Avant la puberté, un fin duvet est présent au niveau des parties génitales. Lors de la puberté, la sécrétion d'androgènes entraîne la croissance de poils plus longs et plus épais. Les poils pubiens ont alors une densité élevée de 20 par cm (2) et une vitesse de pousse allant jusqu'à 0,4 mm par jour.
Elle est généralement due à une production excessive d'hormones mâles (les androgènes comme la testostérone ) ou à une sensibilité augmentée de la peau à des taux normaux d'androgènes.
Deux pathologies peuvent conduire à une pilosité excessive et particulièrement disgracieuse : l'hypertrichose, souvent héréditaire, qui se caractérise par la pousse d'un duvet de poils en excès dans les zones déjà poilues ordinairement. Et l'hirsutisme dont souffrent "les femmes à barbe".
L'épilation des poils pubiens est associée à un risque plus élevé de transmission d'infections sexuellement transmissibles (IST), telles que gonorrhées, herpès, chlamydia ou syphilis. Le risque augmente encore plus chez les adeptes des épilations intégrales et très fréquentes.
Malheureusement, l'épilation et le rasage du pubis peuvent constituer un risque important de micro-blessures, qui de par leur emplacement, peuvent entraîner une infection et/ou transmettre des IST (infections sexuellement transmissibles) comme la chlamydia, la gonorrhée et les infections à papillomavirus (HPV).
La part des femmes pratiquant l'épilation pubienne intégrale a grimpé de 14 à 24 %. D'après l'enquête relayée par Le Parisien ce mercredi 3 février, les participantes de moins de 25 ans étaient les plus fréquemment séduites par ce choix.
On trouve ces poils plus précisément au niveau de ce qu'on appelle la marge anale et plus largement, toute cette zone entre les deux fesses qui trace une sorte de ligne et qui est appelée le sillon interfessier, le "sif" pour les intimes. C'est une partie du corps qui peut être très fournie en poils.
Enfin, sous l'effet du stress, une stimulation hormonale peut aussi provoquer la pousse soudaine de poils.
A l'adolescence, le corps fabrique des hormones sexuelles : les androgènes. Ce sont elles qui vont stimuler la pousse des poils. L'âge moyen du développement de la pilosité oscille entre 10 et 14 ans. La pilosité définitive dite adulte est atteinte vers 14 ou 15 ans.
Noix du Brésil, levure de bière, œufs, poisson, etc., certains aliments favorisent la production d'hormones responsables de la pousse des poils.
La seule méthode réellement efficace pour supprimer définitivement sa pilosité, c'est l'épilation définitive. En effet, tu ne peux pas empêcher ton poil de repousser avec les autres techniques : le rasage, l'épilateur électrique ou l'épilation à la cire coupe ou arrache le poil à la racine, mais sans détruire le bulbe.
Poils du pubis : ils jouent un rôle dans l'attirance sexuelle en retenant les phéromones, limitent le risque de sécheresse vaginale, protègent les muqueuses génitales contre les infections.
Glabre signifie « sans poils » (et non « pâle, sans couleur »). Un visage glabre, sans barbe, rasé.
Le sport ne permet pas seulement d'être beau, viril et en bonne santé. En effet, cette activité à faire au quotidien permet également une amélioration considérable de la circulation sanguine. Ceci favorise la pousse des poils, donc de la barbe.
Une seule hormone, la testostérone, est impliquée dans le contrôle et la répartition des poils. Son action intervient à la puberté et se combine avec la vitamine D et des hormones thyroïdiennes pour accélérer la croissance des poils.
Le sif, c'est le sillon inter-fessier. C'est ce qu'on appelle communément la raie des fesses ! Et aujourd'hui, hommes et femmes sont de plus en plus adeptes de l'épilation du sif. Car oui, nous avons tous des poils au niveau de la raie.
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Chez les femmes, la pilosité au niveau des aréoles des seins est plus fréquente que ce que l'on pourrait croire. La présence de poils dans cette zone est généralement due à un léger déséquilibre hormonal (pilule mal dosée, kyste aux ovaires, cycles anormaux, stress…) ou à l'hérédité génétique familiale.
Les résultats d'une étude demandée par l'entreprise de produits d'épilation Nad's révèlent que les hommes préfèrent les épilations classiques. En effet, sur 1000 hommes sondés, 43% ont avoué préférer les maillots féminins naturels comme le "triangle des bermudes" (bien taillé sur les côtés et en hauteur).
Le nombre de femmes qui ne s'épilent pas le pubis a doublé en moins de dix ans. La pratique du "No Shave" a doublé en huit ans, passant de 15 % des femmes en 2013 à 28 % en 2021, selon une étude de l'Ifop.
D'un point de vue sanitaire, l'épilation intégrale du maillot est peu recommandée par les médecins. En cela que les poils, particulièrement dans des zones sensibles aux germes, sont une barrière de protection naturelle. Cependant, une hygiène intime sérieuse limite les risques.
4/ Ils se renouvellent régulièrement
Après l'étape de croissance, les poils pubiens cessent de pousser à une certaine longueur (généralement entre 4 et 9 centimètres).