Que ça soit pour rouler au sol ou voler, un avion utilise la même source de poussée : ses moteurs. Certes, le régime des moteurs au sol est très faible mais c'est bien lui qui permet d'avancer, et non une quelconque motorisation située dans les roues, d'où la problématique de la marche arrière.
Bien que la marche arrière soit possible pour les avions équipés d'inverseurs de poussée, celle-ci est rarement effectuée près des installations au sol, et cela pour des raisons de sécurité !
Explication: en réalité, les avions volent bien en ligne droite, mais en suivant la courbe de la terre. C'est la projection de la terre, ronde, sur une carte plane qui donne l'impression de ne pas prendre la trajectoire la plus courte.
Comme tout véhicule (sauf les cyclistes suicidaires la nuit), les avions possèdent des feux. Il y a les principaux : les phares d'atterrissage qui éclairent la piste lors du décollage ou de l'atterrissage, mais aussi les phares de roulage utilisés au sol. Il y a des feux de navigation situés aux extrémités des ailes.
La raison est à chercher du côté des vents en altitude. Les avions ne sont pas comme les trains.
On peut croire que c'est par raisons de sécurité. Le [L'océan] Pacifique est le plus grand et le plus profond des océans. Si un avion rencontre un problème alors qu'il le survole, les pilotes auront du mal à s'en sortir sans aucun endroit pour atterrir.
En avion, l'atmosphère qui entoure la Terre et dans laquelle l'avion vole, se déplace en même temps que la Terre, donc l'avion n'est absolument pas influencé par la vitesse de rotation de la Terre. Vous suivez toujours ?
La raison principale qui motive le fait d'abaisser les éclairages des avions lors des décollages, des atterrissages ainsi que la nuit est la suivante : habituer les yeux des passagers et des membres du personnel à l'obscurité.
En fait, les raisons sont purement pratiques et sécuritaires. En effet, au décollage ou à l'atterrissage, le personnel de bord a besoin que les stores des hublots soient ouverts afin de pouvoir s'apercevoir le plus rapidement possible s'il y a un problème à l'extérieur de l'avion.
L'air qui se déplace plus lentement pousse plus fort sur l'aile que l'air qui se déplace plus rapidement. L'air sous l'aile pousse donc l'avion vers le haut, c'est pour cela que les avions restent dans le ciel et ne tombent pas.
Les recourbures au bout d'ailes, communément appelé « Winglets », permettent de réduire la trainée induite et par conséquent réduire la consommation de carburant. Comment ? L'écoulement de l'air au-dessus et en-dessous de l'aile crée des tourbillons en bout d'aile créant ainsi des frottements supplémentaires .
Oui, mais essentiellement plutôt pour des raisons de densité de l'air. Plus on monte en altitude, moins l'air en effet oppose de résistance à l'avion et plus les moteurs sont efficaces. L'avion consomme moins de carburant et pourra voler plus vite. Pourtant attention, les avions ne peuvent pas monter indéfiniment.
Comme les voitures, certains avions ont des klaxons. Il ne s'agit bien sûr pas de klaxonner un avion qui refuserait en vol la priorité à droite mais d'avertir le personnel au sol que l'on cherche à le contacter. Le son est similaire à celui d'un klaxon de camion ou de bus.
La procédure de freinage consiste alors, une fois que l'avion est au sol, à déployer les inverseurs, puis à augmenter le régime du moteur après le toucher des roues pour recréer de la poussée (le moteur étant pratiquement au ralenti lors de la phase d'atterrissage).
On utilise généralement les freins pour aider à tourner au sol en complément de la roulette de nez. Pour les plus gros avions, il y a ce qu'on appelle le « steering tiller ». C'est un mini volant situé près du manche, qui permet de diriger le train avant pour faire tourner l'avion quand il roule au sol.
Fort heureusement, l'avion est passé en pilotage automatique et n'a pas connu d'incident majeur. Une mésaventure qui renforce les craintes sur l'épuisement des pilotes. Y a-t-il des pilotes dans l'avion ? Oui, mais ils dorment.
Où dorment les pilotes ? Dans la zone de repos de l'équipage, bien sûr. Celui-ci est situé dans le lobe supérieur à l'avant de l'avion.
On se sent fatigué
En effet, la quantité d'oxygène dans un avion est comparable à celle rencontrée à une altitude de 2 000 mètres en montagne. Notre sang absorbe moins d'oxygène à cette hauteur, c'est pourquoi on se sent fatigué, voire étourdi.
Le salaire d'un pilote de ligne se situe en moyenne à plus de 100 000 euros de rémunération annuelle, soit plus de 8 000 euros bruts mensuels.
L'air insufflé dans la cabine est donc recyclé en moyenne toutes les 2 à 4 minutes. Le système HEPA extrait donc de l'air extérieur et le mélange à de l'air recyclé, « propre » puisque débarrassé de ses particules indésirables... Voilà qui explique pourquoi l'air circulant dans l'avion est froid.
Hors variations dues au heures de vols, les salaires moyens de la compagnie aérienne allaient avant la crise sanitaire de 73.000 à près de 340.000 dollars par an, selon l'ancienneté et l'avion piloté.
Même si l'atmosphère tourne globalement à la même vitesse que la Terre, il faut rajouter les vents. Il y a des vents dominants dus aux courants de convection dans l'atmosphère (car l'équateur est plus chauffé que les pôles) et à la force de Coriolis (due à la rotation de l'atmsophère).
Parce que c'est l'altitude qui correspond au meilleur compromis entre vitesse et consommation de carburant. A cette hauteur, la densité de l'air est 4 fois plus faible qu'au niveau de la mer. Conséquences : la résistance à l'air diminue d'autant, ce qui autorise l'avion à doubler sa vitesse (environ 1 000 km/h).
Parce que notre corps n'est pas sensible aux vitesses constantes mais seulement aux accélérations et décélérations. Or, le mouvement de la Terre est invariable, avec une vitesse de 1 000 km par heure.