C'est aussi une question de luminosité. Les pigeons ont besoin d'y voir clair pour se repérer. Quand le ciel est bas, ils s'attroupent plus tôt en journée. Les pigeons vivent en couple, mais ils sont aussi grégaires lors de ces réunions.
L'une des principales raisons de regroupement massif des pigeons est la distribution de miettes de pain ou autres aliments à ces oiseaux. Cet acte favorise tout autant leur prolifération.
La durée de vie du pigeon peut aller jusqu'à 30 ans mais en ville son espérance de vie est de 5 à 6 ans. C'est un oiseau généralement fidèle bien que séducteur. En ce qui concerne la reproduction des pigeons, il y a une caractéristique qui différencie cette espèce des autres espèces.
Epouvantails ou CD scintillants sont censés faire peur aux oiseaux, mais ceux-ci, pas si bêtes, se rendent rapidement compte qu'il ne s'agit que de leurres, et finalement la gourmandise l'emporte sur la crainte. Il existe pourtant un truc qui semble efficace : la couleur bleue.
Il faut savoir qu'ils reviennent toujours là où ils sont nés, quelle que soit la distance de l'endroit où il se trouve. Les pigeons voyageurs sont-ils répertoriés ? Oui, ils sont bagués et inscrits dans des clubs colombophiles.
Votre oiseau bat des ailes : s'il bat des ailes lorsque vous vous rapprochez et qu'il ne s'envole pas, c'est qu'il est content de vous voir. Remue sa queue : de haut en bas, voici encore un signe qui montre que votre présence le rassure et que votre volatile est content de vous avoir près de lui.
Les pigeons sont capables de faire la distinction entre les concepts abstraits du temps et de l'espace, à l'instar des humains et des grands singes, selon des expériences qui révèlent que ces oiseaux sont plus intelligents qu'on ne l'imaginait.
Le meilleur répulsif naturel pour pigeon : le vinaigre blanc
Les épices ne sont pas les seules odeurs que les pigeons détestent ! En effet, ces volatiles n'apprécient pas du tout l'odeur du vinaigre blanc. Ce liquide est utile à la maison ou au jardin grâce à ses nombreux bienfaits.
Le reste du temps, les pigeons se regroupent donc dans des «dortoirs». Ils le font souvent «dans des arbres, sur certaines places parisiennes par exemple, ou dans des abris où ils peuvent aussi se reproduire : sous des toits, sous des ponts, dans des constructions abandonnées, etc.»
Chez l'espèce australienne Sepia plangon, la tromperie va plus loin que le camouflage. Lorsqu'un mâle nage entre sa concubine à sa gauche et un concurrent mâle à droite, il produit deux jeux de signaux contenant des informations contradictoires.
Pigeon et reproduction
Lorsque le couple est formé, ils se frottent les joues les unes contre les autres et prennent des attitudes vraiment très tendres. Ils sont monogames, leur lien dure toute la vie, et ne prend fin qu'avec la mort de l'un des deux.
1. Les inséparables. C'est probablement l'exemple le plus connu, et en même temps c'est facile puisqu'on les a nommés d'après cette caractéristique. Une fois en couple, les inséparables restent ensemble toute leur vie.
Le pigeon, une si mauvaise réputation. A hanter nos squares et caniveaux, avec sa tête qui accompagne sa démarche d'un mouvement saccadé d'avant en arrière, le pigeon est le mal aimé de notre nature en ville. Moche, il serait vecteur de maladies, prolifique et pas très intelligent. En somme, une nuisance invasive.
Ce sont nos commensaux, c'est-à-dire qu'ils se nourrissent de nos détritus. Ils jouent un rôle écologique non négligeable dans les sous-sols où ils évitent ainsi aux canalisations et aux égouts de s'engorger.
Beaucoup d'oiseaux peuvent voir différemment. Les pigeons, par exemple, peuvent littéralement voir des millions de couleurs différentes et font partie des meilleurs animaux sur terre par leur faculté de détection de la couleur.
«Tous les oiseaux ont une forte préférence pour les couleurs de fruits les plus répandues, noir et rouge», ont conclu les chercheurs. A contrario, tous les oiseaux ont boudé les fruits de couleur verte. Les chercheurs ont cependant relevé des nuances dans les résultats.
Les pigeons détestent certaines odeurs comme celle de la naphtaline ou du vinaigre blanc. Pour préparer un répulsif avec ce dernier, il suffit de mélanger à quantité égale du vinaigre et de l'eau. Puis, vous pouvez ajouter 10 gouttes d'huile essentielle d'eucalyptus et mettre le mélange dans un pulvérisateur.
Répulsif pigeon – eau de javel
C'est un autre odeur qui repousse les pigeons. C'est une astuce qu'on peut mettre en pratique surtout quand il s'agit des balcons. Évitez de l'appliquer dans le jardin pour ne pas nuire aux plantes. En plus l'eau de javel peut être dangereux pour les hommes aussi.
Le pigeon est essentiellement granivore mais il mange aussi des petits insectes, des vers de terre et de la verdure. Le plumage est épais , mais fragile . Le moindre choc peut lui enlever des plumes. Les principaux prédateurs du pigeons sont les rapaces , les martres et les fouines.
Les pigeons biset et ramier des villes se toilettent chaque jour. Mais ce ne sont pas des fées du logis : au fond de leurs nids, on trouve les mêmes fientes qui dégradent les bâtiments. « L'état de leurs pattes contribue à leur aspect sale, explique Romain Julliard, chercheur au Muséum national d'histoire naturelle.
Pourquoi les pigeons sont-ils les oiseaux les plus à l'aise dans l'environnement urbain ? Pour Olivier Païkine, la réponse réside dans la façon même de fonctionner de ces volatiles. “Ils s'habituent au rythme des gens qui marchent dans la rue. Leur comportement est le fruit d'un mimétisme vis-à-vis de leurs congénères.
Mais on n'a pas besoin d'oreilles externes pour entendre. Les oiseaux en sont la preuve. Ils ont seulement deux petits trous cachés par leurs plumes… et ils peuvent distinguer parfaitement des sons émis à deux millièmes de secondes d'intervalle. C'est dix fois mieux que les humains !
Les pigeons communiquent majoritairement par roucoulement, courts grognements et battements d'ailes. Ils sont également capables d'identifier les communications des autres espèces : ils distinguent très bien le cri d'alarme du merle de son chant. Le premier déclenchant un envol, mais pas le second.
Il est acquis que les oiseaux sont capables de ressentir de la douleur même s'il est parfois difficile d'objectiver celle-ci, car les modifications comportementales peuvent être subtiles (GAYNOR and MUIR, 2009).