« Je n'arrive pas à calmer les pleurs de mon bébé », derrière cette phrase se cache souvent beaucoup de culpabilisation, de stress et de fatigue. Si vous êtes épuisé, installez bébé dans son lit un instant, isolez-vous, buvez un verre d'eau et soufflez.
Soyez patiente si vous n'arrivez pas à le calmer
Lorsque cette situation se produit, il faut essayer de ne pas perdre votre sang-froid : en quelques jours, les bébés développent des « antennes » très sensibles et se rendent compte que s'il y a une tension autour d'eux, pleurer n'aide bien évidemment pas à la calmer.
Puisque votre enfant a besoin de bouger lorsqu'il est excité, il lui sera plus facile de se calmer en bougeant plutôt qu'en restant immobile sur une chaise. Proposez un jeu physique à votre enfant, comme aller courir dehors ou danser.
Votre bébé est fatigué
Cela commence par des pleurnichements sans cause apparente. Votre bébé vient de passer un moment éveillé, d'humeur charmante, puis, sans transition, le voilà qui se met à chouiner. Voulant le distraire, vous lui proposez un jouet ou vous vous mettez à faire « la petite bête qui monte ».
Le principal symptôme d'hyperactivité chez bébé est une vive et constante agitation. Elle peut se manifester de diverses manières : bébé a un tempérament colérique, peine à fixer son attention sur quoi que soit, bouge beaucoup… Il a aussi généralement beaucoup de mal à s'endormir.
Des problèmes de sommeil – par exemple un bébé qui se réveille dès qu'on le pose et en pleurant – peuvent cacher un problème de digestion : cela peut être le signe qu'il souffre de reflux. Aussi, pensez à bien lui faire faire le rot, surtout si vous lui donnez un biberon.
Un bébé hypertonique, toujours en mouvement
C'est un bébé qui va refuser d'être emmailloté par exemple. Il va préférer être porté en peau-à-peau ou en écharpe par ses parents, car il a tout de même besoin de proximité. Le BABI veut tout simplement être comme LUI le souhaite.
Comment savoir si mon bébé développe un lien d'attachement sécurisant? Pour le parent, les premiers signes d'attachement sont extrêmement gratifiants : À 4 semaines, votre bébé réagira à votre sourire, par exemple par une expression du visage ou un mouvement. À 3 mois, il vous sourira en retour.
Il réagit simplement sous l'impulsion de ses besoins primaires. Il a peur, il ne se sent pas en sécurité : c'est un véritable besoin. Et si on le comble (au lieu de le frustrer davantage), on arrivera sans doute à le rassurer et il se calmera.
L'enfant qui présenterait des signes d'irritabilité, de colère, d'agressivité, de repli sur soi… Autre signe à repérer : des difficultés de concentration.
Bébé babille, montre son bien-être ou quand ça ne va pas du tout… Son côté expressif aide à mieux cerner ce qui lui convient ou non, rendant, du même coup, les journées plus simples à gérer.
Un bébé nerveux dormira moins qu'un bébé calme.
C'est pourquoi il est important de détendre votre bébé avant de l'endormir avec un bain chaud, un massage du ventre ou quelques chansons.
Une étude qui va être publiée dans une revue scientifique américaine, apporte une nouvelle réponse. "Laisse-le pleurer quelques minutes ! Cela ne lui fera pas de mal ! Au contraire, cela lui permettra d'apprendre à se calmer tout seul".
On recommande toutefois de ne pas laisser pleurer l'enfant plus de 15 à 30 minutes en continu. Dans cette étude, les bébés, âgés de 4 à 10 mois, devaient donc apprendre à s'endormir selon cette méthode.
Dans l'idéal, l'enfant qui refuse de dormir devrait être mis au lit à la même heure chaque soir, suivant une routine du coucher pouvant comprendre par exemple le dîner, le bain et une histoire. Embrassons-le et souhaitons-lui « bonne nuit » d'une voix ferme, puis quittons la chambre alors qu'il est encore éveillé.
Les câlins sont indispensables au bon développement sensoriel et cognitif de bébé. Le sens du toucher (avec les bisous, les câlins) stimule notamment les hormones du bien-être et de la croissance. Quant à son petit cerveau, il a besoin de vos bras pour développer les bonnes connexions.
Bébé a besoin de ressentir un amour inconditionnel pour qu'il se développe de manière harmonieuse. Nous avons tous besoin d'amour inconditionnel, c'est à dire d'être aimés pour qui nous sommes. Et bébé bien plus que quiconque. Le sentiment de son existence se développe à partir de l'amour qu'il reçoit.
En cas de simple préférence, votre tout-petit peut osciller entre des périodes "Je ne veux que papa" et des périodes "Je ne veux que maman". Il/elle le manifestera d'autant plus que le parent réagira, car c'est souvent ce que l'enfant cherche à faire, consciemment ou inconsciemment.
Effectivement, le syndrome de KiSS est un blocage de la jonction crânio-cervicale, c'est à dire de la première articulation entre la base du crâne et la première vertèbre cervicale. Cette dysfonction articulaire a pour conséquence, une adaptation posturale de l'ensemble du corps.
C'est un besoin naturel et inné chez le nourrisson qui apparaît dès la vie utérine. Sucer son pouce l'aide à se rassurer et à s'apaiser. Dès les premières heures de sa vie, un bébé aura d'ailleurs instinctivement envie de téter sa maman. Mais ce besoin n'est pas qu'alimentaire !
Non, un enfant ne risque pas de « s'habituer aux bras ». Contrairement aux idées reçues, un enfant ne risque pas de « s'habituer aux bras », c'est à dire de réclamer davantage les bras de l'adulte si celui-ci le prend plus souvent dans les bras.
Il reconnaît l'odeur, le lait, la voix, la langue de sa mère et développe des moyens d'action efficaces pour agir sur son monde afin de le transformer selon ses besoins.
Mais durant cette période, qui dure selon les bébés 4-6 mois, sa place est dans vos bras, ou encore mieux en peau à peau, un maximum, tout le temps, et encore plus. On ne s'habitue pas aux bras, on ne devient pas capricieux à 3 mois.
Ils sont souvent hypersensibles, réactifs aux stimuli et aux changements, imprévisibles, exigeants, et ont un grand besoin de contacts physiques. Un BABI peut donc pleurer beaucoup, ressentir un besoin constant d'être dans les bras de ses parents et avoir facilement le sommeil perturbé.