On y apprend notamment que la banane donne bel et bien la banane, forte du tryptophane qu'elle contient, un acide aminé que le corps transforme en sérotonine, un neurotransmetteur connu pour améliorer notre humeur. Cette hormone du bonheur, on en retrouve aussi dans la morue salée, la lotte ou encore le foie.
Framboises, mûres, groseilles, myrtilles, cassis, baies de goji ou encore cranberries (canneberge), ces petits fruits ont de grandes vertus. Bien sûr, chacun a ses spécificités mais ils sont généralement riches en vitamine C, en minéraux, en fibres et même en acides gras. Surtout, ils regorgent d'antioxydants.
Or la vitamine B est essentielle à notre bonheur, car elle aide l'organisme à produire de la sérotonine, une hormone connue également sous le petit nom de... hormone du bonheur.
Quelles sont les hormones du bonheur ? Il en existe 4 principales : la dopamine ; la sérotonine ; l'endorphine et l'ocytocine.
Consommer des glucides grâce aux fruits, aux légumes, au pain et aux pâtes à base de céréales complètes est également indispensable. En effet, le tryptophane a besoin d'énergie, donc de glucides, pour atteindre le cerveau et fabriquer de la sérotonine.
Les chansons rythmées, sur lesquelles on peut bouger, sont généralement des musiques joyeuses. Il est facile de faire un petit pas de danse répétitif qui vous mettra de bonne humeur. Ces musiques font donc du bien aux oreilles mais également au corps. Les chansons provoquant des émotions rendent elles aussi heureux.
Le système de récompense du cerveau sera alors activé et ce dernier pourra réagir en libérant le transmetteur dopamine. Ainsi, le bonheur déclenché lors de la dégustation du chocolat n'est pas dû à la présence de dopamine dans le chocolat mais parce-que le cerveau libère lui-même cette substance.
Le cornichon : il est la cerise sur la tartine de rillettes ! Les aliments fermentés agissent sur l'intestin qui fabriquera alors de la sérotonine et vous procurera ainsi une dose de bonne humeur !
écouter de la musique pour obtenir plus de dopamine ; manger des glucides (céréales complètes, quinoa, etc) pour augmenter le taux de sérotonine ; passer du temps avec les personnes aimées pour booster l'ocytocine ; pratiquer des activités de relaxation comme le yoga et la méditation pour stimuler l'œstrogène.
L'ocytocine : hormone de l'amour, de la confiance et du lien conjugal et social.
La sérotonine a un rôle proche de celui des hormones.
Elle agit sur le système nerveux central et induit différentes actions, notamment dans la régulation de certains comportements comme l'humeur ou l'émotivité. "Elle intervient dans la souffrance morale et donc dans la dépression", précise le Dr Fouré.
On définit souvent la dopamine comme l'hormone du bonheur. Même s'il est vrai que la satisfaction liée à la récompense procure du plaisir, cela reste différent du bonheur. C'est une autre hormone qui nous le fait ressentir : la sérotonine.
Produite par les testicules et les glandes surrénales de l'homme, la testostérone est considérée comme l'hormone mâle par excellence. Pourtant, elle est aussi l'hormone clé du désir…
Les larmes émotionnelles contiennent plus d'hormones de stress, que les autres larmes, et permettent ainsi de réduire la concentration de certaines substances dans le corps. Une de ces hormones de stress est la prolactine, qui se trouve en plus forte concentration chez les femmes que les hommes.
Les câlins diminuent le stress et l'anxiété : Comme vue déjà plus haut, le câlin provoque la libération d'ocytocine, une hormone qui favorise l'attachement et diminue le niveau de stress. Ainsi, grâce à la libération d'ocytocine, le niveau de stress et d'anxiété diminue.
Consommation excessive de sucre et dépression saisonnière
D'après une équipe de chercheurs américains, la consommation excessive de produits bourrés de sucres serait pourtant loin d'être anodine car elle affecterait notre moral en jouant un rôle dans le déclenchement de la dépression saisonnière.
La vitamine B1, ou « thiamine » est en effet réputée pour aider l'organisme à lutter contre les facteurs de stress en réduisant l'anxiété et la dépression, et par le fait même, à améliorer l'humeur.
Chez l'homme, la testostérone est prédominante dans la survenue de la libido. Cette hormone sexuelle mâle est également présente chez les femmes, mais en bien moindre quantité. Par contre, les hormones sexuelles féminines (progestérone et œstrogènes) influencent clairement le désir durant le cycle.