Une ouverture circulaire ou en forme de trèfle, fermée par une grille, permettait aux fidèles d'adorer en tout temps, de l'extérieur, le Saint Sacrement. Une lampe allumée devant l'ouverture indiquait de loin le lieu où étaient conservées les espèces sacrées.
Le tabernacle est l'endroit de l'Église où on conserve le ciboire contenant l'Eucharistie. Cela fait du tabernacle le centre et le cœur palpitant de chaque église, le point de référence pour ceux qui s'y rendent prier et adorer le corps du Christ même en dehors des célébrations.
L'hostie, dans les rites liturgiques chrétiens, est du pain sans levain que l'officiant consacre pendant la célébration de l'Eucharistie pour le partager avec les fidèles au cours de la communion.
Celui qui ne croit pas en la présence vraie, réelle, et substantielle du Christ en l'eucharistie ne peut pas communier. En outre, il faut être un membre vivant du Corps du Christ qui est l'Eglise.
La doctrine de l'Eglise catholique interdit en effet l'accès aux sacrements comme la communion ou la confession aux divorcés remariés, estimant que leur nouvelle union est une trahison devant Dieu de leur premier -- et unique -- conjoint.
Le mot « revoyure » est l'action, le fait de se revoir, de se dire au revoir.
1. Sanctuaire itinérant, centre du culte des Hébreux avant la construction du Temple de Salomon, demeure de l'arche d'alliance où étaient déposées les Tables de la loi. 2. Petite armoire, fixée au milieu de l'autel ou dans un autre endroit d'une église, destinée à recevoir le ciboire contenant la réserve eucharistique.
La différence entre un calice et un ciboire se situe dans l'usage différent attribué à chaque objet. Ils sont tous deux destinés à conserver les espèces consacrées, mais alors que le calice est destiné à conserver le sang, le ciboire conserve le corps.
La custode est un vase liturgique ayant la forme d'une petite boîte ronde en métal précieux ou doré ou émaillé, utilisé par les ministres de la communion, prêtres, diacres ou laïcs députés à cet effet, pour transporter un petit nombre d'hosties consacrées, en vue de distribuer la communion en dehors de l'église ( ...
Le ciboire (du latin ciborium, lui-même du grec kibôrion, qui signifie coupe), est un vase sacré, utilisé dans plusieurs liturgies chrétiennes.
La patène (du latin patena, plat creux) : c'est le plat de forme circulaire et concave destiné à recevoir l'hostie.
On le divise souvent en 3 syllabes pour ajouter un ton dramatique… Origine : Provient du tabernacle, le meuble où sont rangées les hosties dans une église. Exemple : « TA-BAR-NAK, j'en reviens pas ! », « le parc Forillon, c'est beau tabarnak », « il pleut en tabarnak », « le vieux tabarnak » « ayoye tabarnak ! »
On ne peut accéder au sacré qu'après avoir fait un sacrifice pour l'obtenir. Il ne peut pas y avoir de sanctification sans sacrifice personnel. C'est le sacrifice qui sanctifie le sacré.
Nom commun. (Histoire) Officier public qui, dans les juridictions subalternes et seigneuriales, faisait fonction de notaire. (Par plaisanterie) Notaire.
Bisoune : Désigne un sexe masculin, un pénis. Généralement, c'est une expression un peu infantile.
Cellulaire : Au Québec, on ne parle pas de téléphone portable, on utilise le mot cellulaire.
Français canadien : je t'adore (pour dire je t'aime). Français canadien : je t'aime (pour dire je t'aime bien).
Place ou cour située devant (la porte principale d') un édifice religieux, en particulier d'une cathédrale ou d'une église, et qui, selon les religions et les époques, a diverses fonctions.
Les lieux saints sont des centres fondateurs, foyers de départ et de diffusion des religions sur terre, mais aussi points de convergence des hommes par leurs prières (en direction de La Mecque ou de Jérusalem) et leurs déplacements (pèlerinages chrétiens ou musulmans, migrations juives vers la Terre promise), à la ...
"Maudit niaiseux !"
Maudit, qui vient de malédiction et de son sens religieux, est un peu utilisé à toutes les sauces au Quebec. Dans ce cas précis ça veut donc dire « espèce d'imbécile », mais ça peut aussi vouloir dire fâché (« Y'est en maudit ! ») et plein d'autres trucs chelous.
Câlisse / câlice : Juron québécois. Il s'utilise pour exprimer une émotion forte, par exemple l'étonnement ou la colère. C'est une déformation du calice d'église dans la religion chrétienne (le calice est une coupe recevant le vin bénit).
Dans l'église catholique, le tabernacle est le meuble qui abrite le ciboire contenant les hosties. Ce mot à été déformé en français canadiens, pour devenir un sacre ( un juron ) familier : tabarnak. La force du mot (comme beaucoup de jurons québécois), provient de son caractère blasphématoire.
Le manuterge en tissu plus absorbant, est destiné à essuyer les mains du prêtre lors du lavement des mains, il est posé près de la burette d'eau. Le corporal, déployé au moment de l'offertoire et replié après la communion, est destiné à recevoir les offrandes qui deviendront le corps et le sang du Christ.
Pain eucharistique après la consécration. (Le mot latin [hostia] désigne la victime sacrifiée, en particulier le Christ dans le sacrifice eucharistique.) 2. Pain destiné au sacrifice eucharistique.
Il s'agit des linges d'autel. Confectionnés en tissu, ce sont généralement quatre pièces assorties entre elles : le corporal, la pale, le purificatoire et le manuterge. Il y a ensuite d'autres objets liturgiques en tissu qui peuvent être assortis à ces quatre, comme la nappe d'autel, l'amict et d'autres encore.