Cela vient de la position de votre balle qui est trop en avant, sur votre pied gauche. En descendant, votre club va s'ouvrir. Cela fera décoller votre balle, vous perdrez donc en puissance. Comme le club sera ouvert et sur une phase ascendante, vous ne toucherez pas le sol et ne produirez donc pas de divot.
L'énervement, le stress et la colère tendent à nous faire jouer plus vite. Nous marchons plus vite, nous nous précipitons sur notre balle pour taper le plus vite possible. Quand ça va mal, il faut revenir aux « basiques » : routine, grip, alignement et contrôle.
C'est la nature même de ce sport contre-intuitif : pour faire lever la balle, il faut l'attaquer par le haut et laisser l'angle de la lame faire lever la balle.
Un des facteurs possibles de la balle toppée est du au fait que le corps se soit redressé au moment de la frappe. Mais la cause la plus fréquente résulte d'une diminution de l'extension du bras avant. Pour les golfeuses, cela résulte de la peur de frapper le sol.
Augmentez la difficulté avec le temps et ajoutez différents exercices à votre routine. Sachez que pour être un bon joueur de golf, vous devrez être bon au practice comme sur le parcours, c'est ce qui fera de vous un golfeur complet. Pour progresser plus rapidement, envisagez de prendre des cours.
Dans une forme simple, praticable par tous, méditer consiste à débrancher la machine à penser en fixant son attention sur son souffle. Avec un peu de pratique il est possible d'obtenir un état de relâchement en quelques secondes. Suffisant pour le temps d'un swing de golf.
La balle est jouée en face du talon du pied gauche. Le poids du corps doit être positionné légèrement plus sur votre pied droit. Sur un coup normal, habituez-vous à placer votre balle à gauche du milieu des pieds.
Ce qui est en cause c'est ton plan de swing qui envoie la balle directement à gauche au départ du vol. Autrement dit, tes mains et donc ton club vont sortir vers l'extérieur à la descente et frapper de l'extérieur vers l'intérieur.
Quand vous allez frapper la balle, votre corps sera en arrière et donc votre club va frapper dans le sol. Pour éviter cela, placez le poids de votre corps sur l'intérieur du pied droit durant la phase ascendante du swing.
La pratique du golf n'est pas responsable des différentes pathologies lombaires, elle ne fait que révéler un état préexistant lié au vieillissement classique du rachis. La pratique du golf a un impact positif vis-à-vis du vieillissement de l'appareil ostéo-articulaire et en particulier de la colonne lombaire.
Faites en sorte que l'échauffement ressemble au plus près à ce que vous aurez à faire sur le parcours. Consacrez du temps à répéter votre routine. Changez de cible à chaque frappe. C'est un peu fastidieux mais le confort que donne l'enchaînement rapide des coups est illusoire, ça n'existe pas sur le parcours.
Installez-vous en face d'un miroir ou, mieux, filmez-vous, et au ralenti si vous pouvez. Faites des swings à vide, à différentes vitesses, décomposez le mouvement. Vous avez du temps pour vous bâtir un meilleur swing, profitez-en !
laissez plier votre coude gauche (pour les droitiers) à la montée. Une des plus grandes légendes urbaines au sujet de l'élan de golf stipule qu'il faut absolument garder le bras gauche tout droit et tendu au cours de l'élan arrière.
Comment allonger son swing ? Laissez votre jambe gauche s'allonger quand votre club frappe la balle et laissez le corps tourner autour de votre jambe gauche. A noter qu'avec la vitesse la tête de club ira vers l'avant. Laissez vos bras s'allonger mais maintenez votre tête au dessus du divot.
Le « RELEASE », c'est ce qui se passe « au travers » de la zone de frappe. Toute l'énergie accumulée lors du « backswing », maintenue au cours de la descente, est subitement libérée sans action consciente, afin de projeter la balle.
L'index, pour faire simple, c'est le différentiel entre le Par, le nombre idéal de coups à réaliser sur un trou ou un parcours et votre capacité à le faire. Prenons un parcours dont le Par total est 72. Vous jouez 99, vous avez donc jouez 27 coups de trop par rapport au score de référence du parcours.