Les couverts utilisés par les aristocrates pour découper la viande étaient donc un bon moyen de montrer à la fois leur richesse et leur puissance à leur hôte. 'usage de fragiles baguettes soulignaient ainsi la délicatesse de l'aristocratie chinoise.
Pour bien tenir vos baguettes, placez la première baguette entre votre majeur et la base de votre pouce, puis saisissez la deuxième entre votre index et votre pouce. Si nécessaire, déplacez votre main de haut en bas sur les baguettes jusqu'à ce que vous trouviez une position confortable.
Contrairement à une idée admise, les baguettes ne sont pas utilisées dans toute l'Asie, et y sont même minoritaires, si l'on considère le nombre de pays qui y ont traditionnellement recours. Il s'agit essentiellement de la Chine et de sa sphère d'influence historique (Vietnam, Corées, Japon).
L'HISTOIRE DE LA BAGUETTE JAPONAISE
Au début il semblerait qu'elles aient été utilisées comme ustensiles de cuisine ou pour l'entretien du feu (entre 1600 et 1200 avant JC) et non comme couvert, cela n'arrivera que plus tard.
Les baguettes japonaises se distinguent des baguettes chinoises par leurs extrémités arrondies. Elles arborent généralement un design et une couleur plus complexes, parce qu'elles sont considérées comme un élément important qui contribue au maintien de l'équilibre de l'habitation.
Les baguettes coréennes sont différentes des baguettes chinoises ou des baguettes japonaises! En Corée, nous avons des baguettes traditionnelles qui sont en métal. Plus le métal est noble, moins on risque de transmettre les bactéries.
Lors d'un repas traditionnel Coréen, la table est garnie avec une multitude de plats variés et communs, les baguettes métalliques plates sont utilisées essentiellement pour piquer dans les plats et non manger le riz et le fait des baguettes sont en acier, elles accrochent moins les bactéries et les aliments de ce fait ...
Mais d'après une autre source, c'est un boulanger autrichien, August Zang, qui aurait introduit la baguette en France. En 1839, le Viennois ouvrait une boulangerie à Paris. Il y aurait vendu des pains de forme ovale, comme ceux que l'on trouvait alors en Autriche.
Le premier empereur de Chine, Yu Le Grand, pourrait être également l'inventeur des baguettes selon une légende. Redoutant un éventuel assassinat, il interdit couteaux et fourchettes. Trop impatient de manger un plat mijotant très chaud, il arracha un jour deux branchettes d'un arbre, qu'il utilisa comme une pince.
LE PLACEMENT DES DOIGTS
La baguette du bas doit être tenue dans le creux de la main, à la base du pouce et de l'index. L'avant de la baguette repose sur l'annulaire. Elle ne bouge jamais. La baguette du haut se tient comme un stylo et est maintenue entre le pouce, l'index et le majeur.
La baguette chinoise est donc la meilleure du monde.
À la deuxième place se trouve les Japonais, et en troisième les Danois.
Au moins 3 milliards et demi de personnes dans le monde mangent avec leurs doigts. Dans certains pays comme le Maroc, l'Algérie, l'Indonésie, la Malaisie, le Tadjikistan, entre autres, manger avec les doigts, c'est la norme. La main droite est même considérée comme une ustensile sacrée en Afrique et en Asie.
Le terme chinois standard pour désigner les baguettes est kuàizi (筷子).
Le riz est un aliment polyvalent, nourrissant et peu cher et qui se conserve bien. Les Chinois mangent beaucoup de riz, mais principalement dans la partie Sud du pays, là où le climat doux et humide se prête bien à sa culture.
La nécessité a forcé les Chinois à manger presque tout ce qui pousse sur terre, ce qui s'y déplace ou ce qui vole dans le ciel. Mais les gens ont transformé cette nécessité en vertu, et de nos jours, la cuisine chinoise s'enorgueillit de la plus grande variété de plats au monde (autour de 5 000).
Passez sous le riz.
Pour le prendre avec des baguettes, il ne faut pas simplement le « pincer » comme les autres aliments, mais plutôt le soulever par en dessous tout en le pinçant. Tenez les baguettes en position ouverte en les plaçant de part et d'autre d'une boulette de riz d'une bonne taille.
Munie de son propre petit bol de riz et en utilisant des baguettes ou bien encore une cuillère de service, chaque convive prélèvera la nourriture qu'il souhaite manger dans les récipients disposés au centre de la table. Ce que l'on pourrait assimiler à une sorte de “buffet assis”.
Étymologie. (1510) De l'italien bacchetta , issu probablement du latin baculum (« bâton ») par l'intermédiaire d'un latin vulgaire * baccus, bacculus.
La Baguette Tradition :
Pour donner le nom « tradition » au pain, ce dernier doit être fabriqué sur place et bien évidemment sans congélation ! Concernant sa farine, elle est aussi différente. Elle ne doit contenir aucun additif, car pour ce pain, ils sont totalement interdits.
Plusieurs explications ont été avancées. D'abord pour certains elle devrait sa forme aux campagnes napoléoniennes : les pains étaient jusqu'alors ronds pour une meilleure conservation. Mais ils auraient changé de forme pour les rendre plus facilement transportables par les soldats.
- Fixez solidement la première baguette entre le pouce et l'annulaire (ce dernier est appuyé sur l'auriculaire). Cette baguette ne bougera pas. - La deuxième baguette qui sera mobile se tient entre le pouce, l'index et le majeur.
Par exemple, en Corée, lorsque vous êtes avec des amis ou en famille, manger en faisant du bruit avec la bouche, en soufflant, inspirant et déglutissant bruyamment indique que vous prenez plaisir à manger et cela marque toute la satisfaction que vous prenez à manger les plats qu'on vous a préparés.
(bien que les Coréens raffolent des bouillons toute l'année puisque manger un plat brûlant permet de réguler la température du corps durant les forts chaleurs, tout comme aller au jimjilbang (sauna coréen) en été !
Le menu est composé d'un bol de riz et d'une soupe par personne et de plusieurs petits plats d'accompagnement à partager (légumes, viandes, poissons, fruits de mer). Le bol de riz est systématique, la plupart du temps, les Coréens le mangent en le mélangeant avec les autres plats.
Ils sont appelés idéogrammes, sinogrammes, caractères chinois .... Chaque signe correspond à une information ou à un mot mais il n'indique pas la prononciation, ce qui permet de lire et de comprendre de très anciens textes et permet également la communication écrite entre les différentes langues chinoises.