel, ambitieux, inertie. Il s'agit du t interne et non du t initial (tien, tienne).
CT en fin de mot : le T se prononce en général \t\ : affect, compact, contact, correct, direct, district, exact, impact, infect, sélect, strict, tract, verdict… mais le T est muet dans certains mots : aspect, circonspect, distinct, instinct, prospect, succinct, suspect…
Donc, pour résumer, si on utilise le mot “fait” au singulier, on va prononcer le T ; on va dire un “fait-e”. Si on utilise, on emploie le mot “fait” au pluriel, eh bien, on ne va pas prononcer le T, on va dire “des faits”.
Personne d'une grande valeur morale.
En phonétique, on appelle voyelle un son du langage humain dont le mode de production est caractérisé par le libre passage de l'air dans les cavités situées au-dessus de la glotte, à savoir la cavité buccale et/ou les fosses nasales.
« La consonne t peut aussi être prononcée [s] lorsqu'elle est suivie de la voyelle i dans les groupes tia, tie et tion. Souvent, les mots composés avec ces groupes appartiennent à une famille dans laquelle on trouve un t dans d'autres mots.
1951, § 87 et 260 : ,,But se prononce tantôt [by] (prononciation officielle), tantôt [byt]. On a surtout tendance à faire entendre le t quand le mot est final, [devant voyelle, notamment dans les locutions but à but et de but en blanc] ou marqué par l'emphase : voilà mon but [byt]; mais le but [by] principal.
2. La lettre « c » donne le son [s] avec les voyelles « a », « o » ou « u » si elle possède une cédille : ça, garçon, aperçut. 3. La lettre « t » donne parfois le son [s] quand elle est devant un « i » suivi d'une voyelle : récréation, attention, ambitieux, confidentiel...
Vingt se prononce aussi [vẽt] (vin-t) lorsqu'il fait partie des nombres 22 à 29, et ce, même s'il est suivi d'un mot commençant par une consonne. Cependant, lorsque vingt est multiplié dans un nombre composé, comme dans 81 ou 92, on ne prononce pas le -t final [vẽ] (vin). »
La liaison est interdite …
entre deux mots lorsqu'un signe de ponctuation les sépare : Hommes, femmes, | enfants.
Le t se double après a, e, o et u, mais principalement après e, tant pour avertir que la syllabe est brève que pour faire prononcer l'e ouvert : patte, battre, baguette, mouchette, etc.
Le th se prononce /θ/ au milieu ou à la fin d'un mot, p. ex. dans « method » ou « month », mais parfois aussi au début de certains mots tels que « three ». Le son /ð/, pour sa part, se retrouve au début de mots courts comme « that » et « this » ou au milieu de mots tels que « father ».
Gigondas – Se prononce aujourd'hui des deux façons : [ji-gon-da] ou [ji-gon-dass], même si, en principe, le [s] final devrait être muet.
Prononc. : [emati] ou [-si]. Étymol. et Hist. 1865 (Littré-Robin).
1. Point matériel pris pour cible et qui constitue l'objectif, la limite, le terme d'une trajectoire, d'un mouvement : La balle passa à côté du but. 2. Ce pour quoi quelque chose est conçu, utilisé ou pratiqué ; objet, fin : La gymnastique a pour but d'assouplir le corps.
Assez vite, secundus a perdu sa finale en "us" et, peu à peu, on a commencé à le prononcer "seGond", sans doute tout simplement parce que c'est plus simple à articuler que "seCond".
Le mot "femme" vient du latin "femina". En ancien français, il pouvait s'écrire "feme", "fame", "femme", "fenme" ou encore "famme" et se prononçait [fãm]. L'évolution de la langue a amené le son [ã] à s'ouvrir et à se transformer en [a] alors que la graphie avec le doublement de consonne s'est, elle, conservée.
Des mots aussi courants que parasol ou télésiège, par exemple. En fait, ce sont surtout des mots commençant par S auxquels on a ajouté un préfixe : antisismique, antisémite, ou antisocial ne prennent qu'un S après "anti", il est bien entre deux voyelles, et pourtant on ne le prononce pas "z".
Tout naturellement parce que le latin l'a piquée à l'alphabet grec, pour représenter un son, le [u], qu'il n'avait pas dans son alphabet. Voilà qui nous rappelle au passage que ce que nous appelons "i-grec" s'appelle "upsilon" en grec.
(Lettre) Appelé i grec en raison de l'emprunt de la lettre upsilon dans l'alphabet grec ancien où il dénote tout d'abord le son \y\ (u français) absent du latin avant de se prononcer — en latin comme en grec — \i\. (Pronom personnel 1) Du latin hic (« ceci ») ; a évincé l'ancien français iv , du latin ibi (« ici »).
Adverbe et pronom
Y a pour signification : « en ce », « dans ce » comme adverbe et « à ce » comme pronom, par exemple : Dans cet endroit : « J'y suis, j'y reste » (je suis ici, je reste ici) ou encore « Vas-y » (va là-bas).