La personnalité de votre belle-fille ou de votre gendre que vous ne supportez pas (ou tout simplement votre personnalité…) peut être à l'origine de vos mauvaises relations avec le conjoint de votre enfant. Mais, le plus souvent, ces mésententes s'expliquent par une relation fusionnelle avec son enfant.
Votre présence peut également être un sujet de discorde. Essayez de ne pas trop passer chez votre enfant à l'improviste, même si c'est pour déposer un repas, un cadeau ou proposer votre aide. Si on a besoin de vous, on vous le fera savoir, dans le cas contraire ne soyez pas offusqué(e).
Le sujet est toujours un peu tabou. Le modèle éducatif peut varier : un autre facteur à ce rejet de l'enfant de l'autre peut être plus personnel, propre au style de vie du couple, à son modèle d'éducation (permissif, démocratique, autoritaire et distant…), qui peut être différent selon les gens.
Le fait de réfléchir sur soi avant de tout imputer à l'autre a toujours des effets positifs. Tout comme essayer de comprendre ce que la situation comporte pour l'autre de difficile: ne pas prendre les choses personnellement évite de se sentir blessée, humiliée, donc de sur-réagir et d'alimenter le cercle du conflit.
"C'est la clé pour se faire accepter par les enfants de la nouvelle personne qui partage votre vie, car à n'importe qu'elle âge, la belle-mère est perçue plus ou moins comme la remplaçante de la mère. La patience est aussi fondamentale pour se faire accepter par la ou le nouveau partenaire de votre enfant."
l'emmener et aller le chercher à l'école ; signer son cahier de correspondance et son livret scolaire ; l'inscrire à une activité sportive ; l'accompagner chez le médecin.
Demandez-lui directement si vous pouvez faire quelque chose pour améliorer la situation et faites-lui des propositions pour moins en souffrir (visites programmées pour lui permettre de se préparer ou de se sentir moins envahie, garde des petits-enfants aux vacances et pas tous les mercredis, etc.).
Si elle vous évite de manière évidente, vous pouvez toujours lui demander jusqu'à quel point elle vous aime ou vous apprécie. Voyez s'il y a d'autres garçons avec qui elle flirte. Si elle courtise d'autres personnes, il est donc probable qu'elle ne soit pas intéressée par vous.
“Son rôle va aussi dépendre de la place que lui donne le père dans la vie des enfants : simple aide auprès du père pour faire respecter les rituels déjà mis en place ou bien implication plus ou moins importante dans l'éducation des enfants”, ajoute-t-elle.
C'est quoi une "famille toxique" ? Une famille peut être toxique lorsqu'il existe des comportements qui provoquent des problèmes émotionnels chez un ou plusieurs membres du système ou lorsque les rôles familiaux sont différents de ceux qu'ils devraient être.
L'enfant de l'autre a peut-être encore plus besoin d'être aimé pleinement et de façon généreuse, parce que la séparation de ses parents est une souffrance pour lui. Aimer un enfant dans le désintéressement, c'est comme donner de l'engrais à une plante : il s'épanouira et vous le rendra au centuple.
1. Une belle-fille toxique ne fait jamais preuve de sympathie envers sa belle-mère. Peu importe ce que la belle-mère traverse, elle ne montre jamais de compassion ou d'empathie pour elle et se présente rarement pour aider. Les seules personnes qui la soutiennent sont son mari, des amis proches et peut-être son fils.
Pensez à organiser, de manière régulière, des activités qui réuniront votre famille recomposée le temps de quelques heures ou d'une journée: un après-midi de balade, une visite au musée, un cinéma, un atelier culinaire… L'important est de passer du bon temps ensemble, mais aussi se créer des souvenirs en famille.
Pas facile pour le nouveau conjoint de savoir ce qu'il peut dire ou ne pas dire concernant les enfants. Pour les aider, transposez la situation à d'autres enfants en visite chez eux pendant plusieurs semaines… L'attitude et les mots juste seront plus simples à trouver car l'affect est mis de côté.
Famille recomposée : définir de nouvelles règles
Plutôt que de vous quereller continuellement sur vos différences d'éducation, fixez dès le départ des nouvelles règles de vie, propres à cette nouvelle famille. Mettez-vous d'accord tous deux puis énoncez à chacun son nouveau rôle et le nouveau mode de fonctionnement.
Plus vous discutez ou vous opposez, plus vous alimentez un conflit présent ou sous-jacent. Il faut s'imposer, imposer ses choix, et prendre ses distances si besoin. Ne culpabilisez pas de ne pas prendre tous ses appels, ni de ne pas assister à toutes les réunions familiales. Surtout si elles vous pèsent.
Essayez de changer votre regard », conseille la spécialiste. Demandez à un tiers qui connaît le couple de pointer des qualités de votre gendre ou de votre belle-fille. Plus neutre que vous, il lui en trouvera forcément et vous pourrez vous focaliser dessus.
Ne pas répondre du tac au tac
Quand on a une belle-famille qui a pris l'habitude de dire tout ce qu'elle pense à haute voix, et en particulier de critiquer à peu près tout ce qu'on fait, on a envie de répondre aussi sèchemment pour ne pas se laisser faire.
Comportez-vous convenablement avec eux.
Traitez vos beaux-frères et belles-sœurs comme vous traiteriez vos propres frères et sœurs. Soyez aimable, cordial et naturel avec eux. Soyez honnête et communiquez de façon ouverte. Lorsque vous êtes en leur présence, détendez-vous.
Si elle ne vous appelle qu'une fois tous les trente-six du mois pour vous demander de lui rendre service, elle se sert de vous X Source de recherche . Observez le flirt au travail. Si elle n'a l'air de vouloir parler avec vous qu'au travail, elle vous manipule peut-être pour avancer sa carrière.
En principe, il n'est pas possible d'empêcher les grands-parents de voir leurs petits-enfants. Les prérogatives des grands-parents sont reconnues depuis la loi n°70-459 du 4 juin 1970 relative à l'autorité parentale.