Il peut être issu de nombreux facteurs. Si c'est en général un des deux parents qui est à l'origine des jeux et des activités, qui a une approche douce et pleine d'affection, tandis que l'autre parent est moins présent et plus autoritaire, voilà une première source d'explication.
Que signifient ces rejets infantiles ? Ils peuvent avoir plusieurs causes, et perdurer ou s'aggraver du fait d'une réaction parentale mal calibrée. Le plus souvent, il s'agit de simples « jeux relationnels », d'expériences de vie que fait l'enfant. Il découvre les relations, les teste, vérifie leurs limites...
Ils sont centrés sur ce qu'ils ressentent dans le moment présent : une frustration, un besoin d'attention ou l'exploration des réactions. Vous devez donc accompagner votre enfant pour qu'il devienne sensible aux autres. Il doit comprendre que certains mots font de la peine et peuvent nuire à ses amitiés.
C'est souvent le cas après la naissance d'un deuxième enfant. Le l'aîné peut se sentir délaissé car la mère accorde (logiquement) plus de soins au nouveau-né. Ainsi, il peut réagir et compenser en réclamant plus la présence de son père. Il peut même montrer de la réticence et une forme de rejet envers sa mère.
Le fait qu'un ado rejette ses parents est tout à fait normal. L'adolescence est une période où le jeune ressent le besoin de se distinguer de ses parents pour devenir un individu à part entière. Si le comportement de votre enfant vous agace, prenez du recul, et rappelez-vous que cela fait partie de son développement.
Il est peut-être trop en colère ou trop triste pour pouvoir parler. Il a peut-être besoin d'un câlin, d'une présence non jugeante, d'une personne auprès de qui il peut pleurer, de solitude, de temps pour libérer son énergie de colère avant de pouvoir réfléchir…
La réconciliation passe alors souvent par un acte volontaire. Il peut être nécessaire de faire le premier pas en commençant par nous interroger sur nous-mêmes, avant de lancer la discussion et de pardonner, peut-être, en premier. Même si cela nous coûte un peu!
Mettre des mots sur vos émotions, exprimer vos besoins et trouver ensemble des solutions sont de bons moyens de régler les chicanes avec votre enfant. Prendre le temps d'écouter votre tout-petit ainsi qu'avoir des attentes claires et des routines sont des stratégies qui permettent de prévenir les conflits.
Respectez les limites que votre enfant adulte a fixées concernant votre relation et n'essayez pas de les repousser, fixez-en plutôt quelques-unes vous-même. Apprenez à accepter votre enfant tel qu'il est et admettez le fait qu'il soit une personne indépendante et capable de faire ses propres choix.
Présentez vos excuses sincères. Et répéter "une mère/un père devrait pouvoir dire n'importe quoi à son enfant, car je suis la/le seul à t'aimer assez pour te dire la vérité" risque d'aggraver le conflit. En effet, être parent ne donne pas le droit de blesser gratuitement son enfant.
Comme pour tout autre comportement, les enfants ne naissent pas manipulateurs, mais peuvent bel et bien le devenir. Il est clair que la gestion d'un enfant manipulateur n'est pas toujours aisée, d'autant que certaines erreurs, notamment de communication, peuvent coûter cher.
Lorsque votre enfant ne veut plus vous voir vous êtes en droit d'espérer que ce changement d'attitude ne va pas durer. Mais si la situation dure plusieurs mois… Demandez au juge un mixte, une visite médiatisée de quelques mois puis un droit de visite classique.
En effet, pour guérir d'une blessure de rejet, il est déterminant d'en prendre conscience et de l'identifier. Sans conscience de la blessure de rejet, la personne va manifester des comportements réactifs et ne pourra ni agir dessus ni la soigner.
Ainsi, le rejet adopte le masque du fuyant : il peut fuir les relations, il peut fuir dans l'imaginaire, les conduites à risques. Il peut même se fuir lui-même. l'abandon adopte le masque du dépendant : son besoin des autres est constant (demande des conseils, recherche l'attention).
La réponse est que notre cerveau est structuré pour répondre de cette façon. Lorsque nous sommes rejetés, abandonnés ou subissons une perte, les mêmes zones du cerveau impliquées dans la douleur physique sont activées, à savoir l'insula antérieure et le cortex cingulaire antérieur.
Les enfants tyrans comme les adultes tyranniques, manipulateurs pervers narcissiques ne sont pas heureux. Ils sont toujours en colère, ils veulent toujours plus, ils sont aigris et jaloux. Leurs attitudes hautaines et leurs dédains pour les autres font qu'ils sont souvent rejetés.
Le menteur est conscient de son mensonge et sait pertinemment à qui il s'adresse. Il met à profit des stratégies pour être cru et ne pas être pris. La mythomanie, par contre, désigne un mensonge récitatif auquel adhère l'enfant. La mythomanie se manifeste surtout à l'adolescence.
L'enfant vit ce système relationnel comme intrusif, il arrive souvent du reste, que des troubles apparaissent, troubles alimentaires, agressivité, terreurs nocturnes, ou encore des maux de ventre, des allergies.... Ces comportements sont les symptômes d'une demande à être aimé, regardé comme existant, entendu.
Une mère toxique est une mère qui empoisonne la vie de son enfant en ayant recours à la manipulation, la domination ou encore la violence. Les traumatismes émotionnels sont difficiles à porter pour l'enfant devenu adulte.
L' enfant adulte peut avoir des choses qui se passent avec lui qu'il ne veut pas nécessairement partager avec son parent. Leur colère ou leur manque de respect peuvent avoir des racines dans des problèmes que vous n'êtes pas en mesure d'aborder de façon significative, comme une maladie mentale ou un traumatisme.
D'autres phrases pour présenter les excuses poliment : Je vous prie de bien vouloir excuser mon absence. Je vous remercie d'avance de l'attention que vous porterez à mon excuse. J'ai conscience d'avoir mal agi et vous présente mes plus sincères excuses pour ce manquement.