Les infections des voies urinaires sont la cause la plus courante de la fréquence urinaire chez les femmes et les enfants. Un diabète sucré non contrôlé est la cause la plus fréquente de la polyurie. L'hyperplasie bénigne de la prostate est une cause fréquente chez les hommes de plus de 50 ans.
Une envie d'uriner trop fréquente est parfois le signe d'une hyperactivité de la vessie. L'hyperactivité vésicale résulte d'une contraction anormale du muscle de la vessie, dont la cause n'est pas identifiée.
La diurèse normale est d'environ 1,5 L d'urine par 24 h (maximum 2 L), ce qui correspond à 5-7 mictions par jour d'un volume de 200-250 mL. En cas d'hyperactivité vésicale, ce système est déréglé : la vessie se contracte trop souvent, avant qu'elle ne soit pleine.
Uriner trop peu est parfois aussi un signe inquiétant
"Même lorsque la vessie fonctionne mal, les reins continuent à produire de l'urine qui devra être évacuée par la vessie, même si ses signaux ne sont plus aussi précis." S'il arrive qu'on urine moins que la normale, ce phénomène "apparaît progressivement.
Tout le monde émet autant d'urine que ce que l'on boit. C'est la stabilité de la composition du corps. On a une quantité d'urine qui est exactement dépendante du fait d'avoir une quantité d'eau fixe dans l'organisme. Il est impossible d'uriner plus que ce que l'on boit."
La réponse de l'expert. Il est normal de moins uriner quand des oedèmes sont en train de se former. En effet, une partie de l'eau de votre corps va se placer dans ces oedèmes au lieu d'être éliminé par vos reins dans vos urines. Il s'agit d'un déséquilibre peut-être dû à des médicaments ou à une autre cause.
Ne pas pousser : la vidange de la vessie doit se faire en douceur pour ne pas abîmer le périnée ; Vider complètement la vessie : lorsqu'une vessie ne se vide pas complètement, les germes présents dans la région peuvent proliférer et entraîner une infection urinaire.
La vessie est un réservoir dans lequel règne une pression basse. C'est cette faible pression qui permet de ne pas ressentir en permanence le besoin d'uriner. La paroi vésicale est composée d'un muscle appelé détrusor dont les fibres musculaires convergent vers l'urètre.
La dysurie est un terme médical qui désigne des difficultés à uriner. Ce trouble de la miction provoque une diminution du débit urinaire et peut s'accompagner de douleurs. Chez la femme et chez l'homme, la dysurie peut avoir des origines différentes.
Pour les éliminer, optez pour une eau type Contrex, Vittel, Volvic ou Perrier, dont la composition minérale favorise le drainage et la diurèse.
Une personne qui n'urine pas pendant 24 heures n'est pas forcément anurique, car elle peut présenter une rétention urinaire. La véritable anurie correspond à une absence de débit urinaire au niveau des reins. Il s'agit d'une insuffisance rénale aiguë.
Le stress et l'anxiété en cause
Chez les personnes particulièrement stressées ou angoissées, cet état permanent peut conduire à une incontinence, ou la renforcer. Elles présentent en premier lieu un besoin trop fréquent d'uriner.
La présence de gaz (air) dans l'urine est un symptôme rare qui est en général le signe d'une connexion anormale (fistule) entre les voies urinaires et l'intestin, qui normalement contient des gaz.
Le symptôme le plus évocateur du cancer de la vessie est la présence de sang dans les urines ou hématurie, qui peut toutefois être présente dans d'autres maladies. Le cancer est détecté par des analyses d'urine et des examens d'imagerie médicale.
Même phénomène avec certains fruits comme les agrumes et les tomates : en irritant votre vessie, ils vous font multiplier les allers-retours aux toilettes. Exit également l'alcool, le thé, le café, les tisanes, les sodas et la nourriture contenant de l'aspartame… Ils sont eux aussi diurétiques.
Ce trouble de la miction, qui peut être gênant, douloureux (ou pas du tout), se caractérise par une sensation de vidange incomplète et un jet d'urine faible ou saccadé. Autres symptômes possibles : l'urgence d'uriner ou des envies fréquentes, même la nuit.
Un léger rétrécissement de l'urètre entraîne généralement un jet urinaire moins puissant ou un double jet. Les sténoses sévères peuvent obstruer complètement le flux d'urine.
Diminuez votre consommation de thé, café et alcool qui sont diurétiques et en même temps des irritants de la vessie favorisant la pollakiurie. Si vous prenez énormément de boissons, buvez moins et moins souvent. Observez ensuite si vos symptômes s'estompent.
Réduction de la force du jet
En cas d'adénome de prostate (ou hypertrophie bénigne de prostate), le jet d'urine devient nettement plus faible. En effet, à cause de la prostate qui fait obstacle à l'écoulement de l'urine en appuyant sur les parois de l'urètre, le jet est réduit.
S'il existe une obstruction (par exemple des calculs rénaux), l'urine ne peut pas s'écouler librement par la voie urinaire. Les causes non obstructives comprennent un affaiblissement du muscle de la vessie et des problèmes nerveux qui nuisent aux signaux entre le cerveau et la vessie.
Une maladie nommée «hyponatrémie»
Boire trop d'eau ne coupe pas l'appétit, peut entraîner des dommages aux reins et altérer la concentration, rapporte le Daily Mail ce mardi.
« Cependant, il arrive que des jeunes filles connaissent aussi cette situation » due à une forte lubrification vaginale. Les pets vaginaux peuvent concerner n'importe quelle femme en somme. Que faut-il faire ? Ce phénomène est tout à fait naturel et sans danger pour la santé.
Pourtant, si l'on en croit le Pr Clare Collins, spécialiste en nutrition et diététique à l'université de Newcastle (Australie), retenir ses pets serait en réalité une bien mauvaise idée. En effet, essayer de maintenir un gaz intestinal entraîne une accumulation de pression, en plus d'un grand inconfort.