De nombreuses femmes ont arrêté de porter des culottes et l'assument pleinement : “Être sans culotte, c'est ça la vraie liberté !”. Pour celles qui ont passé le cap, elles confient qu'elles sont beaucoup moins sujettes aux mycoses vaginales et autres irritations.
Selon une enquête récente menée par The Derm Review, 21% des femmes ne changent pas de culotte tous les jours. L'étude, réalisée auprès de plus de 1000 femmes, révèle qu'une femme sur dix admet porter la même culotte pendant au moins trois jours consécutifs.
"Si on ne porte pas de culotte et qu'on a des colibacilles pathogènes, on peut les propager sur les sièges de transports en communs (ou ailleurs, ndlr) et quand d'autres gens vont y mettre leurs mains puis les apporter à la bouche, ils vont contracter des gastro-entérites", alerte la gynécologue.
Dormir sans culotte ou dormir sans sous-vêtement peut améliorer la santé de vos organes sexuels. Cela se produit parce que nos zones intimes ont besoin de plus d'air frais afin de favoriser une meilleure santé de ces zones.
Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles les femmes préfèrent porter des culottes, mais la raison principale est de protéger leur partie intime.
Il désignait déjà bien avant la fin du XVIIIe siècle les hommes qui portaient seulement un pantalon, et non l'habit constitué d'une culotte courte et de bas de soie. Les “Sans-culottes” étaient donc les petits commerçants, les artisans, les ouvriers et les paysans.
L'homme dirigeant le ménage et étant en partie vêtu d'une culotte, porter la culotte s'est donc très naturellement dit de celui qui avait l'autorité dans le couple.
La dopamine : lorsque vous satisfaisez un besoin naturel de votre corps comme un désir sexuel, la dopamine vous apporte un sentiment de bien-être. La mélatonine : produite lors d'un rapport, cette hormone nous endort. La prolactine : participe à la sensation de plaisir et de bien-être après un orgasme.
b) Les risques pour vous, Messieurs. De votre côté Messieurs, on va principalement parler des risques de porter un slip (ou un boxer). D'après certaines études scientifiques, porter des sous-vêtements la nuit réduirait la qualité du sperme et par conséquent augmenterait l'infertilité chez les hommes.
On dit, dans le langage populaire, qu'une femme «porte la culotte» pour signifier qu'elle exerce une forte autorité sur son compagnon. Une expression qui ne fait pas référence au sous-vêtement féminin que l'on connaît aujourd'hui, mais à un vêtement porté par les hommes au XVIIIe siècle.
Ils ne portent pas la culotte (pantalon qui s'arrête au genou) et les bas de soie (réservés à la noblesse et la bourgeoisie) mais une veste courte à gros boutons (la Carmagnole) ou un gilet, se coiffent d'un bonnet rouge (bonnet phrygien) en souvenir des esclaves libérés et marchent en sabots.
Il s'agit en quelque sorte d'un système d'auto-nettoyage. Les pertes jouent en vrai rôle puisqu'elles équilibrent la flore vaginale. Elles la protègent des infections, on dit d'ailleurs qu'elles sont "physiologiques", c'est-à-dire tout à fait normales. Elles permettent également de lubrifier le vagin.
Cela peut paraître évident mais le spécialiste insiste : « Il faut absolument changer de sous-vêtements tous les jours ! » Les culottes, les caleçons et les chaussettes sont en contact direct avec la peau. Pas question de les remettre une journée de plus sinon il y a un risque d'infection.
La tendance apparue dans certains mouvements féministes dès les années 60 se répand depuis 2020 sur les réseaux sociaux, sous le #NoBra notamment. Les femmes affichent haut et fort ne plus vouloir s'embêter avec ce sous-vêtement inconfortable et répondant à une exigence de normer corps et poitrines.
Réalisée entre le 27 septembre et le 3 octobre 2011 auprès de 873 femmes âgées de plus de 15 ans et ayant acheté de la lingerie féminine au cours des douze derniers mois, l'étude révèle l'abandon du string par les Françaises. Celui-ci n'est plus porté que par 25% des Françaises (contre 30% trois ans plus tôt).
Le mot culotte désigne, au 18e siècle, un vêtement masculin descendant aux genoux et porté avec des bas. A partir du 19e siècle, il désigne un sous-vêtement, en même temps que le mot caleçon, porté par les hommes comme par les femmes.
Oubliez le combo T-shirt + petite culotte, et optez plutôt pour un ensemble de pyjama en coton. Cela peut être un short avec son débardeur ou un pantalon de pyjama et son T-shirt assorti. Pour les séductrices, choisissez une belle nuisette, pas trop sexy pour être à l'aise.
Privilégiez des tissus respirants et confortables
Si vous aimez dormir habillé(e), optez pour des vêtements amples et souples qui ne vous compriment pas et ne restreignent pas vos mouvements pendant la nuit. Choisissez des coupes qui correspondent à votre taille et vous permettent une liberté de mouvement.
Transpiration et bactéries
La dermatologue Catherine Laverdet est un peu plus stricte sur le calendrier, et recommande de changer de pyjama tous les deux jours. Selon la médecin, tout dormeur portant un legging ne devrait pas le garder plus d'une nuit.
L'activité sexuelle provoque des sécrétions hormonales qui favorisent l'endormissement. Parmi celles-ci, les endorphines, la dopamine, la mélatonine et l'ocytocine.
La sexomnie est un "somnambulisme sexuel" qui concerne certaines personnes atteintes de troubles du sommeil. Cette maladie consiste en une envie obsessionnelle de sexe en dormant. Cela peut se traduire de manières plus ou moins inquiétantes.
Selon une étude révélée par le Daily Mail, la raison essentielle serait que la partie «réflexion» du cerveau se met en veille. Un phénomène accentué par deux hormones - la sérotonine et l'ocytocine – qui se libèrent après le rapport sexuel.
Les hommes peuvent parfaitement porter des culottes, il faut les choisir pour qu'elles contiennent ce qu'il faut. Pour ma part j'en porte au quotidien ainsi que des string et des tangas, de toutes matières, satin, soie, nylon, coton. Pourvues qu'elles soient jolies, enfin qu'elles me plaisent.
Cette expression est surtout appliquée aux femmes qui dominent leurs maris, et pourrait par là être considérée, aujourd'hui, comme sexiste, parce qu'elle sous-entend l'anormalité d'une telle situation.
Locution verbale
(Sens figuré) (Familier) Assurer le rôle dominant dans un couple.