L'excitation sexuelle s'accompagne de tensions plus ou moins fortes, dans les jambes en particulier. Ces tremblements se produisent après l'orgasme, dans une phase de détente.
A quel moment du rapport tu avais ces tremblements ? Généralement c'est au moment de l'orgasme que l'on en a, ou lorsque le plaisir est très intense.
Ils peuvent être dus par exemple à un manque passager de sucre dans le sang (hypoglycémie), à la fatigue, aux émotions (angoisse, peur, colère...), à un traitement médicamenteux ou à la fièvre. Lorsque l'on a froid aussi, le corps se met à trembler par réflexe.
Lorsque nous nous embrassons, la fréquence cardiaque augmente et le débit sanguin est positivement impacté. Cela aide à augmenter le niveau d'énergie.
Les médicaments habituellement prescrits pour soulager partiellement le tremblement essentiel sont le propranolol (qui fait partie des bêtabloquants, des médicaments qui régularisent la tension artérielle et les battements cardiaques), des antiépileptiques (qui réduisent la sensibilité du cerveau aux stimulations), ou ...
Cette réaction est provoquée par les endorphines, autrement dit les hormones qui ont la capacité de soulager la douleur et d'accroître le plaisir. Parfois les endorphines nous rendent euphorique. C'est notamment le cas après l'orgasme. Elles entraînent même des rires incontrôlés.
Les éternuements pourraient être causés par le tissu érectile présent dans le nez (similaire à celui des organes génitaux), qui s'engorge du fait de l'excitation sexuelle. Concrètement, lors d'un acte sexuel, les tissus du nez gonfleraient et provoqueraient une obstruction nasale.
Ce sont vos muscles qui, arrivant à un niveau de fatigue dû à cet effort intense, vont s'étirer et se contracter très rapidement, de manière instinctive. Ils vont alors sur-stimuler leurs terminaisons nerveuses, entraînant ces tremblements.
Les fibres du muscle vont alors s'étirer et se contracter de manière instinctive, et irriter les terminaisons nerveuses, entraînant ainsi la vibration des muscles, et donc, des tremblements.
Elles peuvent être infectieuses, endocriniennes, neurologiques, inflammatoires, génétiques, rhumatologiques, liées à un médicament, etc. La faiblesse peut débuter dans l'enfance (myopathie génétique, par exemple) ou beaucoup plus tard dans la vie.
Cela se manifeste par une fonte musculaire importante qui peut être la conséquence : - D'un manque d'activité prolongée d'un bras ou d'une jambe souvent lié à une blessure et ou une opération qui nécessitent d'immobiliser le membre en question…c'est que l'on appelle une fonte musculaire après immobilisation.
La rhinopharyngite, appelée aussi rhinite ou rhume, est une infection virale bénigne, fréquente chez l'adulte, en hiver. Elle se caractérise par un écoulement du nez qui peut durer quelques jours, accompagné éventuellement d'autres symptômes.
La rhinite chronique cause l'obstruction nasale, et dans les cas sévères, des croûtes, un saignement fréquent, et un écoulement purulent, épais et nauséabond du nez. Les décongestionnants peuvent soulager les symptômes.
En 2011, des chercheurs britanniques ont interrogé 71 femmes : 66 % ont indiqué que leurs vocalisations avaient pour objectif de faire monter l'excitation de leur partenaire et 87 % de le rassurer : soupirs, gémissements, cris seraient ainsi un mode de communication pour manifester son plaisir, mais aussi pour guider l ...
L'orgasme : au moment de l'éjaculation, un message sensoriel de plaisir intense et maximal est envoyé au cerveau. Hormone du plaisir, l'endorphine se propage dans tout l'organisme, source de frissons. S'en suit une augmentation de la fréquence cardiaque, de la tension artérielle, les pupilles se dilatent.
La décharge hormonale que libère l'orgasme peut provoquer des réactions inattendues, comme des larmes, qui dans ce cas sont généralement l'expression d'une joie très intense. Mais lorsque celles-ci viennent à couler pendant l'acte, elles peuvent être le symptôme d'un véritable mal-être.
Comment reconnaître la polypose nasale ? dont l'un doit être la congestion/obstruction nasale ou la rhinorrhée, et/ou une douleur/pression faciale, et/ou la réduction ou la perte de l'odorat.
La plus connue est le “rhume des foins”, l'allergie aux pollens ou aux graminées qui se déclenche au printemps. Mais ce type d'allergie peut aussi être provoquée par d'autres pollens, ou encore les acariens, les moisissures, les poils d'animaux…
Les causes de la toux grasse
Dans l'immense majorité des cas, la toux grasse est provoquée par une infection virale de l'hiver : rhinopharyngite, sinusite, bronchite. On commence par avoir une toux sèche puis, au bout d'un jour ou deux, elle se transforme en toux grasse avec des glaires.
Cette boule dans la gorge est une réponse d'ordre physiologique: elle correspond à une contraction des muscles de la gorge en réaction à une situation stressante, lorsque nous nous sentons angoissé/submergé. A ne pas confondre avec, par exemple une inflammation de la gorge nécessitant l'intervention d'un médecin.
Les infections d'oreille se produisent fréquemment après un rhume. L'infection provoque de l'enflure, ce qui bloque la trompe d'Eustache, le passage qui relie l'oreille moyenne à l'arrière de la gorge. Pour cette raison, le liquide infecté se trouve bloqué dans la cavité de l'oreille moyenne.
La claudication est souvent causée par une blessure mineure ou par un trouble mécanique de la jambe ou des articulations. D'autres affections graves peuvent également faire boiter. Comme les enfants grandissent, les os et les muscles qu'ils utilisent pour marcher sont encore en développement.
Incident nerveux, neuropathies
Même chose pour les neuropathies, les maladies affectant les nerfs et le système nerveux en général. Une paralysie par exemple peut s'accompagner d'hypoesthésie. D'autres causes de l'hypoesthésie sont l'alcool, le VIH, les effets secondaires de médicaments ou certaines tumeurs.