La Lorraine tient son nom de son premier roi : Lothaire II (Lothar en allemand ; Lotharius en latin).
Les raisons probables de ce choix sont que l'amiral Muselier était d'origine lorraine et que les armes du 507e régiment de chars de combat que commandait le colonel de Gaulle en 1937-1939 comportaient une croix de Lorraine.
Jusqu'à la fin de la Première Guerre mondiale, on parlait d'« Alsace-Lorraine », mais en 1920, une directive interdit l'usage de ce terme pour désigner les trois départements : le terme « Alsace-Moselle » s'impose alors.
Mais c'est le petit-fils de ce dernier, René II, qui impose ce symbole en Lorraine. La double croix en étendard, il bat les Bourguignons de Charles le Téméraire et leur croix de Saint-André, près de Nancy, en 1477. La croix d'Anjou devient ainsi emblème de la Lorraine.
L'Alsace-Lorraine (en allemand Elsaß-Lothringen) est le territoire cédé par la France à l'Empire allemand en application du traité de Francfort, signé le 10 mai 1871 après la défaite française.
Le 10 mai 1871 est signé à Francfort le traité qui rattache l'Alsace et la Lorraine à l'Empire allemand, et qui oblige la France à verser une très lourde indemnité de guerre. Cet événement, contemporain de la Commune, a marqué profondément et durablement la mémoire de la nation française.
Ils sont une part du peuple allemand, depuis l'acquisition progressive du territoire alsacien par la France. La dernière estimation de population de l'Alsace administrative est de 1 861 020 habitants en 2013, il faut tenir compte du fait que ce chiffre inclut les Alsaciens autochtones et les « Alsaciens d'adoption ».
L'histoire d'un emblème régional
Importée sur le territoire par René d'Anjou au temps du duché de Lorraine, la plante surmontée d'une fleur violette devient un véritable symbole suite à la victoire de René II de Lorraine lors de la bataille de Nancy en 1477 face à Charles le Téméraire.
Le choix de ce symbole était le bon : il rassemblera l'ensemble de la Résistance aussi bien de l'extérieur que de l'intérieur. Le général de Gaulle au micro de la BBC en octobre 1941. Il porte la croix de Lorraine, insigne de la France Libre.
Devises de la ville de Metz
Les devises de la ville sont notamment celles du moyen-âge : « Si nous avons paix dedans, nous avons paix dehors ! » « Jamais d'aultres armes nous prendront, que celles que nous élisons ; et nous disons pour réconfort, nous voulons la liberté ou la mort ! »
23 février 1766 - La Lorraine devient française - Herodote.net.
« Les provinces d'Alsace et de Lorraine cédées par la France dans les limites fixées par le traité de paix du 10 mai 1871 sont à jamais réunies à l'Empire d'Allemagne. »
l'activité brassicole : les quatre grandes brasseries alsaciennes assurent la production de 60 % du volume national de bière (soit près de 11 millions d'hectolitres) et emploient 1 400 salariés pour un chiffre d'affaires de 1,4 milliard d'euros.
La double croix présente en effet deux barres : la branche principale provient de l'emblème religieux du christianisme, la Vraie Croix ; la traverse supérieure, plus courte, symbolise le panneau de la Sainte Croix où étaient inscrites les lettres INRI, acronyme latin pour "Jésus le Nazaréen, roi des Juifs".
Rapidement les Ducs établissent un château au centre de leurs possessions, autour duquel un bourg, puis enfin une cité, Nancy deviendra la capitale politique et administrative de leur duché. Tout en étant très liés, les sorts des Trois-Évêchés, et des Duchés de Lorraine et de Bar seront désormais très différents.
Dans la foi chrétienne
Selon la tradition chrétienne, la mort de Pierre est rattachée aux persécutions de Néron contre les chrétiens. Pierre serait mort en 64 : Eusèbe de Césarée affirme que Pierre « fut crucifié la tête en bas, après avoir lui-même demandé de souffrir ainsi ».
: Histoire et symbole : La Croix de Lorraine est un symbole de la résistance française durant la Seconde Guerre Mondiale. Elle est souvent appelée « croix d'Anjou » ou « croix d'Anjou-Lorraine ».
Pour les chrétiens, elle représente le sacrifice de Jésus-Christ qui donna sa vie pour la survie de l'humanité. On la retrouve dans les églises et aussi à l'envers (on l'appelle alors la croix de saint Pierre, car cet apôtre de Jésus a comme lui été crucifié, mais la tête en bas).
Non inultus premor, la devise piquante de Nancy
Ainsi, plus qu'une expression lorraine, “qui s'y frotte s'y pique” représente la devise de la ville de Nancy ! Elle nous vient tout droit de la célèbre bataille de Nancy remportée en 1477 par René II contre l'armée bourguignonne de Charles le Téméraire.
1 – « Tu es alsacien ? Tu parles Allemand alors ?! » Soit le cliché par excellence qui énerve un alsacien par dessus tout. La proximité avec la frontière Allemande et une histoire parfois commune, forge dans l'esprit de la plupart des français et étrangers un amalgame entre Alsace et Allemagne.
Vous savez peut-être aussi pourquoi les Lorrains ont de grandes oreilles ? Eh bien c'est parce que, lorsqu'ils sont enfants, leurs mères les soulèvent tous les jours par les oreilles en leur disant : « regarde au-dessus des Vosges comme c'est beau l'Alsace ! »
- Ìch hà di liab. Je t'aime. - Ìch hà di garn. Je t'aime.
L'alsacien a donc la même origine que l'allemand, et fait partie des dialectes germaniques. En effet l'alsacien appartient à la famille linguistique de L'allemand supérieur qui est un ensemble de dialectes germaniques qui sont parlés principalement dans le Sud de l'Allemagne, en Autriche, en Suisse.
Les Nazis veulent former le Grossdeutschland, à savoir regrouper tous les territoires de langue allemande ou considérés comme tels, donc les Sudètes, l'Autriche, le Luxembourg, la Prusse-Occidentale et bien sûr l'Alsace-Moselle. L'annexion se fait de facto et non de jure, donc au mépris du droit international.