L'élévation de la température et de la concentration atmosphérique en CO2 favorise le métabolisme des végétaux et leur photosynthèse. Si les autres ressources nécessaires à la croissance végétale sont présentes, la productivité végétale devrait augmenter.
En absorbant une partie de la lumière du Soleil et de la chaleur émise par la Terre, ils garantissent les conditions de la vie sur notre planète. L'effet de serre qu'ils provoquent est donc un phénomène naturel.
Le changement climatique a également des incidences indirectes sur la biodiversité du fait des changements dans l'utilisation des terres et d'autres ressources. Ces incidences peuvent être plus dommageables que les incidences directes en raison de leur ampleur, de leur portée et de leur vitesse.
Les gaz à effet de serre contenus dans l'atmosphère ont un rôle important dans la régulation du climat. Ils empêchent une large part de l'énergie solaire (les rayonnements infrarouges) d'être renvoyée de la Terre vers l'espace. C'est l'effet de serre. Grâce à lui, la température moyenne sur Terre est d'environ 15 °C.
À terme, le réchauffement climatique pourrait entraîner une hausse du niveau des océans qui pourrait engloutir des villes entières, et provoquer un tarissement irréversible des ressources.
Le réchauffement devrait entraîner une réduction des pathologies liées aux climats froids (engelures, rhumes, etc.). Par conséquent, le coût sociétal de ces pathologies devrait baisser avec la réduction de la quantité de médicaments utilisés, des hospitalisations, de la mortalité, etc.
On peut néanmoins conclure que, dans le monde entier, les systèmes naturels sont touchés par les changements du climat régional, en particulier par la hausse des températures, et que ce réchauffement est très probablement dû aux émissions de gaz à effet de serre d'origine anthropique.
C'est le phénomène de l'effet de serre naturel. Sans cet effet de serre, la température à la surface de la Terre serait de -18°C et la vie, si elle s' y avérait possible, serait fort différente. Le Soleil nous envoie un rayonnement composé d'un peu d'ultraviolets, et surtout de lumière visible et d'infrarouge proche.
Les transports, première source de gaz à effet de serre
Selon cet inventaire, les transports sont la première source de gaz à effet de serre en France métropolitaine (29,7 % des émissions en équivalent CO2 en 2017), devant l'industrie et le secteur tertiaire (25,8 %) ou l'agriculture (18,9 %).
L'utilisation de combustibles fossiles, la déforestation et l'élevage de bétail influent de plus en plus sur le climat et la température de la terre.
hausse du niveau de la mer. hausse de la température des océans. intensification des précipitations (fortes pluies et grêle) augmentation des cyclones tropicaux violents.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) rapporte que le changement climatique est responsable d'au moins 150 000 décès par an, chiffre qui devrait doubler d'ici à 2030. Parmi les conséquences graves dues au réchauffement climatique, on peut citer : Maladies infectieuses.
(a) les effets directs : malnutrition et sous-alimentation (sans doute le plus important), mortalité et morbidité liés aux événements extrêmes (vagues de chaleur), mortalité et taux de morbidité liés aux maladies infectieuses (transmissions par vecteurs et infections d'origine alimentaire et hydrique).
L'accumulation du dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère contribue pour 2/3 de l'augmentation de l'effet de serre induite par les activités humaines (combustion de gaz, de pétrole, déforestation, cimenteries, etc.). C'est pourquoi on mesure usuellement l'effet des autres gaz à effet de serre en équivalent CO2 (eq.
Le méthane est le principal responsable de la formation de l'ozone troposphérique, un polluant atmosphérique dangereux ainsi qu'un gaz à effet de serre, dont l'exposition provoque chaque année un million de décès prématurés (en anglais). Le méthane est également un puissant gaz à effet de serre.
Les femmes ont des modes de vie moins émetteurs de gaz à effet de serre (GES) en moyenne que les hommes, mais elles sont davantage victimes des dérèglements climatiques, selon une note d'une économiste consultée mardi par l'AFP.
La pollution de l'air :
La pollution de l'air participe grandement à la pollution de la planète. Elle est principalement due à la calcination de combustibles fossiles comme le charbon, le pétrole et gaz.
L'agriculture et l'industrie
L'essentiel des émissions de GES de l'agriculture est constitué de méthane (46 %, soit 8,7 % des émissions nationales), principalement lié à l'élevage, et de protoxyde d'azote (40 %, soit 7,6 % des émissions nationales), principalement lié à la fertilisation des cultures.
Pour que l'on comprenne bien le contexte de la découverte, il faut imaginer que voici 20 000 ans, la planète vivait un climat glaciaire avec des températures moyennes d'environ 10°C plus basses que les températures actuelles.
La température moyenne de la France, sur les douze mois de l'année, était de 11,4 °C en 1901-1910 ; elle est passée progressivement à 12 °C en 1941-1950 – les années de guerre et d'après-guerre. À signaler quand même, malgré ce qui vient d'être dit, les trois grands hivers de 1940, 1941 et 1942.
Parce qu'elle n'est ni trop près, ni trop éloigné du soleil.
Records de chaleur, multiplication des catastrophes météo, fonte des glaces, déclin de la nature : les preuves de l'impact dévastateur des activités humaines sur la planète s'accumulent, attestant de l'urgence à agir en particulier contre le dérèglement climatique.
Le réchauffement climatique est un phénomène global de transformation du climat caractérisé par une augmentation générale des températures moyennes (liée aux activités humaines), et qui modifie durablement les équilibres météorologiques et les écosystèmes.
Biodiversité et écosystèmes
21Au niveau mondial, le changement climatique contribuera à la perturbation d'écosystèmes naturels de la Terre, ce qui pourrait causer l'extinction d'espèces animales sauvages et indigènes.