L'eau de pluie présente en effet une contamination chimique et bactérienne. En conséquence, elle ne peut être bue ni utilisée pour cuisiner ou pour laver la vaisselle. On peut l'utiliser pour laver du linge, mais à condition d'utiliser un dispositif de traitement de l'eau adapté.
Si l'on souhaite potabiliser l'eau de pluie, on ajoute à cela : soit un système à microfiltration notamment muni d'un filtre inférieur à 1 micron (filtre céramique, au charbon actif…). Il enlève toutes les impuretés, sauf les éléments dissous dans l'eau.
Cela est interdit par la loi, car l'eau de pluie est chimiquement contaminée. En raison de la pollution atmosphérique, l'eau de pluie contient, avant même qu'elle touche le sol, des sulfates, du sodium, du calcium, de l'ammonium, et même des nitrates et des pesticides.
Les dépôts humides provoquent une érosion qui endommage les écosystèmes. Les dépôts secs se forment lorsque de petites particules acides et des gaz se déposent sur la surface de la planète. Des gaz comme le dioxyde de soufre et l'oxyde d'azote se transforment en acides au contact de l'eau.
Elle arrose les végétaux qui en ont besoin pour les nourrir, les faire grandir et fleurir. La pluie rafraichit l'air, elle permet à la terre de se désaltérer et de s'enrichir pour les cultures à venir ou en cours. Elle apporte plus de bienfaits qu'un arrosage à l'eau du robinet, rappelons-le.
L'érosion du sol, les glissements de terrain et les coulées de boue sont également fréquents lors de fortes pluies.
L'eau de pluie est une eau non potable, car contaminée microbiologiquement (principalement lors du ruissellement de l'eau sur le toit et dans la cuve de stockage) et chimiquement (pesticides dans la pluie, métaux par ruissellement sur le toit, etc).
Tout comme la rosée, la brume, le givre ou la condensation, l'eau de pluie est originellement pure et légèrement acide.
Les caractéristiques de l'eau de pluie sont ainsi relativement stables en moyenne annuelle : l'eau de pluie naturelle est acide (pH 5) et contient, en plus ou moins grande quantité, des sulfates, du sodium, du calcium, de l'ammonium, et même des nitrates et parfois des pesticides.
Pollution de l'eau de pluie
L'eau de pluie est naturellement polluée. En effet les gouttes d'eau ne peuvent atteindre une taille suffisante pour tomber vers le sol que s'il existe des particules solides dans l'atmosphère permettant d'initier le processus de nucléation.
L'eau de pluie est également plus douce que l'eau du robinet. Non calcaire, elle n'entartre pas les installations de la maison. Ainsi, l'utilisation de produits détergents et anticalcaires diminue et l'entretien des canalisations n'est plus nécessaire. Encore des économies d'argent en perspective.
Boire de l'eau de mer ou de l'eau salée (au sel marin) est possible. Généralement, on la prend en cure d'eau de Quinton isotonique ou hypertonique puisée dans les fonds marins. Cette eau fait l'objet de traitements préalables pour éliminer les bactéries et de micropolluants circulant dans l'eau des océans.
Cependant, le sel ne s'évapore pas avec l'eau, et l'eau dans le verre n'est donc pas salée. C'est pour cela que la pluie est faite d'eau douce non salée, même lorsqu'elle provient de l'eau de mer.
Installation. L'eau de pluie que vous récupérez doit avoir uniquement ruisselé sur une toiture qui n'est pas accessible (sauf pour assurer son entretien et sa maintenance). Le stockage de l'eau doit être fait dans une cuve hors-sol ou enterrée. Aucun produit anti-gel ne doit être appliqué dans la cuve de stockage.
Mais alors, pourquoi l'eau est-elle en danger ? Si l'eau recouvre une grande quantité de la Terre, 97 % est salée et se situe dans l'océan. L'eau douce, elle, représente moins de 3 %. La pollution, le gaspillage, le changement climatique la rendent rare et donc précieuse.
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Le problème, c'est que l'eau de mer est salée. Elle contient 35g de sel par litre alors que nos besoins ne s'élèvent qu'à 9 g par jour. Donc, si on ne boit que de l'eau de mer – cas de naufragés sans ressources – ou trop d'eau de mer, notre corps va éliminer le sel en excédent et se déshydrater.
L'eau pluviale est le nom que l'on donne à l'eau de pluie après qu'elle a touché le sol, une surface construite ou naturelle susceptible de l'intercepter ou de la récupérer (toiture, terrasse, impluvium, arbre, etc. ).
Correctement filtrées, l'eau de pluie, l'eau de puits et l'eau de citerne sont des alternatives à envisager. Elles conviennent, elles aussi, aux boissons et aux préparations alimentaires.
L'article 681 du Code civil impose une obligation stricte à chaque propriétaire : le toit de son logement doit permettre l'écoulement des eaux de pluie sur son terrain ou la voie publique. Il est donc interdit au propriétaire de les faire verser sur le terrain de son voisin.
L'eau de pluie sert également à alimenter les toilettes ou le lave-linge, cependant le système est plus compliqué. En effet, la cuve est soit enterrée dans le sol, soit posée dans le sous-sol.
Lorsqu'il pleut, les ultraviolets sont moins présents et peuvent donc moins créer une pollution dans l'atmosphère. Enfin, l'eau « lave » la pollution. En effet, l'eau de pluie permet d'agglomérer les particules sur les gouttes d'eau. La pollution particulaire se retrouve alors dans l'eau de pluie.
désagrément, embarras, ennui, importunité.
Elle nous enivre de son odeur, renouvelle l'atmosphère, créé des clignotements de lumière dans nos villes ennuyeuses et nous invite à cette introspection sereine, presque magique, où nous pouvons entrer en contact avec nous-même à travers les gouttes de pluie.