L'humidification de l'O2 est habituellement recommandée pour des débits supérieurs à 3-6 l/min afin d'éviter des complications au niveau des muqueuses nasales et respiratoires et le dessèchement des sécrétions bronchiques.
L'humidification est conseillée dans le cas d'un débit supérieur à 2 Litres/min. Il s'adapte sur les 3 sources d'oxygènes. L'eau contenue dans l'appareil doit être stérile, distillée à usage humain ou bouillie puis refroidie.
Utiliser des réservoirs d'eau stérile prêts à l'emploi à UU, sinon remplir le réservoir avec un flaconnage adapté, ne pas se servir de l'eau du robinet. Remplir le réservoir humidificateur (barboteur), celui-ci sera désinfecté une fois par jour. Remplir le réservoir d'eau stérile jusqu'à sa limite maximum.
L'air enrichi en sel humidifie la muqueuse, les mucosités épaisses peuvent se dissoudre et, grâce à une expectoration productive, être évacuées des voies respiratoires. Un principe d'action que l'on retrouve également dans le traitement par inhalation moderne.
– un débitmètre qui permet de régler le volume d'oxygène délivré chaque minute. Il se règle de 0 à 15 L/min. Le temps d'administration possible de l'oxygène est égal à la pression affichée (P) multipliée par le volume de la bouteille (V) divisé par le débit indiqué sur le débitmètre (Q).
La prescription d'oxygène représente la troisième étape. Le débit à prescrire doit permettre d'obtenir au minimum une PaO2 > 8,0 kPa (60 mmHg) au repos (8,7 kPa selon la Société suisse de pneumologie). Ce débit devrait être titré à l'effort (test de marche) et pendant le sommeil (oxymétrie nocturne).
L'oxygénothérapie à bas débit consiste à une oxygénation comprise entre 1-10 litres/min (24-60% O2). Elle s'effectue à tous les niveaux de prise en charge y compris en chambre d'hospitalisation.
Inspirez profondément par le nez. Toussez deux fois, la bouche légèrement entrouverte. La première fois, pour faire décoller les sécrétions ; la seconde fois, pour faire monter les sécrétions dans votre gorge. Crachez les sécrétions dans un mouchoir.
Si l'air de votre chambre est trop sec, favorisez l'utilisation d'un humidificateur d'air, qui permet de retrouver un taux d'humidité idéal situé entre 40% et 60% Munissez-vous d'un bon matelas, car il est toujours préférable de se réveiller sans mal de dos.
Respirez lentement et profondément par le nez deux fois de suite. Etape suivante : inspirez profondément par le nez en gonflant votre ventre autant que possible puis expirez d'un seul coup par le nez. Allez-y « franchement », comme si vous vous mouchez, en contractant au maximum votre ventre !
Tout contact de l'O2 avec un corps gras doit être prohibé : vaseline, crèmes grasses sur le visage : risque de s'enflammer.
En bref, un humidificateur d'air a pour but de re-humidifier l'air. Quand le niveau d'humidité est bas, l'air devient sec, ce qui peut assécher et irriter la peau et les yeux. Quand le taux est rétabli à un pourcentage correct, l'air est moins inconfortable.
Des fissures apparaissent sur les meubles en bois ou sur le parquet. L'air sec assèche les planchers et les meubles et les déforme. De plus, ce taux d'humidité faible peut causer des fissurations. En outre, les cadres des fenêtres et portes en bois rétrécissent quand ils sont exposés à un air trop sec.
Moucher, cracher et laver le nez
Le maître-mot, c'est l'évacuation. Les médicaments fluidifiants vendus en pharmacie peuvent aider à évacuer les glaires. La prise de soufre sous forme de sirop ou de comprimés favorise la protection et la restauration des muqueuses.
Des glaires en quantité importante dans le nez et la gorge et qui durent dans le temps peuvent aussi cacher une sinusite chronique. Dans la majorité des cas, elles ont une couleur jaunâtre-verdâtre mais parfois, elles restent transparentes. Seul un scanner des sinus peut alors confirmer la sinusite chronique.
Il est situé dans la partie supérieure de ce qu'on appelle le « sillon naso-génien ». Pour stimuler ces points, il suffit de les presser fermement ou de masser la zone de façon circulaire pendant 1 à 2 minutes. Si vous n'avez qu'un seul côté congestionné, vous pouvez ne stimuler que ce côté.
Le stimulus hypoxique serait donc prépondérant chez ces patients. L'apport d'oxygène, en corrigeant cette hypoxie, pourrait alors entraîner une dépression de la commande ven- tilatoire, et ainsi une hypoventilation alvéolaire.
Elle est normale entre 95 et 100% et est insuffisante en dessous de 95%.
La saturation en oxygène normale pour une personne en bonne santé est comprise entre 95% et 100% en fonction de l'âge. SpO2 (Saturation pulsée mesurée avec un oxymètre de pouls). Elle est insuffisante en dessous de 95%.