La bouteille est donc très lourde, et elle pourrait déséquilibrer lors d'un saut en avant, si la hauteur est insuffisante. En plongeant le dos en avant, c'est cette dernière qui touche en premier l'eau. Cela garantit une entrée bien plus en douceur ! C'est donc pourquoi les plongeurs plongent en arrière.
La bascule arrière permet en effet de plonger convenablement et de garantir une entrée optimale dans l'eau. Ce fait est désigné par rapport à la masse de l'équipement se trouvant dans le dos du pratiquant. En introduisant le dos en avant, il sera le premier à toucher l'eau. Ce qui assure un accès en douceur.
La première raison : donner un repère visuel supplémentaire pour le plongeur. Deuxième raison : les jets d'eau envoient des bulles et la pression de surface est moins élevée grâce à ces bulles d'air.
LA PEAU DE CHAMOIS
Gri-gri et accessoire incontournable, cette mini-serviette éponge a été adoptée par l'ensemble de la discipline. Juste avant un saut, ils l'utilisent pour bien se sécher et éviter par la même occasion que les mains glissent sur la partie du corps à attraper une fois en l'air.
Pour prévenir les accidents de décompression, respectez la vitesse de remontée (un mètre toutes les quatre secondes, soit la vitesse de remontée des petites bulles) sans retenir votre respiration et en observant éventuellement des paliers de décompression qui permettent à l'organisme de se débarrasser de l'azote ...
La plongée sous-marine est une activité de loisir relativement sans danger pour la personne en bonne santé convenablement formée. Les cours sur la sécurité en plongée sous-marine proposés par des organismes nationaux de plongeurs sont largement disponibles.
Vous n'avez pas le niveau pour le site ou le type de plongée prévu. Vous avez une condition médicale (cardiaque, épileptique, enceinte…) ou psychologique (schizophrénie, paranoïaque, claustrophobie ou autres) qui ne permet pas de plonger. Il n'y a pas d'équipement de premier secours sur le bateau ou au club de plongée.
C'est une petite serviette super absorbante que les plongeurs aiment bien utiliser entre leurs plongeons pour se garder au chaud et pour s'assurer de ne pas glisser quand ils font de multiples rotations dans les airs. Les recrues en plongeon aiment habituellement bien l'utiliser.
Pourquoi les plongeurs plongent-ils toujours en arrière et jamais en avant ? Parce que sinon ils tombent dans le bateau.
Le record revient au Suisse Olivier Favre qui, en 1987, a sauté d'une hauteur de 53,90 mètres à Villers-le-Lac (France) depuis le sommet du « canyon du Doubs ». Même s'il n'y a pas de limite théorique, la Fédération française de plongeon limite la hauteur à 28 m, estimant qu'au-delà les risques sont trop importants.
Le record du monde actuel de chute est de 58,8 mètres pour les hommes et de 36,8 mètres pour les femmes [8]. En comparaison, 60 mètres correspondent à un immeuble d'environ 30 étages.
La narcose, aussi appelée « l'ivresse des profondeurs », est un phénomène naturel, du à un excès d'azote qui, par conséquent, agit sur le système nerveux et provoque des troubles comportementaux.
Il s'agit de souffler lentement par le nez au cours de la descente, tout en le pinçant, pour ouvrir les trompes d'Eustache et augmenter la pression de l'air dans l'oreille moyenne. Cette manœuvre ne doit être pratiquée qu'à la descente et non lors de la remontée, sous peine d'entrainer une perforation du tympan.
L'excès d'azote restant dissout dans les tissus de l'organisme pendant au moins 12 heures après chaque immersion, les plongées répétées au cours d'une journée augmentent le risque d'accident de décompression.
La plongée est classée comme un sport extrême mais sa pratique en loisir avec des accompagnants diplômés et expérimentés devient une activité nautique ouverte à toutes et tous.
L'accident de décompression pulmonaire, aussi appelé "Choke" (de l'anglais to choke : suffoquer) survient en général lorsque la remontée a été trop rapide (remontée d'urgence, exercice mal contrôlé).
C'est la pression à laquelle est soumis le corps lors de la plongée qui va causer l'accident lors de la remontée à la surface. Si celle-ci est trop rapide, « l'azote se dilate dans le sang » ce qui créer une bulle qui peut se retrouver bloquée dans un vaisseau sanguin.
9- Pas de sport violent après la plongée
Toujours à cause de la saturation en azote des tissus, il est recommandé de ne pas faire d'apnée ni de sport après une plongée. Un effort violent favorise en effet les accidents de décompression. Ce serait quand même dommage de se blesser après avoir plongé.
L'accident de décompression, également appelé ADD ou les « bends » (les bulles), est une pathologie que tous les plongeurs devraient connaître. L'ADD se produit lorsque le plongeur se trouve en profondeur et que l'azote absorbé dans le sang forme des bulles dans les tissus de l'organisme et/ou la circulation sanguine.
Cela permettra de minimiser l'impact de l'eau sur ton corps et donc la pression sur ton corps.
Asseyez-vous au bord du petit bassin, regroupez vos mains en formant une flèche au-dessus de votre tête. Bras tendus, vous allez ensuite basculer en avant et glisser sur l'eau. Entraînez-vous jusqu'à ce que vous vous sentiez à l'aise avec ce mouvement.
Sivous sautez de 3m votre corps pénétrera dans l'eau à 24 km/h. Si c'est de 6 mètres ce sera à 40km/h. Et si vous vous élancez de 27 mètres votre vitesse à l'impact sera de 85 km/h. Si vous faites un plat à cette vitesse, vous ressentirez la même sensation que si vous chutez de 13m sur du béton.