Le forage permet d'obtenir un débit d'eau beaucoup plus important car on va chercher celle-ci en profondeur.
Un forage pour des particuliers est un projet qui peut impressionner mais qui reste financièrement très intéressant. Qu'il s'agisse d'arroser un petit jardin, une étendue plus vaste ou de répondre aux besoins en eau sanitaire d'une famille, le forage est une solution pratique, économique et écologique.
Est-il obligatoire de réaliser une étude de sol avant de vendre un terrain à bâtir ? Vous êtes propriétaire d'un terrain constructible que vous souhaitez mettre en vente. Depuis le 1er janvier 2020, avant la vente d'un terrain, la loi ELAN impose au vendeur de fournir une étude géotechnique préalable.
Depuis août 2020, la loi ELAN rend obligatoire une nouvelle étude géotechnique préalable en cas d'achat d'un terrain à bâtir ou d'extension d'une maison. Cette étude de sol, fournie par le vendeur, a pour but de sécuriser la vente de terrains constructibles et la construction de bâtiment.
Le prix d'une étude de sol avant construction d'une maison est compris en moyenne entre 800 € et 2 000 €. Le coût de l'étude de sol obligatoire réalisée dans le cadre de la loi ELAN (zone à risque lié à la sécheresse et à la réhydratation des sols) est à la charge du vendeur.
Prix d'une étude géotechnique du sol Si nécessaire, une étude géotechnique est réalisée dans le but de rendre les fondations plus aptes à supporter les futurs travaux. Le prix d'une étude de rez-de-chaussée pour les fondations est estimé entre 5 000 € et 15 000 €.
Le prix moyen d'une mission G1 oscille entre 500 et 2 500 €.
Qui règle la note ? C'est au propriétaire du terrain, qu'il s'agisse d'un particulier, d'un lotisseur ou d'un promoteur immobilier, d'entreprendre les démarches de viabilisation. Il doit aussi prendre en charge le coût des travaux et coordonner la réalisation de ceux-ci lorsqu'ils font intervenir plusieurs entreprises.
Réaliser une étude de sol avant la construction vous permet de garantir la pérennité de votre future maison ou ouvrage. Elle définit les caractéristiques géologiques d'un terrain et, de ce fait, elle prévient des principaux risques géotechniques pouvant se produire.
Le prix d'un forage est de 83€/ml en moyenne, avec une fourchette comprise entre 50€ et 160€/ml tout compris. Le tarif d'un forage peut aller de 50€ à 100€/ml pour un forage sur nappe phréatique, tandis que celui d'un puits traditionnel peut aller de 50€ à 160€.
Un particulier, après l'installation d'un compteur sur un puits, devrait donc théoriquement s'acquitter de 0,34 € par mètre cube rejeté dans le réseau public, plus la somme due à la mairie pour son assainissement. Pour un total d'1,34€, sans compter une possible taxation sur le simple prélèvement de l'eau.
Un puits traditionnel sera de faible profondeur (7 à 8 m) et collecte seulement les eaux de surface. Pour un usage important dans toute la maison, il faut choisir le puits foré au débit plus conséquent.
L'observation attentive de votre environnement peut parfois suffire pour vous en assurer. Une infiltration dans la cave, la présence de cours d'eau à proximité de votre habitation ou des voisins ayant eux-mêmes installé un puits vous apportera confirmation de la présence d'eau souterraine.
Un puits est généralement construit par un puisatier et ne nécessitera pas de creuser plus profond que 20 mètres, alors qu'un forage pourra parfois excéder 80 mètres. Les matériaux sont également différents, un forage nécessitera en effet une tête de forage étanche, des tubes en PVC et parfois une pompe.
Cette mesure s'effectue grâce à des dispositifs appelés piézomètres. Ce sont des forages réalisés depuis la surface, à l'intérieur desquels la profondeur de la nappe peut se mesurer (par exemple à l'aide d'un flotteur).
L'initiative de la viabilisation du terrain dépend uniquement du propriétaire et ne peut pas être imposée par la mairie mais elle reste obligatoire pour y bâtir une maison ou un immeuble.
Vous pouvez parfaitement vendre votre terrain au prix que vous souhaitez. Cependant, pour trouver un acquéreur et en tirer profit, une estimation est indispensable. Cela afin que le prix de vente de votre terrain ne soit ni inférieur ni supérieur à celui du marché.
La principale différence entre la constructibilité et la viabilité est : la première concerne la faculté du terrain à recevoir des travaux de construction alors que la seconde a trait sur l'habitabilité du futur logement.
L'étude géotechnique préalable (G1) ne comprend pas d'ébauche dimensionnelle et est insuffisante pour qualifier un projet. Elle nécessite d'être approfondie par une étude géotechnique de conception (G2) pour assurer la définition d'un projet et en maîtriser tous les risques.
La durée de validité de l'étude de sol
La durée de validité de l'étude géotechnique est de trente ans si aucun remaniement du sol n'a été effectué.
L'étude de sol G2 est obligatoire dans le cas où vous prévoyez de construire sur une zone sismique, ou si vous envisagez une zone réputée pour être argileuse.
L'étude géotechnique est actuellement obligatoire si le terrain est situé dans une zone à risque, notamment si elle est couverte par un plan de prévention des risques (submersion, risques littoraux, séisme…). Cette étude peut ainsi être indispensable pour l'obtention d'un permis de construire.
Contrairement aux détecteurs de métaux qui peuvent sonder la terre sous plusieurs dizaines de centimètres, le Georadar peut sonder le sol sur plusieurs mètres de profondeur. Pour pouvoir fonctionner, le georadar transmet à travers le sol des ondes électromagnétiques grâce à une antenne émettrice.