Ce mot, qui a une origine germanique, est apparenté au mot anglais waffle , à l'allemand Waffel et au néerlandais wafel . À l'origine, il désignait le gâteau de miel confectionné dans la ruche par les abeilles. C'est par analogie de forme qu'il a ensuite désigné le gâteau mince cuit dans un moule… alvéolé.
Un seul f, ainsi que dans les dérivés gaufrer, gaufrette et gaufrier.
On écrit ff
Le double f, pour sa part, se rencontre souvent à la limite entre un préfixe et un radical, même lorsque la fabrication du mot remonte au latin : diffusion, suffire, effeuiller, affolement, offensif, et cetera.
L'absence ; ailleurs ; apercevoir ; au cours de ; avoir affaire à. Bouleverser. Un cauchemar ; un champ lexical ; une colonne mais une colline; certes ; ils croient.
− Priver de discernement, de lucidité, d'une manière obsédante. Obnubiler l'esprit, la pensée, le raisonnement.
En général, quand une voyelle commence un mot composé, on double la consonne qui suit lorsqu'après cette consonne il y a une voyelle. Enfin, on doit doubler la consonne dans la formation des temps des verbes, quand ce doublement a lieu à leur racine, qui est l'infinitif.
Pourquoi le son (f) s'écrit-il ph ? Cette écriture traduit l'origine grecque du mot : ph transcrit la lettre grecque ? (phi majuscule) ? (phi minuscule). De même pharmacie (pharmacy en anglais) mais farmacia en italien, espagnol, catalan, galicien, portugais, corse et farmacie en roumain.
Prenons tout d'abord le terme «gaufre». Le terme se retrouve souvent orthographié avec deux «f». Mais que l'on excuse ses fauteurs. Le mot aux origines obscures (peut-être de l'ancien bas francique wafla plutôt que du moyen néerlandais wafele) fut un temps écrit «gauffre».
On estime que l'origine de la gaufre de Liège remonte du 18ᵉ siècle ! Cependant, bien que les premières formes de gaufres soient apparu il y a des millénaires, c'est à partir du 14ᵉ siècle que des forgerons ont pu créer un moule directement inspiré des rayons de miel fabriqué par les abeilles.
GAUFRÉ : Définition de GAUFRÉ
Cette expression date du XIXe siècle. À l'origine au XVIIIe siècle, certaines personnes faisaient des erreurs de liaisons avec le mot pas, le son « pas-t-à » revenait souvent à l'oreille. Ainsi pour désigner ce genre de bourde on utilisa le mot pataquès.
Aujourd'hui, les dictionnaires signalent les deux graphies en entrée, mais le Petit Robert (2016) donne « clé » dans tous ses exemples. Certains préfèrent écrire « clef » par coquetterie étymologique. Et puis, en musique, on peut préférer « clef » dont le f » final, en calligraphie, peut faire penser à la clef de sol.
Depuis l'uniformisation de l'écriture par Charlemagne et l'apparition de la caroline ou minuscule carolingienne, on n'utilisait que le « s long », qu'un lecteur peut confondre avec un « f ». Plus tard est apparu le « s » final ou « s rond », d'abord utilisé exclusivement en fin de mot.
Ainsi, le « ph » de « pharmacie » sera remplacé par un « f » pour donner « farmacie » . La pharmacie au nom prédestinée a su garder son ph mais el amal à la tête rien qu'à l'idée de voir qu'on veut l'en priver! La langue française avec les "ph" en sursis et avec la lecture inclusive à venir, el amal...
Sans surprise, la graphie traditionnelle nénuphar s'impose haut la main avec 91 % des suffrages, la nouvelle orthographe nénufar (étymologiquement correcte, car issue du persan nilufar) n'obtenant que 9 %.
Pourquoi écrit-on « -eau » ? À cause de l'évolution phonétique : la première forme du suffixe en français était « -el ». La consonne « l » s'est vocalisée, donnant naissance à une diphtongue « au ». Puis cette diphtongue s'est réduite au son « o » et « eau » est resté, comme témoin de l'histoire.
baccalauréat, raccroc, saccharose, succès, succinct, etc., mais bâcler, bactérie, raconter, sacoche, sucre, etc.
Exemples : J'ai mangé une pizza - "une pizza" est le COD, qui est placé après le verbe (mangé), donc pas d'accord. La pizza, je l'ai mangée - Le COD est placé devant le verbe. Il y a donc un accord.
Lorsque l'on souhaite dire que quelque chose va arriver« à coup sûr », on écrira « sans faute » au singulier. L'astuce sera ici de remplacer par la formule « impérativement » ou encore par « à coup sûr ». On exprime ici une certitude.
Nom commun - français. (Linguistique) Jeu de mots consistant à faire des liaisons erronées, par dérision, par hypercorrection. « J'y vais moi-z-aussi », « Mais que voilà une liaison mal-t-à propos ! », « Donne-moi-z'en ! » sont des pataquès.