Stress, fatigue, manque de concentration ou pathologie plus grave comme un AVC ou la maladie d'Alzheimer, les raisons sont diverses. Les répercussions des pertes de mémoire sur le quotidien peuvent être plus ou moins importantes.
L'amnésie dissociative est une amnésie (perte de mémoire) provoquée par un traumatisme ou un stress, résultant en une incapacité à se souvenir d'informations personnelles importantes. Les personnes ont des trous de mémoire, qui peuvent s'étendre de quelques minutes à plusieurs décennies.
La mémoire peut donc être altérée par de nombreux facteurs: PSYCHOLOGIQUE : une dépression, un contexte anxieux chronique, un deuil par exemple. MÉDICAMENTEUX : certains traitements antidépresseurs ou anxiolytiques peuvent induire une limitation des capacités mnésiques, d'autant plus si la personne est âgée.
Le sommeil est essentiel au bon fonctionnement de la mémoire : les insomnies ou l'apnée du sommeil peuvent donc causer des trous de mémoire fréquents. L'amnésie peut aussi être d'origine cérébrale : épilepsie, maladie de Parkinson, Alzheimer, sclérose en plaques, traumatisme crânien…
Les causes des oublis fréquents
Si l'attention peut être mise en cause, le tempérament d'une personne étourdie est une autre cause possible. Ce n'est pas tout : le stress des vies surchargées et trépidantes est souvent à la base de ces trous de mémoire.
Les médicaments qui agissent sur le cerveau, comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, mais aussi les somnifères. En modifiant la manière dont les neurones communiquent, ils perturbent la mémoire et la concentration. Le stress.
Ces troubles peuvent survenir à cause d'une maladie affectant la mémoire. Ils peuvent également être d'origine émotionnelle. Stress, fatigue, anxiété peuvent altérer la capacité à mémoriser, de même qu'une alimentation carencée, un problème d'alcoolisme, un excès de médicaments ou une fatigue excessive.
Les hypermnésiques décrivent leur mémoire comme fonctionnant par associations incontrôlables. Leur mémoire ne garde pas le souvenir de chaque élément de leur vie. Elle est aléatoire et peut parfois retenir des événements perçus comme insignifiants.
R : La dépression n'est pas une maladie de la mémoire, comme la maladie d'Alzheimer, souvent considérée comme le prototype de ces maladies. Les troubles de l'humeur vont toutefois entraîner des troubles de la mémoire du fait des difficultés de concentration et du ralentissement idéomoteur.
Horloge. Le test de l'horloge est un test simple et rapide à utiliser pour dépister des troubles des fonctions cognitives tels que la praxie, l'attention, le langage, l'orientation dans le temps et l'espace, et les fonctions exécutives.
L'anosognosie signifie l'absence de prise de conscience ou une prise de conscience amoindrie des troubles. Elle est fréquente chez les patients souffrant de maladie d'Alzheimer ou d'autres types de démences.
Pas question donc d'aller consulter un neurologue aux premières difficultés à se souvenir de détails. En revanche, si les troubles de mémoire deviennent récurrents et qu'ils ont un impact sur le quotidien, il faut consulter, en commençant par son médecin traitant.
Le ginkgo biloba
Ses nombreux principes actifs sont réputés pour agir sur toutes les pertes de mémoire, y compris les troubles plus graves comme la maladie d'Alzheimer. "Il s'utilise aussi bien sous forme d'extraits liquides, en gélules ou simplement en infusion.
L'amnésie est aujourd'hui considérée comme le symptôme le plus fréquent et le plus précoce de la maladie d'Alzheimer. C'est donc la première maladie recherchée chez des patients présentant une perte de mémoire.
Le premier signe de la dépression est bien sur une profonde tristesse, elle est particulièrement douloureuse, incompréhensible et envahissante. Elle peut s'accompagner de pleurs inexpliqués et d'un sentiment de désespoir, de l'impression que tout va mal, que tout est noir, et que rien de positif ne peut nous advenir.
La dépression sévère mélancolique (niveau le plus élevé de dépression) : forme très douloureuse, avec perte d'intérêt total pour le monde extérieur, incapacité à aimer, perte d'estime de soi, autodépréciation constante…
l'aphasie est un trouble du langage est assez fréquent. Bien souvent, il s'agit d'une séquelle d'accident vasculaire cérébral, de traumatisme crânien ou encore de tumeur cérébrale. L'aphasie correspond à la perte partielle ou totale du langage. La parole et la pensée ne sont alors plus synchronisées.
La logique et l'intelligence reposent en partie sur la mémoire, car il faut avoir acquis des connaissances pour résoudre des problèmes ou créer. Comme le disait Picasso, la peinture c'est comme le chinois, ça s'apprend.
Comment prévenir les troubles de la mémoire ? Manger sain : Consommer des aliments riches en antioxydants et oméga-3 contribue au contrôle de l'oxydation des cellules du cerveau. Faire du sport : L'exercice physique participe au développement des neurones et baisse le risque de troubles de la mémoire.
Peut-on se rappeler, par exemple, de sa naissance ? « Non, c'est impossible », répond sans hésiter le neuro-psychologue Francis Eustache, « car les structures cérébrales qui servent à fabriquer les souvenirs ne sont pas encore matures ».
L'aphasie est un trouble du langage allant de la difficulté de trouver ses mots à une perte totale de la faculté de s'exprimer. Elle est causée par dommages du cerveau provoqués dans la majorité des cas par un accident vasculaire cérébral. Le rétablissement dépend de la gravité de la lésion.
Du côté du cortex préfrontal, le stress chronique ralentit l'activité et vient altérer la prise de décision, la résolution de problèmes, la concentration et la planification. L'activité dans l'amygdale quant à elle, augmente en conséquence au stress. La régulation des émotions s'en trouve alors affectée.