La pauvreté et le sous-développement sont à la fois une cause et une conséquence de ces inégalités. Et, pour sortir de ce cercle vicieux, l'accent est de plus en plus mis sur l'éducation des femmes et des filles car elles ont un rôle fondamental de « locomotive » dans la société.
Les parents interrogés sur les raisons de la déscolarisation de leurs filles invoquent souvent des questions d'argent (frais de scolarité et coûts de renoncement), les mariages et grossesses précoces, des apprentissages insuffisants à l'école et une perte d'intérêt pour les études.
Les résultats obtenus démontrent à suffisance le rôle clé de la scolarisation des filles comme condition indispensable requise pour obtenir un changement à moyen et long terme du comportement des parents en vue de l'amélioration de la situation des enfants en matière de santé et d'éducation.
La scolarisation des jeunes filles est un élément essentiel de leur accès à l'autonomie économique et un enjeu majeur de développement. Par l'éducation, elles gagnent en connaissances, ce qui influe par exemple sur la mortalité infantile car une fois mères, elles auront les bons gestes pour leurs enfants.
Le décrochage scolaire : les conséquences
Au niveau individuel, déjà, les élèves en situation de décrochage scolaire sont plus à même de développer des troubles du comportement et notamment des troubles au niveau psychologique et mental. L'isolement social et la dépression se retrouvent ainsi plus souvent ici.
Les chromosomes XX sont pour le sexe féminin et XY pour le masculin. C'est le chromosome 23 qui détient les informations qui vont déterminer le sexe de l'enfant. Chaque cellule sexuelle contient la moitié des chromosomes (23). Ainsi, dans le cas de l'ovule, le chromosome 23 est un X.
Parmi les facteurs de risque les plus importants, on note : des habiletés intel- lectuelles et verbales faibles, l'échec et le retard scolaires, une motivation et un sentiment de compétence affaiblies, des aspirations scolaires moins élevées, des problèmes d'agressivité et d'indiscipline, l'absentéisme ainsi qu'un ...
Mettre en place un partenariat mondial pour le développement : Les exemples typiques de partenariat mondial pour le développement sont l'Initiative des Nations Unies en faveur de l'éducation des filles (UNGEI), l'Initiative EFA-Fast Track (EFA-FTI) et le Programme international d'harmonisation.
Ainsi grâce à la scolarisation systématique des filles, un pays peut augmenter son produit intérieur brut (PIB) en moyenne de 3 %. Ainsi, la non-éducation des filles est une véritable entrave au développement social, économique, et politique des pays.
L'Afghanistan (46 %), le Soudan (45 %), le Niger (38 %) et le Nigéria (34 %) figurent également parmi les 10 premiers pays affichant les taux de scolarisation les plus faibles. Tous ces pays illustrent clairement comment les urgences humanitaires et les crises prolongées empêchent les enfants d'aller à l'école.
Gestion d'une passerelle d'accueil et d'orientation de jeunes déscolarisés. Accompagnement à la mise en place d'ateliers relais. Analyse des besoins d'un Établissement de Réinsertion Scolaire de proximité afin de proposer un projet de formation pour le personnel, la mise en œuvre d'actions éducatives complémentaires…
Parmi les facteurs de risque les plus importants, on note: des habiletés intellectuelles et verbales faibles, l'échec et le retard scolaires, une motivation et un sentiment de compétence affaiblies, des aspirations scolaires moins élevées, des problèmes d'agressivité et d'indiscipline, l'absentéisme, ainsi qu'un faible ...
Parce que nos méthodes d'enseignement ne sont pas adaptées au fonctionnement du cerveau et de la mémoire. Pour l'auteur, professeur de psychologie cognitive à l'Université de Virginie, nous pouvons aider les élèves à aimer l'école si nous comprenons comment fonctionne leur intelligence.
Ses effets peuvent être très graves, contribuant à l'analphabétisme répandu, au chômage, au crime et au gaspillage des ressources publiques des états.
On appelle un "décrocheur" un élève qui quitte ou risque de quitter prématurément le système scolaire sans avoir obtenu de diplôme (CAP, bac pro ou bac). Des établissements ont été créés pour les accueillir, les remotiver et les accompagner vers une reprise d'études et un projet professionnel durable.
Les parents estiment qu'un garçon est plus facile à éduquer. Les garçons sont perçus comme plus forts et plus courageux. De ce fait, ils sont moins susceptibles d'être agressés, violés ou braqués. Les couples interrogés sont plus sereins face à l'accueil d'un garçon qu'à celui d'une fille.
Les nouveau-nés sont plus souvent de sexe masculin. Selon des chercheurs, cet écart serait dû à une surmortalité des foetus féminins pendant la grossesse. Chaque année en France, il naît plus de garçons que de filles.
“Cela n'a pas d'importance, tant qu'il est en bonne santé!”, voilà ce que les parents répondront souvent à la question: “Quel sexe préférez-vous?”. Et pourtant, les études menées à ce sujet prouvent que la plupart des futurs parents ont une préférence, qu'elle soit marquée ou pas, en particulier pour le premier enfant.
Cette partie de la population des « décrocheurs » courre un risque de désocialisation d'autant plus important qu'ils disposent de très faibles ressources familiales. Mais on trouve également parmi ces jeunes la volonté de se réaliser d'une autre manière, en dehors de l'école, et plus particulièrement par le travail.
Certains chercheurs parlent de déscolarisés dans l'école, de décrocheurs de l'intérieur (Bautier, Terrail, Branca-Rosoff et al, 2002), désignant ainsi des élèves en rupture scolaire à l'intérieur des établissements, qu'ils manifestent ou non des comportements hors normes.
Plus concrètement, la blessure d'abandon est liée au manque d'une figure attachante et sécurisante." Elle peut être présente chez des enfants qui ont été livrés à eux-mêmes, qui ont dû grandir seul, sans la présence physique ou émotionnelle d'un parent, ou tout simplement ceux qui n'ont pas trouvé l'écoute et l' ...
L'instruction permet aux femmes de jouer un rôle économique accru au sein de leur famille et de leur communauté ; elles réinvestissent généralement 90 % de leurs revenus dans la famille. L'investissement dans l'éducation des filles contribue aussi à repousser l'âge auquel celles-ci se marient et procréent.