C'est durant cette période que les premiers anglais s'installent en Inde à des fins commerciales. La colonisation de l'Inde débutera dans les années 1750 avec la prise du Bengale et le pillage de son trésor en 1757. Les britanniques prendront le pouvoir sur le commerce indien en imposant une hausse des taxes.
En 1773, Fort William devient le siège de ses activités en Inde. Les guerres contre le sultanat de Mysore et les guerres anglo-marathes vont permettre à cette dernière d'accroître considérablement son emprise territoriale. À partir du Bengale, sa base territoriale, l'EIC part à la conquête du sous-continent indien.
L'Inde britannique commença en 1858 par le transfert des possessions de la Compagnie des Indes orientales à la Couronne britannique en la personne de la reine Victoria, proclamée en 1876 «impératrice des Indes» (en anglais: Queen Victoria, "Empress of India").
Les Portugais, avec Vasco de Gama en 1498, furent les premiers colonisateurs européens; ils arrivèrent au Kerala et s'emparèrent de Goa (en 1510) qu'ils contrôlèrent jusqu'en 1961.
L'Inde britannique devint alors un espace pour cultiver le coton, le jute et le thé. La Reine Victoria fut proclamée « impératrice des Indes » en 1876 et acquit de ce fait son autorité sur les territoires aujourd'hui connus sous les noms de l'Inde, le Pakistan, la Birmanie et le Bangladesh.
Ces autochtones ont été chassés des terres où ils résidaient, exterminés ou condamnés à l'exil vers d'autres pays. L'Histoire a démontré que l'arrivée des colons britanniques était en grande partie responsable du massacre des Indiens d'Amérique.
Dans les faits, l'Inde est désintéressée par une éventuelle partition du Sind, car les régions qu'elle pouvait éventuellement obtenir étaient arides et désertiques, avec de très faibles ressources naturelles.
La population amérindienne est passée, États-Unis et Canada confondus, d'un peu moins de 500 000 individus en 1930 à plus de 3 000 000 en 2000. En 2001, on comptait quelque trois cents réserves indiennes aux États-Unis et environ deux mille cinq cents au Canada.
Les études génétiques du chromosome Y montrent que les premiers Amérindiens sont venus de Sibérie centrale. La mappemonde d'Ernst Haeckel, publiée en 1884, situe l'origine de l'humanité dans une région hypothétique, nommée Lémurie.
L'Empire britannique des Indes (1858-1947)
3 La colonisation britannique
Il s'agissait d'une colonisation de peuplement, menée par des émigrants persécutés dans leur pays pour leurs convictions religieuses ou politiques, notamment des «séparatistes anglais», une secte dissidente de l'Église anglicane.
Pendant quatre ans, de l'été 1940 à l'été 1944, la France vaincue a été gérée comme une colonie par l'Allemagne.
L'Inde et le Pakistan accèdent à l'indépendance le 15 août 1947, après de longues tractations avec les Britanniques, mais aussi entre les Indiens.
1622-1632 : deuxième guerre anglo-powhatan. Débute par le massacre de 347 colons à Jamestown. 1636-1638 : guerre des Pequots. Cette guerre est liée aux premières traces de recours à l'esclavage en Nouvelle-Angleterre, contemporaines d'autres en Virginie et au décret de 1636 sur l'esclavage à vie à la Barbade.
Après la prise de Constantinople par les Turcs ottomans, en 1453, les Européens cherchent de nouvelles routes maritimes vers l'Asie. Ils désirent accéder aux richesses des Indes sans avoir à négocier avec les marchands ottomans.
La conquête britannique (1765-1858)
Mais très vite, la réalité du pouvoir est aux mains des Anglais. Avec l'arrivée en 1798 de Richard Wellesley comme gouverneur général de l'Inde, un plan de conquête est mis en œuvre et, à la fin du XIXe siècle, l'Inde et la Birmanie sont anglaises.
La barbe, les poils du corps sont rares, parce que les Indiens s'épilent. La prunelle de l'œil est noire, le regard triste, les paupières un peu obliques.
Les Sioux sont sans doute les plus belliqueux des Indiens des plaines, avec les Blackfeet. Le mot « sioux » vient d'ailleurs de la contraction d'un nom algonquin, francisé par les trappeurs français, « nadowesiou », qui signifie « ennemi, serpent venimeux ».
Les Indiens habitaient dans des tipis car ils ne pouvaient pas résider dans des endroits naturels pour se protéger des intempéries et des bêtes sauvages. Les tipis étaient le nom sioux du wigwam chez les Apaches mais d'autres tribus vivaient dans des mandans qui étaient des huttes arrondies.
Le mouvement de tête, te déconcertera.
Il ne s'agit à la fois ni d'une réponse affirmative, ni négative, mais plutôt un signe qui signifie :« Tout va bien » « Je comprend », « Surement », ou encore « Peut-être ». Il n'est pas dans la culture indienne de provoquer un échange tendu ou une dispute.
À partir de 1550, revenu en Espagne, Las Casas rédige, pour défendre son point de vue, une histoire des Indes où il reprend des textes qu'il a écrits précédemment, des textes d'historiens contemporains ou de penseurs de l'antiquité et des faits qu'il a lui-même observés.
Gandhi a mené l'Inde à l'indépendance sans recourir à la violence. il a inventé pour cela une forme d'action fondée sur la résistance passive, sur la force des symboles et sur l'exemplarité du leader. Plus de 2 millions de personnes se pressent, le 12 février 1948, aux funérailles de Gandhi.
Le Pakistan est créé dans la nuit 14 au 15 août 1947 au cours de la partition des Indes. Il est alors constitué de deux parties, communément appelées Pakistan occidental et Pakistan oriental, séparées entre elles par quelque 1 700 kilomètres de territoire indien.
Gandhi, chef des nationalistes indiens, réclame dès 1920 l'indépendance de l'Inde. Il propose d'appliquer la désobéissance civile, c'est-à-dire de ne plus payer d'impôts par exemple ou de ne pas respecter les lois. Il insiste sur l'usage d'une action pacifique pour obtenir l'indépendance.