L'alcool affecte ainsi la mobilité intestinale (les mouvements spontanés de l'intestin pour y faire progresser les aliments) et augmente la perméabilité intestinale (le passage de molécules à travers la paroi intestinale) pouvant être à l'origine notamment d'inflammation.
L'alcool stimule la muqueuse gastrique ainsi que la production d'acide gastrique. Ceci peut provoquer des douleurs d'estomac ou des maux de ventre, accompagnés de nausées et de vomissements.
En effet, la levure qui entre dans la composition de cette boisson (alcoolisée ou non) assure une teneur en gaz carbonique. D'où la présence des petites bulles dans un verre ou une bouteille de bière. Le gaz carbonique dans l'organisme a pour effet de faire gonfler le ventre s'il est absorbé en excès.
Il peut s'agir d'une réaction de type allergique à certains composants de l'alcool mais il est possible aussi que vous soyez dépourvue de certaines enzymes permettant de métaboliser, c'est-à-dire de transformer l'éthanol dans votre organisme.
Les résultats d'une étude américaine publiée démontrent que l'alcool, et en particulier la bière, seraient impliqués dans le développement de la goutte, une maladie inflammatoire des articulations, et ce même lorsqu'ils sont consommés avec modération.
Pourtant, boire un verre d'alcool tous les jours augmente le risque de développer certaines maladies, dont certains cancers. Pour limiter ce risque et protéger votre santé, il est recommandé : de ne pas boire plus de 2 verres par jour.
« L'exercice d'intensité faible à modérée (comme la marche ou le jogging) est également efficace - il exige simplement une durée beaucoup plus longue, de quatre à six heures par semaine, comparativement à une à deux heures pour les activités à forte intensité comme la course à pied.»
Tout réside en fait dans la façon de servir la bière. Verser lentement pour éviter la mousse, c'est empêcher la libération du dioxyde de carbone contenu dans le breuvage. Le CO2 reste alors emprisonné dans le liquide, et c'est finalement dans l'estomac que ce gaz indésirable va finir par s'emmagasiner.
Le curcuma : le meilleur digestif alcool
Le cucuma permet d'agir sur les symptômes que nous venons de voir, comme les brûlures ou lourdeurs d'estomac, les ballonnements et la nausée.
En comparant les effets de plusieurs boissons alcoolisées (bière, cidre ou spiritueux), les chercheurs britanniques avancent que les personnes qui consomment régulièrement du vin rouge présentent un meilleur équilibre dans leur microbiote (ensemble des microbes gastro-intestinaux) que celles qui n'en boivent pas.
Boire de l'eau
Beaucoup d'eau, même si vous n'en avez pas envie. Du jus, mais évitez les jus très acides, comme le jus d'orange. Essayez aussi une tisane à la menthe, au gingembre ou à la camomille. Du jus de tomate ou de légumes mélangés.
Quand vous prenez un verre de vin, de bière ou d'une autre boisson alcoolisée, le foie est responsable de traiter cet alcool et de détoxifier le sang. Pourtant, la décomposition de l'alcool n'est qu'une des quelque 500 fonctions essentielles du foie.
L'alcool ne fait pas que déshydrater le corps, il irrite aussi la paroi de l'estomac. Cette irritation est la cause des vomissements, voire des diarrhées, en cas de surconsommation.
Elle facilite la digestion
En plus de son effet diurétique dû à sa composition riche en eau, la bière est une boisson riche en nutriments. Les céréales qu'elle contient permettent de couvrir un apport journalier en fibres. De ce fait, la consommation de bière protège la flore intestinale.
La bière fait gonfler le ventre
Et plus l'estomac est distendu, plus il faudra le remplir pour ne plus avoir faim. La consommation de bière favorise également la fermentation et la libération de gaz lors de la digestion, ce qui aboutit généralement à des sensations désagréables de ballonnement.
Celle qui cumule le plus de mauvais points est sans aucun doute la bière qui possède un fort index glycémique. Or, le sucre est stocké sous forme de graisses dans l'organisme, d'où l'expression « ventre à bière ». En outre, la bière contient du dioxyde de carbone qui provoque des gaz et des ballonnements.
La bière faciliterait les érections
Selon elle, et à raison d'une pinte par jour, cette quantité de fer stimulerait la production de globules rouges et leur circulation. Un phénomène qui faciliterait les érections, permettant ainsi l'augmentation de leur fréquence et leur durée.
L'alcool détruit les nerfs, d'où l'état de fatigue
Mais la fatigue chronique apparaît surtout chez les buveurs invétérés, autrement dit les alcooliques. En effet, l'alcool attaque à la fois les neurones et les cellules du foie.
La bière est bonne pour les reins et le cœur.
Une étude finlandaise a démontré que la bière élimine les dépôts de calcium au niveau des reins et donc diminue le risque de calculs rénaux. En facilitant le transit elle permet aussi une élimination plus rapide des calculs.
La dose quotidienne maximale de bière à ne pas dépasser se situerait entre 300 et 450 millilitres pour les hommes et 300 millilitres pour les femmes, selon les résultats d'une étude publiée dans The Lancet et financée par la Fondation Bill & Melinda Gates.
La consommation d'alcool, qu'elle soit occasionnelle ou régulière a tendance à fatiguer l'organisme, surtout que cela vous a rendu malade, votre corps est fatigué et a besoin de récupérer. Il est conseillé de boire de l'eau pour aider l'organisme à éliminer.
Le stade le plus précoce et le plus courant de la maladie du foie liée à l'alcool est appelé stéatose hépatique. La stéatose hépatique désigne une accumulation excessive de graisse à l'intérieur des cellules du foie, ce qui rend plus difficile le fonctionnement du foie.