- le poids du skieur : il détermine le réglage DIN c'est-à-dire la puissance de déclenchement de la fixation, - la longueur de la semelle de la chaussure (gravée sur le talon), - le niveau du skieur, - la pratique : elle détermine la position de la fixation sur le ski.
Si vous tombez sur une case vide du tableau, prendre le chiffre le plus proche sur la même ligne, sauf pour les skieurs de plus de 94 kg, dans ce cas il faut prendre la valeur la plus proche dans la colonne de pointure.
Un ski plus court sera en effet plus maniable, plus facile à contrôler, mais en contrepartie un peu moins stable à grande vitesse. – Si vous êtes un skieur intermédiaire confirmé, choisissez un ski qui mesure entre 5 et 10 cm de moins que votre taille.
Le poids est lié au type de structure (noyau et composants). Les skis de courses dépassent les 7kg. Ils sont lourds parce que leur structure doit permettre de limiter les torsions longitudinales qui sont très importantes.
L'exercice : Sur une pente faible (piste verte ou bleue), essayez de lever le ski intérieur tout au long du virage : si vous y parvenez, c'est que vous avez un bon appui sur le pied extérieur. Essayez ensuite de lever uniquement l'arrière du ski, pour travailler sur le centrage et la flexion.
L'élongation survient quand un muscle est sollicité un peu trop violemment (le plus souvent la cuisse ou le mollet) et qu'il dépasse ses possibilités normales d'élasticité. Modérée, la douleur disparaît au repos et revient dès que l'on reprend l'exercice.
Pour initier un virage parallèle basique faites une traversée, le buste tourné vers la pente (anticipation). Pliez les genoux, plantez le bâton et appuyez sur le ski amont pour le faire pivoter dans la pente en maintenant la pression.
Vos orteils doivent normalement venir toucher le bout de votre chaussure. C'est normal car vous n'êtes pas encore en flexion sur l'avant. Ensuite pour le serrage nous vous conseillons de commencer par le strap puis serrez, sans forcer, les crochets du bas vers le haut.
Pour verrouiller la fixation, il suffit de clipser à nouveau la languette. Donc vous avez régler la bonne longueur pour entrer facilement l'avant de votre chaussure dans la fixation et votre talon dans la talonnière.
Choisir sa fixation de ski all-mountain piste
Le choix d'une fixation all-mountain dépend de plusieurs critères : La compatibilité avec les semelles de vos chaussures de ski alpin : toutes les chaussures à la norme ISO 5355 (norme alpine) sont compatibles avec les fixations alpines à mâchoires ISO 9462.
Prenez des skis d'environ 10 à 15cm de moins que votre taille, lorsque vous désirez faire des virages courts et seulement quelques centimètres de moins que vôtre taille pour des courbes plus grandes et gagner en vitesse et en précision.
2 - La valeur DIN
C'est le point de réglage d'une fixation de ski le plus délicat à évaluer. La valeur DIN correspond à la valeur de déclenchement. Les fixations de ski présentent différentes plages de dureté : 3-10, 4-12 ou 6-14.
Prenez un de vos bâtons et appuyez sur la fixation arrière pour l'abaisser et ainsi libérer votre pied de la fixation.Si vous n'êtes pas à l'aise avec cette méthode, vous pouvez toujours vous accroupir et le faire à la main mais certaines fixations sont dures à baisser avec cette dernière méthode.
C'est ce qu'on appelle le réglage DIN, ou valeur de déclenchement qui va dépendre de différents paramètres ; il suffit de régler la talonnière et la butée à la valeur désirée et vous voilà avec une fixation parfaitement réglée.
Le bon réflexe serait d'offrir à vos spatules un affûtage-fartage à chaque vacances, ou dès que nécessaire si vous êtes un skieur plus régulier (c'est-à-dire quand vous sentez que les carres accrochent moins bien ou que la semelle colle à la neige).
Nous conseillons toujours des skis courts aux skieurs débutants : ils sont plus maniables, ils « tournent » plus facilement grâce au léger rocker* spatule* et ils assurent une excellente stabilité. Aux amoureux des grandes courbes, nous conseillons d'opter pour des skis légèrement plus longs.
Cette douleur au niveau du tibia intervient lorsque la languette de votre botte forme un angle d'inclinaison différent de celui de votre jambe, lorsque l'espace entre les deux est donc trop grand.
Des douleurs au niveau de la malléole sont souvent le signe d'un volume trop important de votre chaussure de ski au niveau de la cheville. Vous pouvez mettre une chaussette plus épaisse qui règlera bien souvent ce petit problème. Sinon, il est peut-être temps de revoir le réglage de vos chaussures.
C'est très simple : en position chasse-neige, regardez loin devant, déclenchez votre virage et transférez le poids de votre corps sur le ski extérieur, en restant bien face à vos skis. Tout naturellement les skis vont pivoter dans la direction où vous souhaitez aller.
Prendre de la vitesse, faire un beau tracé, voilà le but que se fixe chaque skieur pour découvrir les sensations de glisse. Sentir le ski travailler sur la carre, sans dérapage, et prendre de l'angle tout en étant solide, le début des sensations fortes !
Comment bien utiliser les tire-fesses :
Utilisez votre autre main pour agripper et placer le téléski. Ne vous asseyez pas sur le tire-fesse et restez plutôt debout tout en vous laissant tirer. Restez en équilibre pendant le trajet et ne vous penchez sous aucun prétexte.