Les causes ne sont pas toujours faciles à identifier : il peut s'agir de piqûres d'insectes, de verrues, d'une dermatite (= inflammation de la peau), de maladies infectieuses comme la varicelle ou encore d'eczéma ou de réaction allergique. Plusieurs maladies systémiques peuvent aussi causer des papules.
Urticaire. Les boutons d'urticaire apparaissent sous formes de plaques gonflées (papules), similaires à celles causées par les orties. Dans sa forme aiguë, l'urticaire est souvent d'origine allergique.
Il est possible d'obtenir une diminution plus qu'une disparition complète des papules perlées, en des détruisant par la chaleur (bistouri électrique ou laser), ou par le froid (azote liquide). Elles peuvent cependant récidiver après le traitement.
Petite éminence cutanée qui se dessèche sans laisser de cicatrices et se rencontre dans de nombreuses dermatoses (urticaire, lichen, syphilis secondaire, etc.).
Quels types de boutons ? En réaction au stress, la production de sébum peut être modifiée : Si elle augmente : les pores de la peau se bouchent, et des boutons d'acné apparaissent, ce sont des boutons de stress. Si elle diminue : la peau devient sèche, des rougeurs et des tiraillements apparaissent.
Définition : Eléments cutanés inflammatoires caractérisés par un gonflement à la consistance solide, c'est-à-dire ne renfermant ni liquide ni pus, de petite dimension (taille de 1 à 4 mm) et de couleur rose à rouge. Par contre, elles peuvent être rondes, ovales ou de forme plus irrégulière, et sont parfois douloureux.
Les deux principales sont : des éruptions maculo-papuleuses, c'est-à-dire des boutons ou des plaques rouges répartis sur l'ensemble du corps, avec une prédominance sur le haut du corps ; des urticaires qui se présentent comme des des piqûres d'orties et forment de petites papules disséminés sur le corps.
Elle se manifeste par des nodules (formations cutanées arrondies et saillantes) douloureux, et des abcès (amas de pus collecté dans une cavité). Elle évolue vers des écoulements de pus, des fistules (canal d'où s'écoule un liquide) et une cicatrisation en relief (cicatrisation hypertrophique).
Un petit bouton qui persiste, une rougeur qui ne passe pas ou encore une croûte qui ne cicatrise jamais, ce sont peut-être les premiers signes d'un carcinome de la peau. Il s'agit d'un cancer, le plus fréquent des cancers cutanés. Mais plus ils sont détectés tôt, plus le traitement sera simple.
Parmi les causes potentielles de démangeaisons, citons : les éruptions cutanées, comme l'eczéma, le psoriasis, la varicelle, l'urticaire ou celles causées par la gale. Ces démangeaisons sont localisées et s'accompagnent de rougeurs, de petits boutons ou de cloques.
La meilleur solution est actuellement la destruction par laser CO2 sous anesthésie de contact (crème anesthésiante) plus ou moins associé à une anesthésie locale. Une à deux séances sont nécessaires. Les suites sont simples, courtes, et peu douloureuses.
La folliculite est une affection cutanée bénigne courante dans laquelle les follicules pileux s'enflamment. Les follicules pileux sont de minuscules poches situées dans la peau à partir desquelles les poils et les cheveux poussent.
Quel que soit l'âge, les causes sont les mêmes : ils se forment principalement à la suite d'une augmentation de la production de sébum (ou hyperséborrhée). Le sébum est une substance huileuse que la peau produit naturellement afin de se protéger du froid ou du soleil.
L'urticaire compliquant le COVID se présente comme une urticaire classique : papules érythémateuses et œdémateuses, prurigineuses, fugaces et migratrices. Elles peuvent toucher tout le tégument. La localisation palmo-plantaire peut avoir une présentation atypique, parfois profonde.
Si les démangeaisons ont déjà été évoquées comme symptôme possible d'un lymphome de Hodgkin, le cas de Jade Baldwin montre toutefois qu'un patient qui souffre de démangeaisons, notamment au niveau des jambes, peut être atteint de ce cancer, et ce même si ses ganglions présentent une taille normale.
Ils peut se développer sur des zones préalablement sans taches, mais dans environ 30 % des cas il se développe sur une zone où il y a des nævi (grains de beauté). Les symptômes comme des démangeaisons ou un saignement de la lésion peuvent être des signes de mélanome malin.
La Sclérose Latérale Amyotrophique (SLA) ou maladie de Charcot est la plus fréquente des maladies du neurone moteur. Elle se caractérise par une perte progressive des neurones moteurs du cerveau et de la moelle.
Elle se caractérise par une inflammation de l'aorte et des ses branches en particulier de l'artère carotide externe et de l'artère temporale qui peut aboutir à l'occlusion des artères atteintes. Le facteur âge est important.
La maladie de Fabry est une maladie de surcharge lysosomale due à un déficit en alpha-galactosidase A, de transmission liée au chromosome X. L'alpha-galactosidase A clive le globotriaosylcéramide (Gb3 ou GL-3) en lactosylcéramide et galactose.
Quand et qui consulter ? Si l'éruption cutanée est étendue, brutale et/ou associée à d'autres signes inhabituelles comme une fièvre, une altération de l'état général, la spécialiste conseille de consulter rapidement son médecin généraliste ou un dermatologue si aucune cause n'est trouvée.
Quand faut-il s'en inquiéter ? L'urticaire, en soi, n'est pas dangereuse et les plaques disparaissent spontanément en quelques heures dans la plupart des cas. Cependant, si l'éruption persiste ou se répète, vous devez consulter un médecin.
Pour commencer, c'est la nuit que les poussées d'urticaire sont souvent les plus violentes – ce qui peut être dû à une baisse naturelle de la production d'une hormone appelée cortisol, qui normalement atténue la réponse immunitaire.