d) La lampe L2 est parcourue par un courant puisque L1 brille et que les lampes sont montées en série. Mais ce courant est trop faible pour que L2 brille.
Observation : plus on ajoute de lampes au circuit, moins les lampes brillent. Interprétation : dans un circuit en série, l'énergie transférée par le générateur est partagée entre les lampes. Donc plus il y a de lampes, moins il y a d'énergie électrique disponible pour chacune. L'éclat des lampes diminue.
Dans certains circuits, des dipôles associés en série constituent des branches qui sont elles-mêmes associées en dérivation. Dans ce circuit, les lampes L1 et L2 sont en série et elles sont donc dépendantes l'une de l'autre. Par contre, La lampe L3 est en dérivation avec les lampes L1 et L2.
Observation : plus on ajoute de lampes au circuit, moins les lampes brillent. Interprétation : dans un circuit en série, la tension électrique de la pile est partagée entre les lampes. Donc plus il y a de lampes, moins la puissance lumineuse de chacune est élevée.
Si une lampe brille faiblement, c'est qu'elle est en sous-tension : la tension mesurée entre ses bornes est inférieure à sa tension nominale. Si une lampe brille fortement, c'est qu'elle est en surtension : la tension mesurée entre ses bornes est alors supérieure à sa tension nominale.
Loi d'Ohm. Branchons aux bornes d'un générateur, une lampe adaptée. Elle fonctionne correctement puisqu'elle est adaptée à la tension du générateur.
Si l'on ajoute une deuxième lampe dans un circuit comportant une lampe et une pile alors l'éclat diminue. L'éclat diminue encore plus si l'on ajoute une troisième. Le résultat obtenu serait le même en ajoutant un moteur ou une résistance au lieu d'une lampe.
Pour faire briller l'ampoule, le courant électrique doit passer de la pile à l'ampoule. Pour que le courant passe, il faut mettre en contact les lamelles de la pile avec le culot (+) et le plot (–) de l'ampoule.
III Court-circuit dans un circuit en dérivation
En reliant ensemble les deux bornes de la lampe L3 on relie aussi ensemble les deux bornes de la lampe L2, de la lampe L1 et du générateur. Le fil de court-circuit permet donc au courant électrique de contourner les lampes L1, L2 et L3.
LOI D'ADDITIVITE DES TENSIONS DANS UN CIRCUIT EN SERIE : Dans un circuit en série, la tension entre les bornes du générateur, est égale à la somme des tensions entre les bornes des dipôles récepteurs.
Les lampes L₁ et L₂ sont branchées en dérivation. Le schéma normalisé représente ce branchement car on a une branche principale avec le générateur qui se sépare en deux branches dérivées.
b) La lampe L3 est montée en dérivation par rapport aux lampes L1 et L2 c) Si L1 grille L2 ne brille plus puisque les deux lampes sont en série et L3 continue de briller. d) Si L3 grille les lampes L1 et L2 continuent de briller de la même façon.
Tous les dipôles d'un circuit en série sont parcourus par un courant électrique de même intensité. Loi d'unicité : Dans un circuit en série, l'intensité du courant électrique est la même en tout point. Tous les dipôles du circuit sont parcourus par un courant électrique de même intensité.
Puisque leurs résistances sont plus faibles, les autres lampes brillent moins. La lampe de puissance nominale la plus grande a une résistance si faible que son filament s'échauffe à peine. L'énergie qu'il émet est principalement sous forme de chaleur, il n'y a pratiquement pas de lumière visible.
On dit qu'un circuit est en dérivation si tous les dipôles (ou séries de dipôles) sont branchés en dérivation. Un circuit en dérivation peut être distingué d'un circuit en série car il comporte toujours au moins deux boucles.
Deux composants sont en série lorsqu'ils sont placés l'un après l'autre et sont traversés par le même courant, voire mieux s'ils partagent un nœud commun et si le même courant les traverse. Le courant ne peut circuler que dans le circuit, à partir de la borne positive de la batterie, le courant passe d'abord par R 1.
Détecter une fuite de courant est possible. Pour cela, il faudra vous équiper d'un multimètre. La fonction ohmmètre de cet appareil vous permettra en effet de vérifier l'isolation de vos circuits. De cette façon, vous pourrez détecter les potentiels points de fuite et trouver les raisons de ce défaut d'isolation.
En cause, le plus souvent, un matériel vétuste ou mal adapté, un dégât des eaux, un choc ou un coup de foudre. Un court-circuit se produit lorsque deux fils n'ayant pas la même tension, une phase et un neutre par exemple, sont mis en contact.
La surtension électrique intervient lorsque la tension apportée dans le circuit électrique est plus élevée que la tension maximale supportée par le circuit. Vos appareils électriques subissent plusieurs fois par jour des surtensions de faibles ampleurs et sans conséquences à court terme.
III Réalisation d'un circuit électrique
– Le culot est en contact avec la borne négative et le plot en contact avec la borne positive. La lampe brille donc si ses deux bornes sont en contact avec les deux bornes de la pile.
Le sens conventionnel du courant
Le problème s'est posé aux physiciens et comme on ne peut pas voir le courant électrique, un sens arbitraire a été donné : le courant circule de la borne positive vers la borne négative du générateur à l'extérieur de celui-ci. C'est le sens conventionnel du courant électrique.
I. Un circuit électrique élémentaire pour faire briller une lampe. La lampe de poche est composée d'une ampoule, d'une pile et d'un interrupteur. Ces éléments sont reliés entre eux par des fils de connexion.
Les fils de connexion assurent le passage du courant électrique entre le générateur et les différents récepteurs du circuit électrique.
Dans un circuit en série, l'ordre des dipôles n'a pas d'importance : le fonctionnement des dipôles reste le même quelque soit leur emplacement dans le circuit.
Dans le montage en parallèle, le circuit de courant reste intact et tous les autres spots continuent à fonctionner. Dans le montage en série, le courant ne peut plus circuler, et les autres spots s'éteignent.