Les endorphines, ou endomorphines, sont libérées par le cerveau, et plus précisément par l'hypothalamus et l'hypophyse dans les situations de stress, qu'il soit psychologique ou physique, mais de façon plus significative pendant et après la pratique du sport, notamment de la course à pied.
Pourquoi un sportif pleure-t-il à la fin d'un match ? Les athlètes contrôlent leur mental et contiennent leurs émotions pendant un match, une course ou une compétition, c'est-à-dire un temps bien précis et intense. A la fin, ils ont besoin d'évacuer ces émotions-là.
L'origine de ce malaise lors d'un effort
Lors d'un effort le nerf vague peut « s'emballer » et trop ralentir le cœur. Celui-ci ne fournit donc plus l'oxygène nécessaire aux muscles et au cerveau. C'est le malaise dit « vagal » par hypotension artérielle.
Selon les chercheurs, trop d'exercice physique pourrait conduire, non seulement à de la fatigue, des troubles du sommeil, des douleurs musculaires, mais aussi à une baisse de nos capacités cérébrales, et de l'impulsivité. Et, peut-être, au développement de burn-out. S'entraîner, c'est bien.
1. La boxe. Selon plusieurs études, la boxe est l'un des sports les plus exigeants physiquement au monde. La boxe nécessite de la force, de la puissance, de l'endurance et la capacité de résister à d'énormes coups sur une longue période de temps.
Des exercices au poids de corps, de la marche, des étirements, de la gym douce, du jogging ou de la natation. Dans ce cas précis, il n'est pas mauvais de faire une activité physique tous les jours au contraire. L'OMS préconise un minimum de 10 000 pas ou 20 minutes d'activité physique par jour.
Courir, nager, faire du vélo… Une activité physique régulière diminue les symptômes des personnes dépressives. Pour beaucoup de patients, ce serait même le traitement le plus efficace et le plus sain.
Le syndrome du cœur d'athlète est un ensemble de modifications anatomiques et fonctionnelles qui touchent le cœur de sujets qui s'entraînent > 1 heure/jour presque tous les jours. Ces modifications sont asymptomatiques; les signes comprennent bradycardie, souffle systolique et bruits cardiaques supplémentaires.
Les personnes en forme arrivent à maintenir une fréquence respiratoire et une fréquence cardiaque plus près de la normale, soit habituellement moins de 20 respirations et moins de 100 battements par minute.»
La création d'endorphines, favorable à l'endormissement
Mais il ne serait pas délirant de dire que le sport, quelque soit l'intensité, provoque une fatigue notable et ainsi favoriserait l'endormissement. Effectivement, la création d'endorphines pendant l'effort aide à dormir.
Oui, l'exercice physique, lorsque trop intense, comporte autant de risques pour la santé que la sédentarité absolue. Au-delà d'une certaine limite, l'exercice peut avoir des effets pervers et entraîner des traumatismes musculo-squelettiques et du stress cardiovasculaire, qui en supplantent les bienfaits.
1. Bien se réhydrater après l'effort. Durant un exercice physique, le corps transpire pour réguler sa température et évacuer les toxines : on parle de détoxication de l'organisme. Pour compenser la perte hydrique, il est nécessaire de boire beaucoup d'eau pendant et après l'effort.
Autres symptômes de bigorexie :
Sentiment de ne plus pouvoir arrêter le sport. Ritualisation de l'entraînement et répétition obsessionnelle des gestes.
Mais comment savoir si l'on bouge suffisamment ? Le ministère chargé de la santé préconise "de pratiquer l'équivalent d'au moins 30 minutes de marche rapide par jour au minimum 5 fois par semaine pour les adultes et l'équivalent d'au moins 60 minutes par jour pour les enfants et les adolescents".
Le sportif, quant à lui, est plus préoccupé par sa santé, son bien-être, sa condition et son apparence physique que par d'éventuels objectifs de performance, d'endurance ou de force qu'il pourrait se fixer.
La régularité : la clé de la réussite pour obtenir des résultats et atteindre ses objectifs. Nous conseillons au minimum 2-3 séances de sport par semaine, avec si possible un jour de récupération entre les séances. Privilégiez plusieurs séances courtes et intenses de 20-30 minutes qu'une séance d'1 heure et demie.
Le cœur apprécie tout particulièrement les activités physiques dites d'endurance, dont les trois principales sont la natation, la course et le vélo. Ces sports sont de moyenne intensité : entre 60 et 70 % du maximum que l'on peut fournir.
Pour le vérifier des cardiologues, proposent un test qui prend moins de deux minutes et qui ne nécessite pas d'autre matériel qu'un escalier. Comment faire ? Lancez un chronomètre et tentez de monter quatre étages : si vous mettez moins d'une minute, cela signifie que votre cœur est en bonne santé.
Le cortisol est produit par la glande surrénale (qui se trouve au niveau des reins), avec des pics de sécrétion en réponse au stress, à la peur ou la colère. En outre, le niveau de cortisol subit des fluctuations au cours de la journée avec un pic le matin après le réveil.
L'anxiété est une émotion désagréable qui combine des symptômes physiques (le cœur bat vite et fort, la respiration semble difficile, présence de sueurs, tremblements, étourdissements ou de mains moites, corps crispé, muscles tendus) et des pensées anxieuses (inquiétudes, ruminations, obsessions, doutes, craintes).
Voici le top 10 des sports féminins : gymnastique, équitation, randonnée pédestre, natation, volley ball, badmington, basket ball, athlétisme, ski, handball.
Le football améliore les performances musculaires.
L'étude a révélé respectivement 27 %, 15 %, 47 % et 28 % de réduction du risque de décès prématuré chez ceux qui pratiquent l'aérobic, le cyclisme, un sport de raquette ou la natation.
Une séance de musculation à jeun peut aider à perdre du gras, mais pas à gagner du muscle. Pour cela, vous devez avoir les sources de nutriments, et notamment de protéines suffisantes au moment d'aller à la salle. Il y a aussi un risque de déshydratation si vous n'avez pas bu correctement ou suffisamment.