Avant de pouvoir atterrir, les avions tournent au-dessus du terrain pour attendre leur tour, pour perdre de la hauteur, pour aborder la piste dans la direction d'où vient le vent, ou pour recevoir les ordres que leur donne la tour de contrôle.
Ainsi, si le vol s'est opéré à basse altitude, si l'avion a fait des cercles, c'était parce qu'il était trop chargé en carburant, et donc pour en brûler et ainsi pouvoir atterrir en toute sécurité : en effet, plus un avion vole à basse altitude, plus l'air est dense, et plus, de fait, il consomme de carburant.
Selon l'aéroport Strasbourg-Entzheim, contacté par Actu Strasbourg, il s'agit d'un vol d'entraînement. Ce sont des vols d'entraînement de la compagnie aérienne allemande Condor. L'avion fait des tours et ne se pose pas forcément. Il s'agit d'exercices.
Mais lorsque l'avion s'approche pour atterrir, il vole à la vitesse la plus faible possible. C'est ce qu'on appelle la vitesse de décrochage. À cette vitesse, l'avion peut tomber comme une pierre, car la portance n'est pas assez élevée pour permettre une diminution progressive et lente de l'altitude.
Pour tourner au sol
Les petits avions tournent dans les virages grâce aux palonniers (les pédales) qui contrôlent la roue avant (ou la roue arrière sur certains avions comme la Piper PA-18) . Les palonniers sont les pédales qui contrôlent aussi la gouverne de direction, située sur la queue de l'appareil.
On peut croire que c'est par raisons de sécurité. Le [L'océan] Pacifique est le plus grand et le plus profond des océans. Si un avion rencontre un problème alors qu'il le survole, les pilotes auront du mal à s'en sortir sans aucun endroit pour atterrir.
Autrement dit, la rotation de la Terre n'a aucune influence sur la vitesse d'un trajet en avion. Alors non, un avion ne prendra pas plus de temps à arriver à destination s'il vole vers l'Est, puisque l'atmosphère tourne à la même vitesse que la Terre.
Le décollage et l'atterrissage sont largement considérés comme les moments les plus dangereux d'un vol.
En cas de problème lors des phases de décollage ou d'atterrissage nocturnes, susceptibles de conduire à un accident, la réduction préalable de l'intensité lumineuse dans la cabine permet aux yeux des passagers de s'adapter à l'obscurité.
Tant que l'avion a de la vitesse, l'air s'écoule au dessus et en dessous de son aile et il est capable de voler. Si les moteurs ne fonctionnent pas, on ne peut pas maintenir sa vitesse en gardant son altitude et on se met donc en descente.
Connectez-vous sur le site flightradar24.com. Sur une carte du monde apparaissent tous les avions actuellement en vol. En cliquant sur n'importe quel avion, s'affiche dans une petite fenêtre toutes ses caractéristiques : son modèle (Airbus, Boeing…), son origine et sa destination, son altitude, sa zone radar…
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif.
C'est une question de sécurité pour l'avion et ses passagers. Ces opérations n'ont en général lieu que lorsqu'un avion long courrier (donc lourd) doit rebrousser chemin peu après le décollage.
Capacité maxi de carburant : 26 000 litres de kérosène répartis en 3 réservoirs : 1 dans chaque aile de 4 900 litres, et 1 dans le fuselage de 16 200 litres au niveau de l'emplanture des ailes, ce qui représente 20 tonnes de carburant.
Le manche à balai (ou plus simplement manche) est, en aéronautique, la commande de vol qui permet au pilote d'un aérodyne de commander les attitudes de celui-ci selon les axes de tangage et de roulis.
Les feux. Comme tout véhicule (sauf les cyclistes suicidaires la nuit), les avions possèdent des feux. Il y a les principaux : les phares d'atterrissage qui éclairent la piste lors du décollage ou de l'atterrissage, mais aussi les phares de roulage utilisés au sol.
En effet, au décollage ou à l'atterrissage, le personnel de bord a besoin que les stores des hublots soient ouverts afin de pouvoir s'apercevoir le plus rapidement possible s'il y a un problème à l'extérieur de l'avion. Ainsi, il n'y a aucun angle mort ou presque.
Garder les hublots ouverts permet en réalité aux agents de bord d'avoir la vue dégagée et ainsi juger par quel côté de l'avion une potentielle évacuation serait la plus sûre.
Selon les chiffres de l'Aviation Safety Network, l'atterrissage est la phase la plus périlleuse pour un avion. Entre 1999 et 2008, 36% des crashs se sont produits à l'atterrissage. Le décollage arrive deuxième avec 20% des incidents.
N'ayez pas peur des turbulences
Si cela peut s'avérer très désagréable, ce n'est en fait pas dangereux. La turbulence n'est rien de plus que le mouvement de votre avion sur les vagues d'air. Cela se produit principalement au décollage et à l'atterrissage ; la différence de température est à l'origine de la turbulence.
Sur base de ces données, ses membres sont arrivés à la conclusion que les personnes installées à l'avant de l'appareil ont 49% de chances de survivre à un accident.
Les faits: la Terre est attirée par le Soleil; elle ne tombe pas dessus, mais tourne autour. C'est la même chose qu'un satellite artificiel qui tourne autour de la Terre: il est attiré par elle, mais ne tombe pas parce qu'il tourne.
Le champ magnétique qui fait office de bouclier en déviant les particules du vent solaire est lui aussi dépendant de la rotation de la Terre. Si celle-ci s'arrêtait de tourner, ce champ magnétique s'évanouirait et nous nous retrouverions exposés à des radiations mortelles.
Explication: en réalité, les avions volent bien en ligne droite, mais en suivant la courbe de la terre. C'est la projection de la terre, ronde, sur une carte plane qui donne l'impression de ne pas prendre la trajectoire la plus courte.
Guerre en Ukraine: quels sont les pays qui interdisent le survol des avions russes? Depuis ce dimanche, l'Union européenne a fermé l'ensemble de son espace aérien à tous les avions et compagnies russes. Outre-Manche, le Canada et les États-Unis ont pris la même décision.