Le 'beau' était l'équivalent de 'cher', comme lorsque l'on dit aujourd'hui 'cher monsieur' ou 'cher ami'. Au 13ème siècle déjà, quand Saint-Louis s'adressait à son fils, il disait mon "biau fils". Au 14ème siècle, on emploie facilement le terme de 'bon père' et 'bonne mère' pour désigner ses parents.
La belle-famille est la famille d'un conjoint, mari ou épouse. Le terme désigne aussi bien les parents que les grands-parents, les oncles et tantes, et autres membres de cette famille. Exemple : Pour Noël, ma famille et ma belle-famille sont réunies.
Dans son Dictionnaire étymologique de la langue française (1938), Albert Dauzat observe que « les termes de parenté, beau-frère (1386), belle-soeur(1423), beau-père, belle-mère, beau-fils, belle-fille (XVe s.) et beaux-parents (XIXe s.), dans lesquels «beau» est un terme de respect et d'affection (anc.
Un terme issu du latin
Mais d'autres noms sont restés, à l'instar de bru, introduit par les Goths au IIIe siècle et qui vient du latin brutis signifiant « belle-fille » ; et gendre, du latin gener, « mari de la fille ».
nouvelle femme du père ou de la mère, pour les enfants d'un mariage antérieur. On dit aussi, avec une connotation péjorative, « marâtre », ou à l'opposé avec une appellation affectueuse « belle-maman ».
Nom commun
Par influence du second sens de belle-mère : nouvelle épouse ou compagne du père.
Beaux-parents : Père et mère du conjoint. Belle-famille : Famille du mari ou de la femme.
bru. Par rapport à un père, ou à une mère, la femme de leur fils.
Parmi les liens de parenté, la bru est l'épouse du fils. Le langage populaire préfère utiliser improprement le mot belle-fille qui désigne normalement la fille du conjoint.
(Argot urbain, surtout oral, familier, mélioratif) Jeune fille, copine, petite amie. n. f. Pépée, nana.
Le 'beau' était l'équivalent de 'cher', comme lorsque l'on dit aujourd'hui 'cher monsieur' ou 'cher ami'. Au 13ème siècle déjà, quand Saint-Louis s'adressait à son fils, il disait mon "biau fils". Au 14ème siècle, on emploie facilement le terme de 'bon père' et 'bonne mère' pour désigner ses parents.
Belle-soeur Epouse du frère ou du beau-frère. Soeur du conjoint.
Définition - belle-soeur.
(Nom commun 1) ( XII e siècle) Du bas latin des Balkans brutis, (« belle-fille »), introduit par les Goths au III e siècle, supplantant le latin nurus. Apparenté au gotique ????? bruþs, (« jeune mariée »), ainsi qu'à l'anglais bride et à l'allemand Braut (« fiancée, mariée »).
Le beau-père et la belle-mère et leur gendre ou bru sont alliés en ligne directe. Il existe aussi un lien d'alliance entre les enfants d'une précédente union et le nouveau conjoint du père ou de la mère. Ils sont appelés le parâtre ou la marâtre et le beau-fils ou la belle-fille.
Le plus souvent se met en place une habitude. Pour nommer ses beaux-parents, il existe six possibilités : appeller sa belle-mère par son nom de famille, par son prénom, par « belle-maman », par « maman », par « mamie » ou « mémé », ou éviter.
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.
− Petit de la chèvre. Synon. chevreau*. Un quartier de cabri, un morceau de cabri (Ac.
1. Femme d'un empereur : L'impératrice Joséphine. 2. Femme qui gouverne un empire : Victoria, impératrice des Indes.
Les aïeuls = les grands-parents. Les aïeux = les ancêtres (sens plus large).
gendre n.m. Mari de la fille, par rapport au père et à la...
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