Ces informations doivent avoir pour seul but d'apprécier la capacité du candidat à occuper l'emploi ou ses aptitudes professionnelles. Elles doivent par ailleurs avoir un lien direct et nécessaire avec l'emploi proposé.
Pendant cet entretien d'embauche, l'employeur devra informer le candidat des méthodes qu'il utilisera pour le recruter comme par exemple les éventuels tests de personnalité, QCM, ou mises en situation. Le recruteur devra ensuite restituer au candidat qui le demande, les résultats obtenus.
En tant qu'employeur, vous pouvez être amené à collecter des informations concernant vos salariés afin de procéder aux recrutements, calculer les horaires de travail ou encore établir la fiche de paie. Toutefois, la collecte de ces informations est strictement encadrée.
Immatriculation du salarié à la caisse de MSA. Affiliation de l'employeur au régime d'assurance chômage. Demande d'adhésion à un service de santé au travail. Demande de visite d'information et de prévention ou demande d'examen médical d'aptitude à l'embauche.
Les demandes d'informations de l'employeur autorisées
La jurisprudence estime en effet que dès lors que les éléments d'information demandés sont nécessaires pour pouvoir remplir le salarié de ses droits (par exemple, congé de naissance, de mariage, PACS, etc…), cette information est légitimement demandée.
Quand embaucher un salarié ? Le bon moment pour embaucher un salarié est celui où votre entreprise dispose de suffisamment de visibilité financière pour prendre en charge le coût de son personnel.
Ce sont des informations qui révèlent la prétendue origine raciale ou ethnique, les opinions politiques, les convictions religieuses ou philosophiques ou l'appartenance syndicale, ainsi que le traitement des données génétiques, des données biométriques aux fins d'identifier une personne physique de manière unique, des ...
Il est interdit de demander à un candidat à un emploi son numéro de sécurité sociale. Il est également interdit de collecter des informations sur ses parents, sa fratrie, ses opinions politiques ou son appartenance syndicale. À l'embauche du candidat, l'employeur pourra collecter des informations complémentaires.
« Etes-vous en bonne santé » ; « Etes-vous enceinte ? » ; « Avez-vous des problèmes de santé particuliers ? » Là encore, le recruteur ne peut pas demander d'informations sur l'état de santé du candidat lors de l'entretien d'embauche car celles-ci peuvent constituer une discrimination.
Il peut ainsi légalement collecter des statistiques générales des sites consultés via un proxy, c'est-à-dire le serveur mis en place pour assurer la bonne marche du réseau Internet. » Précision importante cependant : un employeur ne peut relever l'historique d'un salarié en particulier sans l'avoir prévenu.
Oui, vous pouvez contacter l'employeur d'un candidat qui postule à un emploi dans votre entreprise. Mais à condition que ce dernier vous ait donné son accord exprès. Pour des raisons de preuve, nous vous conseillons d'obtenir une autorisation écrite du candidat.
« Un recruteur peut cependant demander les trois dernières fiches de paie, explique Thibaud Chalmin, recruteur chez Elysées Consultants. Cela arrive souvent quand il veut vérifier que l'ancien salaire du candidat est bien celui qu'il prétend.
Vous devez sensibiliser vos salariés au RGPD, notamment sur le bulletin de paie car c'est un document personnel et confidentiel. D'ailleur, le bulletin de salaire doit faire l'objet d'un traitement spécifique notamment lors de sa transmission au salarié.
Quelles sont les informations et mentions interdites dans un dossier du personnel ? Si le dossier du personnel a pour vocation d'identifier de façon précise un salarié au sein de l'entreprise, il ne peut et ne doit en aucun cas être discriminant et/ou servir d'outil de fichage des salariés.
Quel est le contenu interdit du dossier du salarié ? Il est interdit de recueillir et conserver des données personnelles relatives aux origines raciales, opinions politiques, philosophiques, religieuses, à l'appartenance syndicale et aux mœurs du salarié.
L'employeur peut-il contacter son employé en arrêt maladie ? Rien ne l'en empêche, en respectant certaines règles. La prise de contact ne doit concerner que l'activité professionnelle.
Par exemple : un nom, une photo, une empreinte, une adresse postale, une adresse mail, un numéro de téléphone, un numéro de sécurité sociale, un matricule interne, une adresse IP, un identifiant de connexion informatique, un enregistrement vocal, etc.
Dans certaines circonstances, cela pourrait inclure toute sorte d'informations allant du nom d'une personne à son apparence physique. Les données personnelles sensibles sont un ensemble spécifique de « catégories spéciales » qui doivent être traitées avec une sécurité supplémentaire.
Le numéro de sécurité sociale (NIR)
Dans la mesure où il est unique à chaque personne, particulièrement identifiant et signifiant, son utilisation présente un risque de fichage de la population et de rapprochements de fichiers sans cesse plus importants. Aussi, l'usage du NIR est strictement encadré par la loi.
L'aide à l'embauche est versée par Pôle emploi entre le 1er juillet 2022 et le 31 décembre 2022. Pour les demandeurs d'emploi de longue durée de moins de 30 ans. L'aide exceptionnelle aux employeurs de salariés en contrat de professionnalisation est versée par l'ASP.
Le premier indicateur c'est évidemment le carnet de commandes qui se remplit. S'il n'est pas anormal de refuser du travail ou quelques commandes, si cela se produit souvent et que vous sentez très clairement que la cadence augmente c'est un signe qu'il faut embaucher.